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Votre avis sur Divorce Club ?
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Roub E.
Un film qui a réussi à se faire un petit succès grâce à la pauvreté des sorties ciné entre deux confinements. Franchement je ne m’attendais pas à grand chose et je n’ai quasiment rien eu. Premièrement ça n’est pas drôle je ne suis même pas sûr d’avoir sourit ne serait-ce qu’une fois. En fait c’est une comédie française comme il y en a trop, accumulant les poncifs et les situations attendues, jusqu’à devenir franchement lourde au fur et à mesure qu’on se rend compte qu’il ne se passera rien d’original. La seule chose que ce film a fait, c’est de me faire réévaluer à la hausse « les gazelles » qui avec un pitch similaire à la base (profiter du récent célibat pour faire la fête) était en même temps beaucoup plus amusant et sérieux.
Comédie française à voir entre potes pour se détendre et délirer car ne vous attendez pas à une œuvre philosophique sur les peines amoureuses et comment le Soi surmonte l'échec personnel pour se relancer dans l'estime de soi. Le parti pris du film est "déconne, rire, situation burlesque, fête" et un peu de sérieux (quand même, on parle de la tristesse des personnes amoureuses larguées) au service d'un scénario classique et balisé (sans surprise donc) avec l'actualisation au contexte réelle, l'ultra castration des hommes "normaux" par les ultra féministes guerrières (aussi bêtes que les hommes donc, l'égalité par le nivellement par le bas !) On rigole bêtement et grassement à certaines occasions, il y a un empilement de situations et de scènes pour représenter la diversité de situations de divorce et de réactions à cela, un patchwork des potes de Michael Youn pour des passages plus ou moins réussis (Claudia Tagbo en forme même si caricaturale) du grotesque par moment, des bons sentiments en général, c'est quand même plus facile quand on est blindé de tunes et qu'on n'est pas trop embêté par la casse occasionnée par une conduite en état d'ébriété avancée (je ne pense pas que le film soit sponsorisé par la Prévention Routière et une grande marque auto italienne pas solide avec un hommage "involontaire" (??) à la Deuche de Bourvil dans "Le Corniaud") Allez y pour vous vider la tête ou abstenez-vous ! Le fait d'avoir reçu des prix à L'Alpes Dhuez ne signifie pas que le film est très bon, juste moins pire que les autres en compétition !! Imaginez alors le niveau générale des comédies françaises et globale du Cinéma Français (qui en plus se meurt dans des gué guerres internes de pseudo-philosophes qui ne distinguent pas l'œuvre de l'artiste)
Comédie. Française. Quand on a besoin de rire, on y va. On ne se souvient pas forcément du genre Michaël Youn. Et si l’on s’en souvient, c’est plutôt positif et engageant. Mais ce film-là est une immense cacophonie. L’humour décalé est à peine respirable. On est en fête en permanence en effet dans un décor magnifique sur les bords de la Méditerranée. Mais fête de vieux ados ; décor bien nouveau riche ; innombrables références à but publicitaire (qu’il s’agisse d’œuvre d’art contemporaine ou d’entreprise genre GIFI ou IKEA). Pourtant les acteurs sont excellents ––on y retrouve beaucoup de gens, dont le pharmacien de « Scènes de Ménages » (Grégoire Bonnet), bien décalé et décalqué ––on se demande quand même ce que vient faire Benjamin Biolay. La réalisation est excellente : il y a un véritable talent. La musique est excellente, le summum étant atteint en déterrant « Celebration » avec Kool & The Gang lui-même. Mais on s’ennuie mortellement. On ne sait pas trop pourquoi d’ailleurs. Les messages envoyés et le dénouement sont conventionnels, qu’il s’agisse de la femme ou de l’être humain (qui finalement est très monogame, comme le manchot). Heureusement, il y a Michel qui vaut le déplacement. Michel envoie des claques à répétition à Arnaud Ducret. Michel est un lémur de Madagascar. A.G.
Je me suis régalé ,on a rit tout le long ,bref j'ai adoré.
Le casting est tip top sa fait plaisir de revoir la troupe du morning même un court instant^^
Le casting est tip top sa fait plaisir de revoir la troupe du morning même un court instant^^
Bon casting mais pas drôle, gags basiques lourdauds Bref déçue par ce film sans intérêt. Que sont venus faire Audrey Fleurot, Demaison etc.., là dedans ?
Comme on pouvait s'y attendre, et malgré les critiques positives, ce film ne brille ni par son intelligence, ni par son bon goût. Quant à l'humour, mis à part 2 ou 3 rires forcés, on repassera.
