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Michael Youn a un certain talent pour faire des comédies déjantées, avec des BO et un montage déglinguo, qui fleure bon le Morning live. Oui, mais voilà, cela ne fait pas tout : Un rôle principal catastrophique (l'énigme Arnaud Ducret), un mauvais scénario, des quiproquo téléphonés et des scènes assez malaisantes (tous les passages avec le personnage de Frédérique Biel, ainsi que l'ivresse de Ducret lors de son jour d'anniversaire), tout cela est d'une lourdeur affligeante....
Je suis toujours étonné de voir qu’en 2020 ce genre de comédie française avec des gags prévisibles et lourds trouve encore un financement ! D’ailleurs, le financement se voit à l’écran vu le nombre de placements de produits. Qu’est-ce qu’il y a de pire pour une comédie que de ne pas faire rire ? Les décors, la maison, les voitures et le bateau sont très beaux mais il manque l’essentiel : l’humour ! Le point de départ de l’histoire est intéressant mais ce qui en est fait est assez affligeant. Passez votre chemin… Cette année, j’ai été beaucoup plus sensible à l’humour de « Tout Simplement Noir », de « Play » ou de « #Jesuislà » pour ne prendre que les quelques exemples qui me viennent tout de suite à l’esprit. Pour finir sur une note plus légère, cela a dû faire mal au réalisateur Michaël Youn, fan du PSG, de mettre autant d’O.M. dans son film, d’où ses cadrages très serrés pour ne pas en faire trop ;-)
Dieu que je l'attendais ce dernier film de M. YOUN, encensé par la critique et primé au dernier Festival du film de comédie de l'Alpe d'Huez. Alors, verdict ? Et bien le film est sympa, bien écrit, quelques fous rires sont bien entendus au programme, les acteurs sont top, des premiers rôles aux derniers des derniers...mais je m'attendais à encore plus de délire de la part de notre déjanté du Morning Live, qu'il pousse encore le bouchon plus loin... Sans doute s'est il assagi en vieillissant... Mais ne boudons pas notre plaisir transgressif ;)
Fêtons le cinéma
Divorce Club est qualifié par son réalisateur de « film sur la régression » (interview donnée par Michaël Youn et Arnaud Ducret à Aunis TV, 9:22), celle d’hommes (surtout) et de femmes (aussi) qui, après une séparation subie davantage que choisie, décident de cohabiter pour conjurer leur malheur, selon l’adage qui veut que l’union fasse la force. Cette régression raccorde donc les personnages à un état de développement intellectuel et psychologique antérieur, les conduit à un retour en arrière ici prétexte au déchaînement de leurs désirs jusqu’alors inassouvis ou brimés, à l’exercice d’une misogynie jamais cachée puisqu’elle constitue le critère de résidence énoncé par Patrick : interdiction de toucher à l’ex-femme et à la Ferrari. Femme et voiture sont placées sur un même plan, celui de la collection et de la compétition pour des hommes qui trouvent là l’occasion de se venger des séductrices, des bourrelles, des sans-cœurs. La clausule, que nous ne révèlerons pas ici, contribue d’ailleurs à prolonger la misogynie et en faire le cadre du long-métrage puisque seul l’accord du meilleur ami autorise la femme à passer des mains de l’un à l’autre comme autrefois une fille passait de l’autorité de son père à celle de son mari, voire à celle de ses enfants si celui-ci venait à partir. Toutefois, le regard porté sur les femmes ne serait pas problématique si et seulement s’il constituait une intention comique, un postulat de base que l’affrontement de caricatures – ces hommes en état de régression, éternels adolescents, face à ces femmes froides et sans âme – permettait de dynamiter. Or, à bien écouter le réalisateur et son équipe, rien de tel, sinon une prudence prise à l’égard de ladite misogynie, « écueil dans lequel on pouvait tomber », comme le dit si bien Youn. Ce qui fait de Divorce Club un ratage quasi intégral, dans la mesure où il n’ose pas être ce qu’il aimerait être, pire refuse d’être ce qu’il est au fond de lui : une comédie franchement misogyne. Il était plutôt intéressant, à l’heure du #MeToo, de faire une comédie qui prenne le parti de l’homme saisi dans sa stupidité fondamentale et travaille les clichés de l’homo erectus stérile dans sa lutte avec la féministe experte en sports de combat. Mais le problème du long métrage est qu’il tombe dans cet entre-deux d’autant plus dommageable qu’il rend ses intentions contestables et confuses. Ce flottement de point de vue, qui témoigne du malaise éprouvé par Youn devant son sujet, est heureusement sauvé par le rythme frénétique de l’ensemble, ainsi que par ses acteurs, Arnaud Ducret en tête. Surnagent quelques situations cocasses et des personnages hauts en couleurs, mais Divorce Club ne risque jamais la polémique et le politiquement incorrect, se bornant à défendre, par défaut, une conception de la femme et de la relation entre les sexes ô combien abjecte.
