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Votre avis sur Divorce Club ?
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Signée Mickael Youn et portée par un casting séduisant, une comédie délirante et bien rythmée, et même si c’est complètement con et parfois un peu lourd, on passe un bon moment !
Une comédie traditionnelle à la française. Le style atypique à Michael Youn, qui est d'ailleurs le co-scénariste. Le monde des startups et de la fête en permanence. Le milieu dont Demaison semble être chez lui. Les plus belles actrices de Paris. Des ambiances de boites de nuit au beau milieu du salon. Une comédie quoi.
Guillaume
Youn endosse et assume en toutes circonstances ce rôle d'amuseur public : c'est un trait du comédien que l'on ne peut que saluer.
Cette production donc s'inclut docilement dans ce que l'on en attendre : de l'absurde, pas mal de lourdeurs, un peu de romantisme. Le ton est (heureusement léger), le scénario rarement crédible, les personnages surjoués, les textes parfois bien écrits. Bref, du chaud et du froid, comme les émotions du personnage central.
Cette production donc s'inclut docilement dans ce que l'on en attendre : de l'absurde, pas mal de lourdeurs, un peu de romantisme. Le ton est (heureusement léger), le scénario rarement crédible, les personnages surjoués, les textes parfois bien écrits. Bref, du chaud et du froid, comme les émotions du personnage central.
Auréolé du grand prix au festival de comédie de l'Alpe d'Huez, comme quoi l'altitude est fatale. Le nouveau Youn est une déception à travers son scénario, même si une certaine générosité émane dans la mise en scène par moments. Boulevardducinema.com
Divorce Club part d'une bonne idée (faire un club pour que les jeunes divorcés sortent du marasme de leur situation), sans arriver à convaincre. Pourtant la réalisation est bonne, le rythme est bon, mais la mayonnaise ne prend pas. Les amis qui fuient le fraîchement divorcé donnent déjà le ton caricatural de la suite, sans réelle profondeur dans les personnages. On note cependant le cadre magnifique de la côte méditerranéenne et le genre de baraque qui donne envie de réussir avec sa start-up ! Il y a aussi quelques bonnes répliques comme, à propos de Nelson Mandela : "Le gars il passe 27 ans dans les prisons sud-africaines à se faire torturer tous les jours, il tient. Il rentre à la maison au bout de six mois il demande le divorce !" Ou encore (mais je ne comprends pas le rapprochement avec le sympathique oiseau du sud) : "N'ayez pas honte d'être divorcés, parce qu'on n'est pas des manchots !" M'échappe aussi l'acharnement sur un véhicule de collection : pourquoi abîmer cette magnifique Ferrari ? Était-ce bien nécessaire ? Du côté des acteurs, Arnaud Ducret est moyen. Heureusement François Xavier-Demaison relève le niveau. À voir pour se détendre avec des quarantenaires qui retombent en adolescence.
j'en attendais pas tant et franchement j'ai bien rigolé du début à la fin sans temps mort, puis pas du tout lourde . une comédie française bien traité avec un sujet réel et délicat "le divorce". l'histoire est bien conçu, tous les acteurs sont au top de leur forme. j' en suis ressorti ému de cette séance que je reverrais plus tard chez moi tranquille.
Du Michaël Youn pur jus, à savoir du potache plein pot, bien lourd, très orienté sexe. Néanmoins quelques bonnes trouvailles, comme le lémurien gifleur et, globalement, ce film se laisse regarder avec sa brochette de bons acteurs. A défaut d'autre chose...
C'est un réalisateur presqu'assagi qui débute ce "Divorce Club", non pas que M.Youn est méconnaissable, mais semble ici soucieux de faire une comédie drôle mais soignée. Il réussit son pari, en contenant son côté trash pour un côté purement burlesque, qui a défaut de nous servir une histoire crédible, fait de son 3ème film en tant que réalisateur un auteur crédible. En offrant le premier rôle et la lumière à A.Ducret parfait dans son rôle, il profite de soigner son casting de seconds rôles dont il fait partie. Alors, ce n'est pas la comédie de l'année 2019, mais un moment plaisant et drôle, sans prétention. Et quel plaisir quand M.Youn lâche le frein pour retrouver ses mauvaises habitudes trash: à petite dose, cela en deviendrait même exquis!
