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    La Lettre du Kremlin
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    TTNOUGAT
    TTNOUGAT

    599 abonnés 2 530 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 avril 2012
    On ne sait si c'est du lard ou du cochon,Huston se fiche royalement du spectateur, il se fait simplement plaisir en filmant quelques une de ses obsessions. Pas le moindre petit souci de vraisemblance,c'est même parfois de la dérision. Puis, par çi par là, le talent de ce grand cinéaste ressort et la qualité de la mise en scène redonne de l'inter et mais cela ne peut suffire à faire un bon film. Pourtant quel casting! Jamais Bibi Anderson n'a été aussi affriolante,mille fois plus que la sardine en boite dont il est à un moment question. Mais, c'est vraiment la seule avec la jolie brune à être bien dirigée,les autres font leurs petits numéros. Georges Sanders en tête qui se ridiculise en tricotant à qui mieux mieux et qui signe sa mort avec sa pelote de laine qui se déroule dans la rue, Richard Boone trop agé pour le rôle en fait bien trop, Orson Welles ne bouge presque plus, Patrick O'Neal aussi peu crédible que possible et enfin Max Von Sydow n'arrive même pas à nous faire froid dans le dos malgré l'accumulation des ses crimes sadiques. On a bien compris que tout ce petit monde fait horreur à Huston et que tout est aussi gris moralement que le début du film. Hélas,ces gens ont existé et existent encore dans les dictatures, je ne crois pas que cela soit un bon sujet pour toucher au ridicule comme il le fait.
    Estonius
    Estonius

    3 460 abonnés 5 453 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 mai 2014
    Tout simplement génial et d'une efficacité redoutable (voire perverse). Huston ne nous fait pas un film d'espionnage mais un film sur le milieu de l'espionnage, ce qui n'est pas la même chose. L'intrigue n'a que peu d'importance, d'ailleurs elle est incompréhensible, ce qui importe ce sont les individus qui nous apparaissent comme des pantins déshumanisés. Ça fait froid dans le dos, et Huston a eu l'intelligence de parsemer son film de quelques incongruités voulant montrer par-là que décidément c'est d'un monde à part qu'il nous parle (on n'est pas près d'oublier Sanders en train de tricoter, ou la fille qui ouvre un coffre avec ses orteils). Et puis il y a cette fin qui n'en finit pas de se retourner… et alors qu'on croit que le rideau va se terminer sur un happy-end, on reçoit la dernière image comme une véritable baffe. Il n'y a pas de happy-end dans le monde de l'espionnage. Chef d'œuvre !
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 199 abonnés 4 182 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 avril 2012
    John Huston est un cinéaste hétéroclite que ses talents de scénaristes ont guidé vers différents genres au gré d’une carrière atypique. En 1970 ses plus grands succès sont derrière lui et le cinéaste n’a plus la baraka au box-office depuis le début des années 60 malgré quelques films très remarquables comme « Les désaxés », « La nuit de l’iguane » ou « Reflets dans un œil d’or ». Il lui faut donc trouver rapidement un sujet rémunérateur pour entretenir le train de vie fastueux qu’il mène dans son manoir irlandais. Quand la Fox lui propose l’adaptation d’un roman d’espionnage de Noël Behn paru en 1966 , « La lettre pour le Kremlin », Huston y voit une très bonne occasion de surfer sur la vague d’engouement suscitée par la série des James Bond. Il a déjà côtoyé le genre trois ans auparavant en coréalisant « Casino Royale », parodie d’un roman de Ian Fleming, « Espions faites vos jeux ». C’est le versant noir de l’espionnage qui intéresse ici Huston qui délaisse délibérément tout le pan exotique amplement déployé dans la saga 007. Dès lors « La lettre du Kremlin » emprunte un formalisme plus classique et un mode narratif à mi-chemin entre « Le faucon maltais » et « Plus fort que le diable ». L’intrigue est forcément confuse à souhait ce qui permet à Huston de s’attarder davantage sur la peinture d’un milieu composé d’êtres sans morale qui ne s’abritent même plus derrière le patriotisme pour commettre les pires exactions. Comme la statuette du « Faucon Maltais », la fameuse lettre après qui tout le monde court devient vite annexe. « Ceux qui chercheraient après elle y mettraient au moins six mois » comme le disait ironiquement Huston lui-même à propos de son film. Sans doute pour cette raison "La lettre du Kremlin" ne connut pas le succès escompté. Reste un film au casting surprenant comme Huston savait en convoquer quelques fois, qui mérite d’être réévalué sans toutefois constituer une des œuvres maîtresses du grand Huston qui juste à la suite s’attaquera à deux œuvres nettement plus abouties comme « Le piège » et « L’homme qui voulut être roi ». A déguster pour la lucidité du réalisateur sur une nature humaine qu’il connaissait si bien.
    Caine78
    Caine78

