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Votre avis sur Next ?
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ffred
Nouvelle adaptation de Philip K.Dick au cinéma. On peut dire que ce n'est pas la meilleure. On est bien loin de la virtuosité de Blade Runner ou de Minority Report et même, à un degré moindre, de Total Recall ou Paycheck. Il faut dire que Lee Tamahori n'est pas Spielberg ! A part L'âme des guerriers qui, en son temps, fut une révélation et un véritable choc, sa carrière (Hollywodienne depuis) n'a pas vraiment décollé malgré un James Bond (et pas le meilleur). Si Next est assez distrayant (en le prenant au second degré) et avance à un rythme soutenu, il ne restera pas dans les mémoires. La réalisation est bien traditionnelle et le scénario n'a rien de bien inventif. Si les interprétations de Julianne Moore (toujours superbe) et Jessica Biel sont convaincantes, celle de Nicolas Cage, bien que quand même supérieure à Ghost Rider (mais là il était tombé très bas), ne lui vaudra pas un Oscar. De plus en plus statique et inexpressif, avec son maquillage et sa coupe de cheveux tendance Tom Hanks, il semble faire en ce moment, des choix de films pas forcement en rapport avec sa filmographie pourtant assez élogieuse. Il est ici l'un des producteurs, ceci explique peut être cela. Autrement à part quelques belles images de Las Vegas et du Grand Canyon , des effets spéciaux plutôt approximatifs, c'est à vous de voir, faute de mieux...
Redzing
"Next" narre l'aventure d'un homme capable de visualiser les deux prochaines minutes de son futur et confronté à un complot terroriste. Lee Tamahori parvient à utliser ce postulat de manière plutôt amusante dans quelques séquences (poursuites, fusillades, séduction, etc...), néanmoins sa réalisation expédie à la manière d'un épisode de série TV un scénario pour le moins décousu voire incohérent, et passé la première demi-heure le spectateur déchante rapidement. Dommage, car l'idée de base aurait mérité un meilleur traitement, on préfèrera ainsi se repasser l'excellent "Groundhog day".
Le réalisateur surfe bien mal sur le succès de ses contemporains Heroes, Déjà Vu, Dead Zone, traitant de voyage dans le temps, ou de pouvoirs paranormaux avec l'arrivée de CGI bons marchés abordables pour tout blockbuster du pauvre.
Revenons une dernière fois sur la carrière d'acteur de Nicolas Cage,
Qui restera comme un acteur raté, ayant le charisme d'un poulpe, mono-expressif dans l'intégralité de ses films, aux yeux globuleux, et arborant fièrement une moumoute pour jouer les rôles de types de 25-30 ans alors que le pépère se fait 45 balais.
Dont le succès, aussi inattendu et qu'incompréhensible, restera une énigme du 21ème siècle au même titre que le monstre du Loch Ness, Anastasia la fille du dernier Tsar de Russie ou la vérité sur les attentats du 11 Septembre.
Après avoir séduit Elisabeth Sue dans Leaving Las Vegas, petite ami de Carla Pestalozzi dans Rock, compagnon de Gina Gershon dans Volte/ Face, ange amoureux de Meg Ryan dans la Cité des Anges, mari de Téa Léoni dans Family Man, héros amoureux de Diane Kruger dans Benjamin Gates, et amant d'Eva Mendes dans Ghost Rider,
Il devient logiquement le nouvel amour de Jessica Biel.
Le réalisateur hésite pendant 1h30 entre l'histoire d'amour 'impossible' (faut le dire très très vite) entre la déesse aux yeux bleus et l'homme dont la moumoute lui permets de voir dans l'avenir,
Et une énième histoire de méchants terroristes germano-américains qui veulent faire péter une bombe atomique sur Los Angeles, avec Julianne Moore en frigide (Super-Frost) agent du FBI prêt à tout pour récupérer la moumoute extra-lucide afin d'empêcher le Big Bang.
Un film pour le public de Nicolas Cage, c'est-à-dire les 9-15 ans.
Préférez voir sur le même sujet la série Day Break ou Minority Report de Spielberg.
Que le pouvoir de la moumoute soit avec toi Nicolas, à jamais.
Revenons une dernière fois sur la carrière d'acteur de Nicolas Cage,
Qui restera comme un acteur raté, ayant le charisme d'un poulpe, mono-expressif dans l'intégralité de ses films, aux yeux globuleux, et arborant fièrement une moumoute pour jouer les rôles de types de 25-30 ans alors que le pépère se fait 45 balais.
Dont le succès, aussi inattendu et qu'incompréhensible, restera une énigme du 21ème siècle au même titre que le monstre du Loch Ness, Anastasia la fille du dernier Tsar de Russie ou la vérité sur les attentats du 11 Septembre.