Alors la quelle surprise ! J'attendais un film moyen, une comédie française ultra classique et j'ai donc été surpris mais bie surpris ! Film ultra rythmé , hyper drôle , tout est cohérent . On retrouve certaines situations déjà connues mais le tout est très bien amené et l'essentiel est la , on s'éclate !
Bref un grand bravo pour l'écriture et la réal a monsieur Youn en espérant que ce film ait une belle vie
Bref un grand bravo pour l'écriture et la réal a monsieur Youn en espérant que ce film ait une belle vie
Envie de voir un film à l'humour et l'écriture médiocre, ou toutes les scènes sont irréalistes et grotesques ?
Ou les acteurs viennent tous tout droit de Vendredi tout est permis et ne sont plus drôles depuis 15 ans ?
Et bien allez voir Divorce Club. Sérieusement les 1h40 les plus longues de ma vie, plutôt m'aracher les ongles un par un que revoir ce film.
De l'humour à la Philippe Lacheau, en pire.
Ah et si vous voulez voir une bonne comédie il y a Tout simplement noir, intelligent et drôle, jamais dans la surenchère.
Ou les acteurs viennent tous tout droit de Vendredi tout est permis et ne sont plus drôles depuis 15 ans ?
Et bien allez voir Divorce Club. Sérieusement les 1h40 les plus longues de ma vie, plutôt m'aracher les ongles un par un que revoir ce film.
De l'humour à la Philippe Lacheau, en pire.
Ah et si vous voulez voir une bonne comédie il y a Tout simplement noir, intelligent et drôle, jamais dans la surenchère.
Audrey L
Les slips ça existe. Ah l'humour à la Michael Youn, ça n'est plus ce que c'était dans le Morning Live... Réalisateur de ce Divorce Club, on ne peut que constater qu'il n'a pas réussi à obtenir la garde alternée des gags et de l'intrigue. La quasi-totalité des gags sont des gens nus (profitez du panorama avant-arrière avec Grégoire Bonnet, Arnaud Ducret et le reste du casting) - un humour de cour maternelle - et l'histoire de ce divorcé part dans tous les sens jusqu'à devenir (ultra-vite) complètement irréaliste et poussive (le passage chez la famille hystérique qui veut marier leur fille à ce coup d'une nuit... Fuyez). Côté interprétation, on dira seulement que celui qui joue le mieux c'est...Maurice, le lémurien (le seul qui ait vraiment une raison valable d'être "à poils"). Et précisons aussi ce fabuleux passage à la piscine où Arnaud Ducret se débat avec une peluche mal faite du lémurien, comme étant l'un des grands moments de solitude du spectateur devant ce navet gênant. On aurait pu améliorer le niveau d'humour en intégrant davantage l'épouse jouée par Claudia Tagbo, la mise à l'écart de ce personnage est assez incompréhensible lorsqu'on voit les sourires qu'elle nous procure les rares minutes où elle apparaît. En revanche, on ne rate pas le caméo purement commercial du groupe Kool and the Gang dont on ne sait pas l'intérêt, si ce n'est une promotion publicitaire ridicule. Zappez vite ce navet à l'intrigue désolante et à l'humour de fesses à l'air.
Avec le Grand Prix ramené du dernier festival de comédie de l’Alpe d’Huez, on pouvait sereinement imaginer avoir affaire à une des meilleures comédies françaises de l’année. Même si, les lauréats de certaines éditions (L’Ascension notamment en 2017) ont plutôt déçu. Eh bien, une nouvelle fois, le film peine à répondre aux attentes. Il y a bien pourtant quelques séquences hilarantes mais à chaque fois contrebalancées par d’autres assez insignifiantes. Cela sape la cohérence du scénario qui fait donc traîner le film beaucoup trop en longueur. Retirer vingt minutes du récit avec ces quelques scènes n’apportant rien au long-métrage aurait été fort judicieux. On fait donc avec une comédie bancale dont le casting est parfaitement en phase. Il y a, en effet, ceux qui s’en tirent avec les honneurs et ceux qui auraient pu facilement être coupé au montage. Dans la première catégorie, François-Xavier Demaison, Arnaud Ducret, Caroline Anglade, Youssef Hajdi ou encore Charlotte Gabris. Dans la seconde Michaël Youn, Audrey Fleurot, Grégoire Bonnet et même Benjamin Biolay. Pour ne retenir que les premiers, Demaison est parfait comme toujours dans les personnages excentriques qu’il sait si bien incarner. Le couple Arnaud Ducret – Caroline Anglade est vraiment convaincant, ces deux-là étant de très bons interprètes. Quant à Youssef Hadji, c’est clairement la révélation comique du film, son rôle de domestique à l’accent tordant est diablement efficace.