Une très bonne comédie, avec de nombreux gags et un casting au top. Arnaud Ducret et François-Xavier Demaison sont excellents et le scénario est plutôt inventif. Une belle surprise.
Il y a 2 ou 3 répliques amusantes, pour le reste ce film est lourd, vulgaire et une très pâle copie des comédies américaines. Grand manque d'inspiration et l'impression d'être un spectateur-pigeon...
2,3/5
2,3/5
Très bonne comédie bien rythmée,sans temps mort sur un sujet sérieux, le divorce, mais bien analysé et sans aucune lourdeur de la part de Michael Young, ce qui est plutôt surprenant; Très bon casting avec deux mentions spéciales : Youssef Hajdii dans un rôle inhabituel mais génial. Quant à Grégoire Bonnet, le voir en slip débiter ses fadaises sur le mode "djeune" ça vaut le détour !
Cinememories
Après « Fatal » et « Vive la France », Michaël Youn ne semble pas tout à fait prêt à sauter le pas, bien qu’il se laisse moins de place dans le cadre. L’idée étant de développer des thèmes plus forts que ce que l’on rencontre communément dans les comédies du territoire français. Il y a alors une part du réalisateur qui s’exprime sur son expérience, mais il n’arrive pas bien à panser ses blessures. Pourtant appliqué jusqu’à rendre ses enjeux artistiques irréprochables, ou plutôt encourageants, il se fourvoie dans sa bulle pseudo-comique et mise davantage sur des artifices douteux, voire grossiers pour convaincre une audience qui en a vu d’autres et qui attend sans doute plus de subtilités, pour une fois. Hélas, l’humour s’approche souvent avec de grands sabots et nous ne savons comment l’accueillir, si ce n’est avec une indifférence garantie.
Un mariage brisé, un homme dépassé, Ben (Arnaud Ducret) est au fond d’un ravin sans espoir. Mais il fallait bien un Patrick (François-Xavier Demaison) pour lui remonter le moral. Nouveau riche qui associe la vie de divorcé avec le luxe, à l’image d’une villa de vices et d’excès, il profite de la solitude. Ce qui a de quoi ronger Ben qui le vit mal et qui tente bien que mal de préserver un espoir toxique. Youn nous invite donc à venir fêter ça, autour d’alcools et la nostalgie des années 80, chose qui, ironiquement, ne respecte pas les fondements du club qui a été monté. S’il ne veut pas rompre avec ce genre d’habitude, pas moyen que la complicité entre ces divorcés ne nous atteigne. Heureusement que la mise en scène sauve le peu d’éléments séduisants, qui sont confondus à tort avec la surprise de mauvais goût.
La présence féminine sonne avec le love interest et ne surclasse pas d’autres portraits de femmes indépendantes. Marion (Caroline Anglade) constitue ce visage que l’on identifie comme vivant, mais qui peine à défendre son point de vue de femme forte. Ce personnage trébuche dans une telle facilité, qu’il ne lui est pas permis de revendiquer sa liberté, également en tant que célibataire. De ce fait, les clichés s’enchainent et le récit devient hautement prévisible. Et ce sera sur le dernier acte que le divertissement blesse, car il avait encore une échappatoire, une raison de revendiquer de l’originalité ou même de l’exploit. Dommage que la comédie se veille uniquement « drôle » sur le papier, mais qui se révèle alors « kool et beauf ».
Si le postulat de départ n’engageait à rien, il y avait tellement de directions possibles pour ce « Divorce Club » qui ne revendique pas plus que d’autres comédies sympathiques et oubliables. Le film calque d’ailleurs, sans retenue, ses inspirations narratives chez d’autres succès internationaux, d’où certains gags potaches attendus et autres personnages décalés avec leur environnement. Ce qui n’est pas pour déplaire dans cette fanfaronnade salée, malgré quelques surprises, que l’on épingle en arrière-plan, sans jamais exploiter leur filon dramatique. En échange, open bar et petites tenues à gogo dans un buddy-movie trop simplet et maladroit avec ses personnages féminins.