Après avoir séduit Elisabeth Sue dans Leaving Las Vegas, petite ami de Carla Pestalozzi dans Rock, compagnon de Gina Gershon dans Volte/ Face, ange amoureux de Meg Ryan dans la Cité des Anges, mari de Téa Léoni dans Family Man, héros amoureux de Diane Kruger dans Benjamin Gates, et amant d'Eva Mendes dans Ghost Rider,
Il devient logiquement le nouvel amour de Jessica Biel.
Le réalisateur hésite pendant 1h30 entre l'histoire d'amour 'impossible' (faut le dire très très vite) entre la déesse aux yeux bleus et l'homme dont la moumoute lui permets de voir dans l'avenir,
Et une énième histoire de méchants terroristes germano-américains qui veulent faire péter une bombe atomique sur Los Angeles, avec Julianne Moore en frigide (Super-Frost) agent du FBI prêt à tout pour récupérer la moumoute extra-lucide afin d'empêcher le Big Bang.
Un film pour le public de Nicolas Cage, c'est-à-dire les 9-15 ans.
Préférez voir sur le même sujet la série Day Break ou Minority Report de Spielberg.
Que le pouvoir de la moumoute soit avec toi Nicolas, à jamais.
Bien que le scénario soit assez confus par moments, du fait de son intrigue plutôt complexe, il n'en reste pas moins que Next s'avère être un divertissement plutôt réussi, certes dépourvu de beaucoup de suspense (on se doute un peu de ce qui va arriver par instants) mais qui se laisse regarder pour passer un bon moment sans prétention.
Basé sur la nouvelle "L'Homme doré" de Philip K. Dick, "Next" part avec une idée plutôt cool et originale. Un homme (Nicolas Cage) capable de voir son avenir mais pas au-delà de deux minutes excepté concernant celui de l'amour de sa vie (Jessica Biel) est traqué par un agent du FBI (Julianne Moore) pour arrêter une bande de terroristes voulant faire exploser une bombe. Pour moi c'est cette partie terroriste qui est en trop dans ce film, car le jeu du chat et de la souris aurait pu être mieux utilisé. "Next" ressemble malheureusement trop à la partie "je fais un film pour l'argent" de la filmographie de Nicolas Cage qui aurait pu offrir une interprétation plus marrante de son personnage. Autre (petite) déception : le final qui bien qu'il surprenne n'apporte pas grand-chose.
Pas calamiteux au point que le laissent entendre les critiques professionnelles, on est dans du cinéma d'action finalement pas trop mal fichu. Côté scénario on a déjà vu bien pire - le début est catastrophique, mais la fin est inattendue et compense un ensemble pas super original -. C'est quand même regardable, même s'il est vrai que c'est le genre de film que l'on oublie vite.
Si on aime les superproductions américaines, Nicolas Cage, mais aussi Jessica Biel, vous ne serez pas décu(e) !!!
Si Next avait été bon, alors il aurait pût rivaliser avec Minority Report, malheureusement il ne partage avec lui que le scénariste.
Nicolas Cage nous a désormais habitués à faire des mauvais films, c’est un peu comme sa nouvelle marque de fabrique, sauf peut-être avec les Benjamin Gates et l’Apprenti Sorcier qui se laissaient tout de même suivre et étaient divertissants. Seulement voilà depuis Next, c’est un peu une longue descente dans les abyss d’un cinéma de genre à la fois mauvais et complètement creux. Entre Gosthrider et Le dernier des templiers il n’y avait visiblement qu’un pas. Quoi qu’il en soit dans ce Next, Cage n’est pas réellement mauvais, il est seulement mal dirigé je pense.
Car oui Next est un film très moyen, partant pourtant avec un sujet de base alléchant, mais qui se révèle au final redondant et complètement conventionnel ainsi que prévisible. Lorsque l’on s’attelle à un tel genre de film il faut prendre conscience de là où l’on met les pieds, ce n’était apparemment pas le cas de ce réalisateur…
Next est donc un film que je ne vous conseille absolument pas, je regrette moi-même que l’on m’ait donné le blu-ray.
Nicolas Cage nous a désormais habitués à faire des mauvais films, c’est un peu comme sa nouvelle marque de fabrique, sauf peut-être avec les Benjamin Gates et l’Apprenti Sorcier qui se laissaient tout de même suivre et étaient divertissants. Seulement voilà depuis Next, c’est un peu une longue descente dans les abyss d’un cinéma de genre à la fois mauvais et complètement creux. Entre Gosthrider et Le dernier des templiers il n’y avait visiblement qu’un pas. Quoi qu’il en soit dans ce Next, Cage n’est pas réellement mauvais, il est seulement mal dirigé je pense.
