Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
32 critiques presse
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un concentré de folie, à la fois douce et furieuse.
Positif
par Louise Dumas
Kahn démontre ici une indéniable maestria dans la manière dont il s’approprie un canevas désormais classique. Le drame est bien construit, les rapports humains sont mis en scène avec justesse et sensibilité, les acteurs sont remarquablement dirigés.
Télé 2 semaines
par Gwénola Trouillard
Autour de Catherine Deneuve, suave et lâche, l'acteur-réalisateur Cédric Kahn fait exploser les névroses familiales avec une férocité qui n’exclut jamais l’amour ni la tendresse. Quelle claque !
20 Minutes
par Caroline Vié
Catherine Deneuve est impériale dans la peau de cette mère (et grand-mère) tentant de maintenir un semblant d’ordre et d’entente entre les siens.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Jo Fishley
Ce roman familial névrotique place en son coeur une héroïne puissante : Emmanuelle Bercot, tête haute, dépasse sa performance dans "Mon roi" de Maïwenn.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CNews
par La rédaction
[...] sorte de vaudeville dramatique en trois actes, et dont les dialogues ciselés font mouche.
Closer
par La Rédaction
Excellent.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Impériale, Catherine Deneuve est cette mère, autour de laquelle tout tourne, les désarrois et les incertitudes d’une fratrie mélancolique et douloureuse, entre douceur et cruauté.
Ecran Large
par Simon Riaux
Si le spectateur croit d'abord revisiter un genre balisé, le sol se dérobe progressivement sous ses pieds, au fur et à mesure que Cédric Kahn dévoile les mécaniques implacables de ce drame dont la mélodie amère évoque Tennesse Williams et Cassavetes.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Françoise Delbecq
Cette tragédie familiale intense et bouleversante est une réussite.
L'Humanité
par Sophie Joubert
Entre tragédie et comédie, tendresse et cruauté, Cédric Kahn laisse ses personnages aller au bout de leur folie. C’est leur façon de s’aimer. On laissera le dernier mot à Mouloudji, dont la chanson entêtante l’Amour, l’amour, l’amour teinte le film d’une douce mélancolie.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Le film ne règle aucun compte personnel, assume avec virtuosité son côté commedia dell’arte et affirme avec pertinence que toutes les familles s’édifient sur une masse explosive de non-dits, de dénis et de secrets enfouis qu’il vaut mieux percer avant le point de non-retour.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Ce Festen version Sud-Ouest déborde de vie, de chaleur et de sentiments.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
On regrettera peut-être un final un peu trop décalé dans son principe, mais il y a une totale virtuosité d'acteurs et un vrai plaisir de cinéma dans cette entreprise.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Le résultat est chaotique, décousu, déroutant, troublant : on ne sait pas forcément quoi en penser mais à l'évidence il se passe quelque chose.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Une autopsie ravageuse des relations familiales assez redoutable et entêtante.
Télérama
par Hélène Marzolf
Prises de bec entre mère trop placide, fille dérangée et fils lunaire. Avec une dose d’acide et une fantaisie bienvenue, le cinéaste revisite le film de famille.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Derrière cette comédie plutôt bruyante et animée, en revisitant une nouvelle fois les relations de famille, Cédric Kahn parle de la difficulté à se comprendre et des ravages de la maladie mentale. Saisissant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Thomas Lequeu
Après une heure d'hésitation, Fête de famille prend un virage bien plus pernicieux en suivant la folie de son héroïne.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Femme Actuelle
par La Rédaction
Autour de l'anniversaire de la mère, une réunion familiale apporte son lot de règlements de compte, révélations, dénis, répliques cinglantes. On voit le tableau. Ce qui arrange les uns produit des déséquilibres chez les autres, l'hystérie d'une fille, les ratages d'un fils... Heureusement, Vincent Macaigne apporte quelques notes d'humour, salutaires dans ce climat étouffant.
Franceinfo Culture
par Manon Botticelli
Comme les personnages, le spectateur passe du sourire à la tristesse. Au milieu de ces disputes désordonnées, c'est le mystère Claire, sa folie, qui tient le spectateur en haleine.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Antoine Le Fur
Si le sujet principal (les discussions houleuses autour de la vente de la maison familiale) est passionnant, ce n’est pas le cas des quelques intrigues périphériques, qui s’épuisent rapidement.
