Le Rouge et le Gris, Ernst Jünger dans la grande guerre : Critique presse
Le Rouge et le Gris, Ernst Jünger dans la grande guerre
Note moyenne
4,2
6 titres de presse
Bande à part
Libération
Cahiers du Cinéma
L'Obs
Positif
Le Monde
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
6 critiques presse
Bande à part
par François-Xavier Taboni
Mise en images d’Orages d’acier, "Le Rouge et le gris", projet titanesque du photographe François Lagarde, est une adaptation qui retrouve le souffle et l’humanité du récit guerrier écrit il y a près de cent ans par Ernst Jünger.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Libération
par Marcos Uzal
C’est à la fois un admirable travail historique et une envoûtante plongée dans le gris du passé, parmi des paysages dévastés et des regards fantômes.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Azalbert
Avec ces milliers de soldats photographes qui sont autant de regards, le cinéaste a su recomposer le portrait du monde que nous avons perdu.
L'Obs
par François Forestier
Les trois heures et demie passent comme un cauchemar de soie, absurde et profondément humain.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Positif
par Eithne O'Neill
Comme autant de gravures à la manière noire, les images illustrent une histoire du conflit vu par des vaincus, sans amertume, sans héroïsme, scandée de phrases cristallines et la basse continue d'une belle partition.
Le Monde
par Mathieu Macheret
En s’associant ainsi par les pouvoirs du cinéma, image et littérature ouvrent un point de vue inédit sur l’expérience traumatique de la guerre, d’une puissance de suggestion bien au-delà des artifices de la fiction.
Bande à part
Mise en images d’Orages d’acier, "Le Rouge et le gris", projet titanesque du photographe François Lagarde, est une adaptation qui retrouve le souffle et l’humanité du récit guerrier écrit il y a près de cent ans par Ernst Jünger.
Libération
C’est à la fois un admirable travail historique et une envoûtante plongée dans le gris du passé, parmi des paysages dévastés et des regards fantômes.
Cahiers du Cinéma
Avec ces milliers de soldats photographes qui sont autant de regards, le cinéaste a su recomposer le portrait du monde que nous avons perdu.
L'Obs
Les trois heures et demie passent comme un cauchemar de soie, absurde et profondément humain.
Positif
Comme autant de gravures à la manière noire, les images illustrent une histoire du conflit vu par des vaincus, sans amertume, sans héroïsme, scandée de phrases cristallines et la basse continue d'une belle partition.
Le Monde
En s’associant ainsi par les pouvoirs du cinéma, image et littérature ouvrent un point de vue inédit sur l’expérience traumatique de la guerre, d’une puissance de suggestion bien au-delà des artifices de la fiction.