Car oui Next est un film très moyen, partant pourtant avec un sujet de base alléchant, mais qui se révèle au final redondant et complètement conventionnel ainsi que prévisible. Lorsque l’on s’attelle à un tel genre de film il faut prendre conscience de là où l’on met les pieds, ce n’était apparemment pas le cas de ce réalisateur…
Next est donc un film que je ne vous conseille absolument pas, je regrette moi-même que l’on m’ait donné le blu-ray.
Qui ne s'est jamais posé la question, mais que se serait-il passé si j'avais fait ça au lieu de ça ? Et bien Next répond à cette question. Un personnage doté d'une vision d'anticipation mêlé à des histoires criminelles et voilà la recette du film. L'histoire et la façon dont ils abordent ce pouvoir sont quelques choses d'intéressants, car ce n'est pas trop poussé à l'extrême. Même si il y a quelques invraisemblances dans l'usage de son pouvoir Nicolas Cage reste dans le style de film qui lui va bien et nous offre une prestation intéressante.
Ce film est moyen. Il n'est pas nul mais on a vu beaucoup mieu dans le genre "Je vois le futur et je change le présent". Sinon ce film reste un bon divertissement, il y a de bonnes scènes d'actions et les effets spéciaux sont pas mal. Mais la fin est un peu prématurée on va dire. Et le sénario est un peu courru d'avance.
Un homme joue du don extraordinaire qui lui permet de lire l’avenir très proche pour se faire de l’argent facile au casino ou par quelques tours de magie vaseux. Il ressent, à la pensée puis la rencontre d’une femme, la possibilité de prédire encore plus loin les événements. Ses talents perfectibles vont rapidement être mis à contribution alors qu’un attentat terroriste est sur le point d’être perpétré à Las Vegas. Ouh la la, on en tremble d’avance. Soyons direct, Next ne comporte qu’un intérêt hélas pas cinématographique, une fois écarté le plaisir de contempler la plastique (trop ?) idéale de Jessica Biel. Il est la démonstration et l’archétype d’un cinéma américain qui surfe sur la mode de la paranoïa post-11 septembre pour servir de l’action à dose spectaculaire au détriment des personnages, transparents, et, pire, du scénario, déplorable d’inconsistance et invraisemblances. Dans la même rubrique, je vous renvoie vers Die hard 4 et l’à peine meilleur Déjà vu. Bref, c’est la vieille bouse que l’on craignait de se voir affliger. Le pire du cinéma US, tout simplement. Next entérine également d’autres certitudes. Celle tout d’abord que le Néo-Zélandais Lee Tamahori n’a plus réalisé un vrai bon film depuis L’âme des guerriers (en 1995) et son arrivée à Hollywood ponctuée du correct Les hommes de l’ombre (1996). Le talentueux Nicolas Cage (Sailor et Lula, Leaving Las Vegas) dilapide la possibilité de se forger une filmo de premier choix : la série des Benjamin Gates, Ghost rider ou 60 secondes chrono viennent un peu plus ternir les récents Lord of war, Adaptation ou World Trade Center). Et enfin, adapter l’ouvrage d’un maître de la littérature, ici de la science-fiction avec Philip K. Dick, est tout sauf un gage de réussite (Minority report lui a heureusement prouvé le contraire) puisque les films inspirés de certains romans de Fred Vargas, Dan Brown, James Ellroy et Jean-Christophe Grangé notamment ont été d’autres ratés cuisants.
Un divertissement qui se laisse voir grâce à de bons effets spéciaux et une trame plutôt originale. Nicolas Cage nous a habitué à de meilleures performances et ce n'est pas la légèreté de Jessica Biel qui remonte le niveau de ce film d'action au scénario limité.
j'aurais du avoir le pouvoir de nicolas cage, ça m'aurait évité de perdre mon temps avec ce navet ,que le coiffeur de cage soit parti en rtt, que jessica soit là on ne sait pourquoi , mais alors la fin du film , alors là c'est du haut niveau !!
j'en ai marre de voir des navets !!!
j'en ai marre de voir des navets !!!
Peu d'interêt pour ce film qui se noyera dans la masse des films du même genre. Evidemment Philip K Dick est un auteur de renom, mais de là à adapter, à la va-vite, la moindre de ses nouvelles... Concrétement rien de nouveau, la recette est maintes fois éprouvée. On notera cependant un doublage execrable, quelques effets pas franchement "spéciaux", des acteurs en demi teinte pour ce film tourné vite (trop surement...) Il y a nettement mieu en ce moment et pourtant ce ne sont pas des chef d'oeuvres...
Travail bâclé pour un film d'été sans prétention qui est divertissant, mais qui se fout totalement de son histoire, de sa crédibilité et des spectateurs! Une arnaque certes, mais une arnaque agréable à regarder si vous n'avez rien d'autre à faire.
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