La Croix
par Céline Rouden
Sur un scénario convenu – un déjeuner de famille qui tourne mal –, le réalisateur Cédric Kahn tente d’apporter l’énergie et la radicalité de son cinéma afin de sonder les mystères de l’amour d’une fratrie. Dérangeant mais inégal.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Libération
par Anne Diatkine
"Fête de famille" appartient à un genre en soi, celui des retrouvailles familiales qui tournent mal dans des décors que jalousent les spectateurs – mais dont il faudra peut-être se séparer –, porté et magnifié par ses acteurs qui lui insufflent son romanesque et parviennent progressivement à faire oublier que le chemin balisé a été emprunté et réemprunté peut-être trop de fois et par les plus grands.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
Ne condamnant aucun des personnages qui se déchirent, [Cédric Kahn] préfère entendre leurs raisons et explorer leurs failles. La puissance de son psychodrame - virevoltant, parfois drôle, mais dont l'hystérie en épuiseront certains - émane aussi de Catherine Deneuve et Emmanuelle Bercot, en tête.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
On ne s’ennuie guère dans cette comédie vaudevillesque où se succèdent chamailleries et crispations plus ou moins cocasses. Mais l’hystérie d’Emmanuelle Bercot et les maladresses de Vincent Macaigne, qui occupent presque toute la place, finissent par lasser.
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Kahn semble se rêver comme le chef d’orchestre omnipotent de son propre film [mais], incapable de prendre la main sur ses comédiens en roue libre, il gesticule davantage qu’il ne mène une troupe visiblement bien en mal de comprendre tout l’enjeu de ce chahut absurde.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Sud Ouest
par Sophie Avon
Drôle de programme donc, que Cédric Kahn assume en cinéaste et comédien, interprétant le frère aîné face à un cadet qui multiplie les délires et tient à filmer l’anniversaire de sa mère pour un documentaire sur la famille - dit-il. Pas besoin d’être Ozu pour parler de ceux qu’on aime ou qu’on a aimés. Et de toute évidence, l’auteur des « Regrets » parle des siens.
Voici
par A.V.
Caire est fragile, survoltée, agressive. Elle vient réclamer son dû et dynamite l'équilibre précaire de cette famille où l'on s'invective autant qu'on s'éteint, et où tout le monde s'éreinte, y compris le spectateur...
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Le repli sur des formes, des types et des imaginaires bourgeoisement cuits et recuits est une tare bien connue du cinéma d’auteur français, mais elle nous étonnera toujours.
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Chacun, grossièrement défini, évolue peu au sein de ce film qui manque de nuances, avance par anecdotes, et finit par tourner en rond.
Première
par Thomas Baurez
Ce sadisme ne produit rien de transcendant, tout respire les compromis scénaristiques et l’ombre encombrante de Pialat se dissipe dès la première éclaircie... Défaite de famille.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Dauphiné Libéré
Un concentré de folie, à la fois douce et furieuse.
Positif
Kahn démontre ici une indéniable maestria dans la manière dont il s’approprie un canevas désormais classique. Le drame est bien construit, les rapports humains sont mis en scène avec justesse et sensibilité, les acteurs sont remarquablement dirigés.
Télé 2 semaines
Autour de Catherine Deneuve, suave et lâche, l'acteur-réalisateur Cédric Kahn fait exploser les névroses familiales avec une férocité qui n’exclut jamais l’amour ni la tendresse. Quelle claque !
20 Minutes
Catherine Deneuve est impériale dans la peau de cette mère (et grand-mère) tentant de maintenir un semblant d’ordre et d’entente entre les siens.
Bande à part
Ce roman familial névrotique place en son coeur une héroïne puissante : Emmanuelle Bercot, tête haute, dépasse sa performance dans "Mon roi" de Maïwenn.
CNews
[...] sorte de vaudeville dramatique en trois actes, et dont les dialogues ciselés font mouche.
Closer
Excellent.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Impériale, Catherine Deneuve est cette mère, autour de laquelle tout tourne, les désarrois et les incertitudes d’une fratrie mélancolique et douloureuse, entre douceur et cruauté.
Ecran Large
Si le spectateur croit d'abord revisiter un genre balisé, le sol se dérobe progressivement sous ses pieds, au fur et à mesure que Cédric Kahn dévoile les mécaniques implacables de ce drame dont la mélodie amère évoque Tennesse Williams et Cassavetes.
Elle
Cette tragédie familiale intense et bouleversante est une réussite.
L'Humanité
Entre tragédie et comédie, tendresse et cruauté, Cédric Kahn laisse ses personnages aller au bout de leur folie. C’est leur façon de s’aimer. On laissera le dernier mot à Mouloudji, dont la chanson entêtante l’Amour, l’amour, l’amour teinte le film d’une douce mélancolie.
L'Obs
Le film ne règle aucun compte personnel, assume avec virtuosité son côté commedia dell’arte et affirme avec pertinence que toutes les familles s’édifient sur une masse explosive de non-dits, de dénis et de secrets enfouis qu’il vaut mieux percer avant le point de non-retour.
Le Figaro
Ce Festen version Sud-Ouest déborde de vie, de chaleur et de sentiments.