Pathétique, ce film est un cliché à lui tout seul, je ne mets pas zéro en étant moi même cinéaste, il y a des gens derrière ce film, des techniciens qui ont bossés pour pouvoir vivre.
Du début jusqu’à la fin on sait ce qu'il va se passer, même les "chlifenger" n'en sont pas.
Ensuite cela reste une comédie, la preuve, toute la salle était plié en deux, je ne suis pas bon client de comédie, ça doit être ça.
Du début jusqu’à la fin on sait ce qu'il va se passer, même les "chlifenger" n'en sont pas.
Ensuite cela reste une comédie, la preuve, toute la salle était plié en deux, je ne suis pas bon client de comédie, ça doit être ça.
Je me demande toujours comment peut on trouver les sous pour produire des navets pareils??
Mais que c'est bidon!! Pas un seul sourire a esquisser!! Les blagues sont au niveau inférieur des pâquerettes , ça a 10 ans de retard !! Déjà tu mets DEMAISON au casting ,tu sais que le truc est flingué, aprés Moscato(20sec) en proprio de sex shop ,c'est le fond du trou assuré!!
M.Youn devrait peut être comprendre à son age que le morning live et la vie de potache ça a une fin ...
Mais que c'est bidon!! Pas un seul sourire a esquisser!! Les blagues sont au niveau inférieur des pâquerettes , ça a 10 ans de retard !! Déjà tu mets DEMAISON au casting ,tu sais que le truc est flingué, aprés Moscato(20sec) en proprio de sex shop ,c'est le fond du trou assuré!!
M.Youn devrait peut être comprendre à son age que le morning live et la vie de potache ça a une fin ...
Ola ! Le joli film que voilà ! Bon, les mecs, on ne va pas se mentir, je préfère vous le dire d'emblée : là, très clairement, ça va envoyer du lourd ! Mais quand je dis du lourd, c'est du lourd. Genre, du super lourd ! Déjà, il y a cette idée de monter un club dont les membres sont tous des divorcés. Moi, quand je vois un truc pareil, je commence à tiquer quelque peu. Pour ne pas dire beaucoup. Je me dis tout simplement que ça va sentir le purin. De plus, pour donner corps à une idée n'ayant rien d'engageante, Michaël Youn commet une faute énorme : celle de choisir Arnaud Ducret en tant qu'acteur principal. Entendons-nous bien, j'ai une vraie sympathie pour Ducret, mais, il faut bien avouer que, aussi sympathique soit-il, plus lourd que lui, tu meurs. C'est l'Enfer sur Terre des acteurs comme ça. Deuxième faute : pour prêter main forte à Ducret, Youn fait appel à François-Xavier Demaison. Rien qu'avec ça, le film est condamné. Troisième erreur : le traitement de l'idée. Je veux dire, ce truc de monter un club de divorcés, c'était le terrain au poil pour lancer des piques bien appuyées en direction des femmes. Cela aurait pu être bien politiquement incorrect et bien mettre les nerfs aux féministes hystériques prêts à dégainer pour émasculer du mâle à tours de bras. Ouais, mais non, rien de tout ça. Juste des flots d'alcool, de vulgarité ne menant absolument nul part. Je l'ai toujours dit : la vulgarité ne me choque absolument pas, mais faut-il encore qu'elle mène quelque part. Là, c'est juste du zéro pointé. Que Michaël Youn n'ait pas envie de grandir dans sa tête, je le comprends très bien, nous sommes des milliers, voire des millions à être dans ce cas, mais quand même, proposer ce genre de film à 46 ans, moi, je me pose quand même des questions. Audrey Fleurot ? Oh, que dire, si ce n'est qu'elle trouve-là le pire rôle qu'elle ait eu à tenir. Je sais bien qu'un moment ou un autre, tous les acteurs et toutes les actrices font bouillir la marmite, mais de là à le faire en acceptant des rôles pareils, ça n'est pas bon, et pour la crédibilité et pour l'estime de soi. Le seul point positif ? Le film est parti pour être un bon flop, c'est déjà ça, comme le chantait Alain Souchon.
Gênant, lourd et vulgaire. Les beaufs y trouveront leur plaisir, mais surtout à éviter en famille. Bref, tout simplement un film de Michaël Youn.
ce film est génial il y a beaucoup d'humour et je dois quand même avouer que j'adore Arnaud Ducret je l'ai vu plusieurs fois et je ne m'en lasse toujours pas
Pathétique. Film sans intérêt. Humour complètement glauque. Salle quasi vide et aucun rire entendu..☹️
En ces temps de bien-pensance il est bon de voir un film pour potes, un film un peu misogyne sur les bords. Et alors on rigole ca veut pas dire qu'on est misogyne dans la vie. Merci M.Young de rester toi même.
Alors oui c'est lourdingue mais le job est fait.
Alors oui c'est lourdingue mais le job est fait.
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