En ces temps d'assignation à résidence (bis), temps de disette culturelle et cinématographique, je tente une production récompensée au dernier festival de l'Alpe d'Huez - par le Grand Prix ! Et tombe sur du Michael Youn (qui coécrit - avec 5 autres... réalise, et assure même un petit rôle).. Ce "Divorce Club" se voudrait sans doute du Apatow hexagonal : "40 ans (ou à peu près), toujours mariés (plus ou moins)" - chronique pour deux amis d'enfance qui s'étaient perdus de vue, dont un a fait fortune, soit donc "Ben" (Arnaud Ducret), le "pauvre", et "Patrick" (F-X Demaison), le nouveau riche. Potacheries répétitives, au résultat - avec embranchement vaudevillesque
spoiler:
("Ciel, on m'a piqué mon ex - et c'est mon vieux pote le coupable..")
, aussi imaginatif (forme, fond) que la plus formatée des sitcoms. Navrant... On cherche en vain quelque scène réussie, quelque réplique piquante... pour justifier un prix pour "humour" (raison d'être de ce festival des cimes enneigées..), ou, au moins, du burlesque revigorant et imaginatif. Las..
Ne dépare pas (sorti en juillet) la suite de navets proposée entre les deux mises sous écrou déjà subies...
, aussi imaginatif (forme, fond) que la plus formatée des sitcoms. Navrant... On cherche en vain quelque scène réussie, quelque réplique piquante... pour justifier un prix pour "humour" (raison d'être de ce festival des cimes enneigées..), ou, au moins, du burlesque revigorant et imaginatif. Las..
Ne dépare pas (sorti en juillet) la suite de navets proposée entre les deux mises sous écrou déjà subies...
Affligeant ! Des godes, du sexe, de la vulgarité inutile... j'aime bien Youn, mais là c'est le cliché de son image du début multiplié par cent, et quel dommage. Il a prouvé qu'il avait de l'idée et du talent quand il voulait, mais ici, c'est affligeant de nullité. J'ai pas ri une seule fois, au maximum j'ai eu 2 sourires. Le reste est très mauvais, le casting a l'air de s'amuser, mais perso j'ai vu une bande d'adultes complètement débiles qui pensent que divorce rime avec excès. Toutes ces scènes sur la drogue et l'alcool sont affligeante également. A jeter.
Une comédie régressive, décalée, un peu déjantée, mais lourdingue. Un moment sympa malgré la fin grotesque.
Une critique plus détaillée et d'autres sur le-blog-d-elisabeth-g.blogspot.fr
Une critique plus détaillée et d'autres sur le-blog-d-elisabeth-g.blogspot.fr
Jorik V
Lorsqu’on sait qui est à la barre de cette comédie plébiscitée au festival de l’Alpe d’Huez, en l’occurrence Michaël Youn, on sait pertinemment, sauf surprise, que cela ne va pas faire dans la dentelle. L’artiste a une filmographie qui compte à son compteur pas mal de nanars en tant que comédien mais il avait su nous offrir deux réalisations qui n’étaient pas passées inaperçues : « Fatal » et « Vive la France ! ». La première était à se plier en quatre pour qui goûte à ce genre d’humour même s’il n’est pas certain que le film ait bien vieilli et la seconde était décevante à cause d’un sujet prometteur mais pas traité de manière optimale. Dans les deux cas, c’était de l’humour bien gros et gras mais réussi et surtout qui faisait vraiment rire, et c’est presque tout ce que l’on demande à une comédie. Ici, avec son « Divorce Club » il est entre les deux mais on passe quand même un bon moment.
L’idée de base où de récents divorcés se réunissent chez le plus riche d’entre eux pour créer un club hédoniste est à la fois simple et terriblement efficace. Dommage qu’elle ne prenne place qu’à un tiers du long-métrage mais surtout qu’elle ne constitue qu’une toile de fond et pas vraiment le cœur du sujet. En effet, il y avait un potentiel énorme que l’on n’exploite pas à fond ici. Youn préfère s’attarder au personnage joué par Arnaud Ducret et faire un constat survolé du divorce à notre époque. Attention, pas de sociologie du couple ou de psychologie sociétale ici, on est dans la comédie pure et dure et c’est la gaudriole qui prime. La question première est donc : est-ce que l’on rit dans « Divorce Club » ? La réponse est clairement oui et le film a le mérite d’être énergique et rythmé. Après il faut avouer que visuellement il fait un peu daté, comme sorti d’une autre époque (le début des années 2000) où les comédies régressives, notamment américaines, pullulaient sur grand écran. Il y a pas mal de gags très drôles (le radar ou l’attaque du lémurien par exemple), des personnages croustillants (comme Helmut) mais aussi des ratés. En témoigne la scène finale lors de l’inauguration du club de sports de combat féminin, lourde et idiote.