Le Parisien
On regrettera peut-être un final un peu trop décalé dans son principe, mais il y a une totale virtuosité d'acteurs et un vrai plaisir de cinéma dans cette entreprise.
Les Fiches du Cinéma
Le résultat est chaotique, décousu, déroutant, troublant : on ne sait pas forcément quoi en penser mais à l'évidence il se passe quelque chose.
Ouest France
Une autopsie ravageuse des relations familiales assez redoutable et entêtante.
Télérama
Prises de bec entre mère trop placide, fille dérangée et fils lunaire. Avec une dose d’acide et une fantaisie bienvenue, le cinéaste revisite le film de famille.
aVoir-aLire.com
Derrière cette comédie plutôt bruyante et animée, en revisitant une nouvelle fois les relations de famille, Cédric Kahn parle de la difficulté à se comprendre et des ravages de la maladie mentale. Saisissant.
Critikat.com
Après une heure d'hésitation, Fête de famille prend un virage bien plus pernicieux en suivant la folie de son héroïne.
Femme Actuelle
Autour de l'anniversaire de la mère, une réunion familiale apporte son lot de règlements de compte, révélations, dénis, répliques cinglantes. On voit le tableau. Ce qui arrange les uns produit des déséquilibres chez les autres, l'hystérie d'une fille, les ratages d'un fils... Heureusement, Vincent Macaigne apporte quelques notes d'humour, salutaires dans ce climat étouffant.
Franceinfo Culture
Comme les personnages, le spectateur passe du sourire à la tristesse. Au milieu de ces disputes désordonnées, c'est le mystère Claire, sa folie, qui tient le spectateur en haleine.
L'Express
Si le sujet principal (les discussions houleuses autour de la vente de la maison familiale) est passionnant, ce n’est pas le cas des quelques intrigues périphériques, qui s’épuisent rapidement.
La Croix
Sur un scénario convenu – un déjeuner de famille qui tourne mal –, le réalisateur Cédric Kahn tente d’apporter l’énergie et la radicalité de son cinéma afin de sonder les mystères de l’amour d’une fratrie. Dérangeant mais inégal.
Libération
"Fête de famille" appartient à un genre en soi, celui des retrouvailles familiales qui tournent mal dans des décors que jalousent les spectateurs – mais dont il faudra peut-être se séparer –, porté et magnifié par ses acteurs qui lui insufflent son romanesque et parviennent progressivement à faire oublier que le chemin balisé a été emprunté et réemprunté peut-être trop de fois et par les plus grands.
Télé 7 Jours
Ne condamnant aucun des personnages qui se déchirent, [Cédric Kahn] préfère entendre leurs raisons et explorer leurs failles. La puissance de son psychodrame - virevoltant, parfois drôle, mais dont l'hystérie en épuiseront certains - émane aussi de Catherine Deneuve et Emmanuelle Bercot, en tête.
Le Journal du Dimanche
On ne s’ennuie guère dans cette comédie vaudevillesque où se succèdent chamailleries et crispations plus ou moins cocasses. Mais l’hystérie d’Emmanuelle Bercot et les maladresses de Vincent Macaigne, qui occupent presque toute la place, finissent par lasser.
Les Inrockuptibles
Kahn semble se rêver comme le chef d’orchestre omnipotent de son propre film [mais], incapable de prendre la main sur ses comédiens en roue libre, il gesticule davantage qu’il ne mène une troupe visiblement bien en mal de comprendre tout l’enjeu de ce chahut absurde.
Sud Ouest
Drôle de programme donc, que Cédric Kahn assume en cinéaste et comédien, interprétant le frère aîné face à un cadet qui multiplie les délires et tient à filmer l’anniversaire de sa mère pour un documentaire sur la famille - dit-il. Pas besoin d’être Ozu pour parler de ceux qu’on aime ou qu’on a aimés. Et de toute évidence, l’auteur des « Regrets » parle des siens.
Voici
Caire est fragile, survoltée, agressive. Elle vient réclamer son dû et dynamite l'équilibre précaire de cette famille où l'on s'invective autant qu'on s'éteint, et où tout le monde s'éreinte, y compris le spectateur...
Cahiers du Cinéma
Le repli sur des formes, des types et des imaginaires bourgeoisement cuits et recuits est une tare bien connue du cinéma d’auteur français, mais elle nous étonnera toujours.
Le Monde
Chacun, grossièrement défini, évolue peu au sein de ce film qui manque de nuances, avance par anecdotes, et finit par tourner en rond.
Première
Ce sadisme ne produit rien de transcendant, tout respire les compromis scénaristiques et l’ombre encombrante de Pialat se dissipe dès la première éclaircie... Défaite de famille.