Un mariage brisé, un homme dépassé, Ben (Arnaud Ducret) est au fond d’un ravin sans espoir. Mais il fallait bien un Patrick (François-Xavier Demaison) pour lui remonter le moral. Nouveau riche qui associe la vie de divorcé avec le luxe, à l’image d’une villa de vices et d’excès, il profite de la solitude. Ce qui a de quoi ronger Ben qui le vit mal et qui tente bien que mal de préserver un espoir toxique. Youn nous invite donc à venir fêter ça, autour d’alcools et la nostalgie des années 80, chose qui, ironiquement, ne respecte pas les fondements du club qui a été monté. S’il ne veut pas rompre avec ce genre d’habitude, pas moyen que la complicité entre ces divorcés ne nous atteigne. Heureusement que la mise en scène sauve le peu d’éléments séduisants, qui sont confondus à tort avec la surprise de mauvais goût.
La présence féminine sonne avec le love interest et ne surclasse pas d’autres portraits de femmes indépendantes. Marion (Caroline Anglade) constitue ce visage que l’on identifie comme vivant, mais qui peine à défendre son point de vue de femme forte. Ce personnage trébuche dans une telle facilité, qu’il ne lui est pas permis de revendiquer sa liberté, également en tant que célibataire. De ce fait, les clichés s’enchainent et le récit devient hautement prévisible. Et ce sera sur le dernier acte que le divertissement blesse, car il avait encore une échappatoire, une raison de revendiquer de l’originalité ou même de l’exploit. Dommage que la comédie se veille uniquement « drôle » sur le papier, mais qui se révèle alors « kool et beauf ».
Si le postulat de départ n’engageait à rien, il y avait tellement de directions possibles pour ce « Divorce Club » qui ne revendique pas plus que d’autres comédies sympathiques et oubliables. Le film calque d’ailleurs, sans retenue, ses inspirations narratives chez d’autres succès internationaux, d’où certains gags potaches attendus et autres personnages décalés avec leur environnement. Ce qui n’est pas pour déplaire dans cette fanfaronnade salée, malgré quelques surprises, que l’on épingle en arrière-plan, sans jamais exploiter leur filon dramatique. En échange, open bar et petites tenues à gogo dans un buddy-movie trop simplet et maladroit avec ses personnages féminins.
ManoCornuta
Il y avait de bonnes idées au départ, du moins le pensait-on. Le problème arrive au bout d'une heure: on commence à sentir la panne, le scénario tourne en rond, et les gags, initialement pas si mal pensés, se font de plus en plus lourds et inutiles. Dans le marigot, Arnaud Ducret surnage, mais l'on sent bien la grosse poilade faite entre copains et qui s'est, malheureusement pour elle, étiré en longueur de façon exagérée.
Jonathan M
C'est souvent quand on en attend pas grand chose que... Le but premier d'une comédie est de rire. Très scolaire, mais Divorce Club remplit sa mission. Michaël Youn représente à lui seul la dérive des comédies françaises au XXIème siècle, alors forcément quand on arrive devant Divorce Club, on est perfusé d'aprioris négatifs. Et voilà que bien mal m'en à pris, le karma m'a frappé, et j'ai bien ri. Tout en mettant de la perspective sur le scénario pas très relevé et une mise en scène abandonnée, il n'en reste pas moins qu'on passe un agréable moment. Et cela permet aussi de constater, que le divorce et l'adultère peuvent aussi être tournés en dérision. Arnaud Ducret incarne ce looser pathétique régulièrement, mais il faut dire qu'il a le physique de l'emploi, et il le fait plutôt bien.
Alors le cas Michael Youn . J'avais bien aimé fatal bazooka ... j'aimais bien l'idée de ce film, Arnaud ducret joue très bien et le montage est très dynamique, peut-être trop. Mon problème? Pour une une comedie j'ai rigolé assez peu tout au long du film . Certaines situations sont bonnes mais trop peu face au reste du film . Une comédie loufoque qui me laissera pas un souvenir impérissable.
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