Il y a aussi un gros problème de surenchère dans les dialogues, les situations et le jeu des comédiens. La dernière partie avec la gigantesque fête (on se croirait revenu à l’époque de « Jet Set » et « People ») et la restaurant vegan est certes amusante mais bien trop excessive. C’est gros et dans ces cas-là comme on dit, ça passe ou ça casse et ici c’est à la limite. Ducret en fait des tonnes en mec bourré et ce n’est guère à son avantage. Ensuite, Youn n’a guère amélioré sa mise en scène depuis ses deux premières réalisations et semble être resté bloqué à cette époque à ce niveau-là. Elle ne marquera donc pas les esprits par son côté fonctionnel. Et si les seconds rôles font beaucoup dans la réussite d’une comédie, ils sont plutôt bons ici mais on regrette que le rôle d’Audrey Fleurot soit quelque peu sacrifié. « Divorce Club » est donc loin d’être une catastrophe ou un film idiot car il fait rire et distrait mais entre son histoire d’amour bateau, ses excès humoristiques, son concept génial mais pas toujours abouti et ses images périmées, il y a quelques scories qui signifient : peut mieux faire !
Plus de critiques cinéma sur ma page Facebook Ciné Ma Passion.
L’idée de base où de récents divorcés se réunissent chez le plus riche d’entre eux pour créer un club hédoniste est à la fois simple et terriblement efficace. Dommage qu’elle ne prenne place qu’à un tiers du long-métrage mais surtout qu’elle ne constitue qu’une toile de fond et pas vraiment le cœur du sujet. En effet, il y avait un potentiel énorme que l’on n’exploite pas à fond ici. Youn préfère s’attarder au personnage joué par Arnaud Ducret et faire un constat survolé du divorce à notre époque. Attention, pas de sociologie du couple ou de psychologie sociétale ici, on est dans la comédie pure et dure et c’est la gaudriole qui prime. La question première est donc : est-ce que l’on rit dans « Divorce Club » ? La réponse est clairement oui et le film a le mérite d’être énergique et rythmé. Après il faut avouer que visuellement il fait un peu daté, comme sorti d’une autre époque (le début des années 2000) où les comédies régressives, notamment américaines, pullulaient sur grand écran. Il y a pas mal de gags très drôles (le radar ou l’attaque du lémurien par exemple), des personnages croustillants (comme Helmut) mais aussi des ratés. En témoigne la scène finale lors de l’inauguration du club de sports de combat féminin, lourde et idiote.
Il y a aussi un gros problème de surenchère dans les dialogues, les situations et le jeu des comédiens. La dernière partie avec la gigantesque fête (on se croirait revenu à l’époque de « Jet Set » et « People ») et la restaurant vegan est certes amusante mais bien trop excessive. C’est gros et dans ces cas-là comme on dit, ça passe ou ça casse et ici c’est à la limite. Ducret en fait des tonnes en mec bourré et ce n’est guère à son avantage. Ensuite, Youn n’a guère amélioré sa mise en scène depuis ses deux premières réalisations et semble être resté bloqué à cette époque à ce niveau-là. Elle ne marquera donc pas les esprits par son côté fonctionnel. Et si les seconds rôles font beaucoup dans la réussite d’une comédie, ils sont plutôt bons ici mais on regrette que le rôle d’Audrey Fleurot soit quelque peu sacrifié. « Divorce Club » est donc loin d’être une catastrophe ou un film idiot car il fait rire et distrait mais entre son histoire d’amour bateau, ses excès humoristiques, son concept génial mais pas toujours abouti et ses images périmées, il y a quelques scories qui signifient : peut mieux faire !
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nul , nul et nul.... affligeant... dommage le casting pouvait être sympa... clichés sur clichés , c' était presque gênant.
dommage d avoir investi pour aller voir ce film .
dommage d avoir investi pour aller voir ce film .
comme dans fatal il y a dans cette pure comédie tout l'adn de Michael youn qui est tout timidedans se rôle de meilleur ami. au dernier festival de la comédie de lalpes d'huez le film à reçu le grand prix et celui de la presse et je homprend pourquoi car c'est une comédie qui a du Peps et un rythme de fou.
Ah enfin un bon film d'humour, on reconnais bien l'humour de Michael Young et le film en soit est très drôle et plutôt réussi, j'ai passé un réel bon moment devant, l'histoire est original bien que assez éloigné de la réalité surtout à la fin et gênant par moment, mais en soit on en sort pas déçu d'être sortie d'un film vraiment drôle :)
Une idée de base assez marrante et, même si ce n'est pas toujours très fin et que les gags sont un peu attendus, c'est fait avec une telle énergie qu'on se laisse prendre au jeu.
Divorce club, comédie de et avec Michael Youn, mais avec Arnaud ducret en vedette, accompagné d'habitués du genre, François-Xavier Demaison, Audrey Fleurot ou encore Charlotte Gabris! Bref, quand on voit le casting principal et même tous ceux qui font un petit passage, on voit directement où va le film. Si ces acteurs/humoristes vous plaisent, vous allez forcément rire. Le scénario est un peu poussif, attendu, il y a une petite longueur au milieu, mais en général le rythme est correct. Bref, aucune révolution du genre, mais de quoi passer un moment détente, et tant pis si dans un mois on s'en souviendra quasiment plus!
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