    6 788 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 mars 2012
    Si on passera sur une enquête complexe où on ne comprend pas toujours tout (euphémisme), il faut avouer que « La Lettre du Kremlin » a de la gueule. Mise en scène glaçante de John Huston (qui exprime remarquablement l'enfermement de plus en plus oppressant du héros), galerie de personnages jubilatoires, répliques parfois admirables... On sent bien que le réalisateur du « Faucon maltais » a pris beaucoup de plaisir à réaliser ce jeu de massacre subtil, volontiers pervers et jouant brillamment sur le contre-champ pour nous évoquer les pires horreurs. Certaines scènes n'en sont pas moins remarquables, aussi bien lorsqu'il est question d'évoquer le sexe (Bibi Andersson en nymphomane perturbée est splendide) que les relations étranges et fascinantes que peuvent avoir les différents agents entre eux. Il suffit de voir le grand George Sanders en homosexuel accroc au tricot et drag queen à ses heures perdues, mais au font on pourrait quasiment tous les citer, à l'image d'un Richard Boone éblouissant, sans aucun doute l'une de ses plus belles performances. Et au moment où on pense avoir (enfin!) un peu de répit, Huston nous achève définitivement en nous offrant un dénouement d'un cynisme sans nom, sans doute parmi les plus brutaux de l'Histoire du cinéma... Sacré film en tout cas, peu aimable assurément, mais que l'on est pas près d'oublier de sitôt.
    Benjamin A
    Benjamin A

    717 abonnés 1 922 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 mai 2017
    Alors en pleine guerre froide, un groupe d'espions américains un envoyé à Moscou pour tenter de récupérer "La Lettre du Kremlin", un document d'une immense importance.

    Dès les premières minutes, John Huston nous immerge totalement au cœur de l'histoire et met en scène une atmosphère ambiguë, glaciale et pessimiste. Peu à peu il dévoile ses cartes et tire les ficelles entre les différents personnages, le tout avec cynisme et mystère, le protagoniste se retrouve peu à peu perdu et ne peut jamais avoir confiance en quiconque, tant chez ses supposés alliés que les ennemis. Bénéficiant d'une excellente qualité d'écriture, tant dans les personnages que les dialogues ou l'avancement de l'histoire (certes, assez complexe), il en tire le meilleur pour dresser le portrait d'une galerie de personnages aussi mystérieuse qu'intéressante.

    Là où Huston se montre particulièrement ambitieux, c'est dans le traitement des thématiques et de l'espionnage en général. On est loin du romantisme et excès à la Bond, ou d'un patriotisme (et propagande) fort, souvent présent en ces temps de guerre Froide. Ici, il est le plus réaliste possible, loin d'un mépris pour une nation ennemie et montre clairement la peur constante qui plane sur les agents, la façon dont ils vivent avec une épée de Damoclès au-dessus de la tête. Il décrit un monde pourri, notamment par la corruption et aborde de nombreux thèmes délicats sans aucune retenue, allant de la drogue à l'homosexualité.

    La façon dont Huston retranscrit tout cela est là aussi remarquable, que ce soit via la construction du récit où, malgré la complexité de l'affaire, on y est totalement immergé ou de brillamment jouer avec sa caméra (les contre champs surtout) pour décrire les pires des horreurs. Plusieurs scènes en deviennent mémorables, notamment l'introduction mais surtout la finalité qui fait vraiment froid dans le dos. Devant la caméra, les interprètes se fondent totalement dans leurs rôles bien compliqués, mention à Bibi Andersson, Patrick O'Neal et George Sanders.

    Une oeuvre qui est loin de laisser indifférent où, à nouveau, John Huston montre tout son savoir-faire et La Lettre du Kremlin est aussi ambitieux que réussi, nous emmenant avec ambiguïté et réalisme dans un monde d'espionnage qui fait froid dans le dos...
    JR Les Iffs
    JR Les Iffs

    79 abonnés 1 151 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 janvier 2016
    Film d'espionnage de bonne facture, traditionnel dans sa forme, même assez vieillot pour l'époque (1969), mais très intéressant dans le fond : complexité de l'intrigue, intérêt du sujet à l'époque de la guerre froide, le monde de l'espionnage est montré sans concession aucune, il n'y a pas de vraiment bons, tout le monde ment, et tue sans émotion.
    Les dernières secondes, terribles, résument la dureté du monde de l'espionnage.
    C'est un film très bien réalisé, comme d'habitude chez Huston, mais d'une manière très classique, sans effet de style, mais efficace. Les acteurs sont tous bons, bien que l'acteur principal aurait pu être plus convaincant dans son rôle, il paraît un peu raide et froid.
    (Sur le DVD : 2 bonus très intéressants)
    Plume231
    Plume231

    3 928 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 mai 2011
    John Huston et le genre de l'espionnage!!! Ceux qui connaissent l'oeuvre du Vieux Lion et la cruauté qui peut en ressortir doivent légitimement s'attendre à un véritable jeu de massacre (en plus pas de censure!). Eh bien! Ils ne seront pas du tout déçus. Ils seront même comblés au-delà de leur attente. L'intrigue est très complexe mais elle est particulièrement prenante. Ici pas de héros qui travaille par patriotisme, ils s'en fichent comme de leur premier cadavre, juste des personnes motivées par l'appât du gain ou par le sexe et la violence. Il ne faut surtout pas que l'un s'attache à l'autre sinon c'est pire que tout. Et puis à voir au milieu d'un casting prestigieux et cosmopolite, Bibi Andersson en nympho sado-masochiste ou encore plus surprenant l'élégant George Sanders en homo amateur de tricot et le temps d'une scène habillé en drag queen, on comprend qu'on n'a pas affaire à une oeuvre tellement conventionnelle. Comme si cela suffisait pas, c'est en plus d'être cruel très pessimiste. On croirait à la fin pendant cinq petites secondes que le cinéaste va à nous laisser sur une petite note d'espoir. Au contraire, c'est pour rendre cela pire que tout... Décidément, il était vraiment pas optimiste le père Huston mais là c'est limite cauchemardesque. En tous les cas, un des meilleurs films du genre que nous ait donné la très "fraternelle" Guerre Froide.
    landofshit0
    landofshit0

    277 abonnés 1 745 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 6 octobre 2011
    Une histoire qui oscille entre espionnage et manipulation de la part des état unis et l'urss.Tout ça traine un peu en longueur,John Huston semble vouloir imposer un rythme au film,mais il ne mets pas grand chose a l’intérieur de scènes inutilement longues.Les scènes de violence sont plutôt réussi,et coté casting les choix sont plutôt discutables car Orson Welles en rôle de Bresnavitch fonctionnaire russe du KGB,reste difficilement crédible avec sa bonne tête d’américain que possède le bonhomme,tout comme Patrick O'Neal.
    loulou451
    loulou451

    122 abonnés 1 503 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 août 2012
    "La lettre du Kremlin" fait partie sans conteste des plus grandes œuvres de John Huston. Il est surtout l'un des meilleurs films d'espionnage jamais tournés, par la grâce d'un scénario, qui, une fois n'est pas coutume, permet d'y voir clair au milieu des situations compliquées, des agents doubles, des espions et des trahisons. