Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
BIBA
par Pascal Jaubert
Le film est un vrai bonheur régressif saupoudré de punchlines bien senties.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Dans un registre tout aussi énergique mais beaucoup moins déjanté que dans ses films précédents, Michaël Youn et ses scénaristes réussissent totalement leur coup et offrent à leurs acteurs, à parité égale, des rôles à l’écriture soignée.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télé Loisirs
par Thomas Colpaert
Michaël Youn livre une oeuvre déjantée, explosive et multiprimée au Festival du film de comédie de l'Alpe d'Huez.
Closer
par La Rédaction
Le trublion sait nous faire rire sur ce sujet : un mariage sur deux environ finit en divorce, en France !
L'Obs
par Nicolas Schaller
Arnaud Ducret n’est pas Will Ferrell, mais il ne démérite pas.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Pas vraiment finaud mais bourré de gags.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par E.M.
C’est drôle, régressif, et même assez jubilatoire quand Youn lâche les chevaux dans des scènes joyeusement gratuites et excessives.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Paris Match
par Fabrice Leclerc
On aime ou pas l’humour cul nul de Michaël Youn, mais le fait est là : le « Divorce Club » qu’il a écrit et mis en scène est une comédie brillante, un délire parfaitement tenu sur les affres de l’infidélité chez les quadras triomphants.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Nicolas Bellet
Alors, certes, cette énième variation sur des adultes incapables de grandir et leurs délires régressifs pour essayer d’oublier que l’amour parfois ça fait mal, ne révolutionne pas le genre. Mais qu’importe, Michaël Youn assume pleinement son envie d’un pur divertissement, mû par la seule ambition de faire rire.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Le cocktail est tonique, souvent drôle, et distille une douce euphorie décomplexée.
Voici
par A. V.
Une grosse farce, parfois drôle, souvent lourde, à travers laquelle on peut voir, si l'on veut, des thèmes comme la confiance, l'amitié, l'engagement...
BIBA
Le film est un vrai bonheur régressif saupoudré de punchlines bien senties.
Le Parisien
Dans un registre tout aussi énergique mais beaucoup moins déjanté que dans ses films précédents, Michaël Youn et ses scénaristes réussissent totalement leur coup et offrent à leurs acteurs, à parité égale, des rôles à l’écriture soignée.
Télé Loisirs
Michaël Youn livre une oeuvre déjantée, explosive et multiprimée au Festival du film de comédie de l'Alpe d'Huez.
Closer
Le trublion sait nous faire rire sur ce sujet : un mariage sur deux environ finit en divorce, en France !
L'Obs
Arnaud Ducret n’est pas Will Ferrell, mais il ne démérite pas.
La Voix du Nord
Pas vraiment finaud mais bourré de gags.
Le Journal du Dimanche
C’est drôle, régressif, et même assez jubilatoire quand Youn lâche les chevaux dans des scènes joyeusement gratuites et excessives.
Paris Match
On aime ou pas l’humour cul nul de Michaël Youn, mais le fait est là : le « Divorce Club » qu’il a écrit et mis en scène est une comédie brillante, un délire parfaitement tenu sur les affres de l’infidélité chez les quadras triomphants.
Première
Alors, certes, cette énième variation sur des adultes incapables de grandir et leurs délires régressifs pour essayer d’oublier que l’amour parfois ça fait mal, ne révolutionne pas le genre. Mais qu’importe, Michaël Youn assume pleinement son envie d’un pur divertissement, mû par la seule ambition de faire rire.
Télé 7 Jours
Le cocktail est tonique, souvent drôle, et distille une douce euphorie décomplexée.
Voici
Une grosse farce, parfois drôle, souvent lourde, à travers laquelle on peut voir, si l'on veut, des thèmes comme la confiance, l'amitié, l'engagement...
Le Figaro
Tout est lourd, criard, téléphoné.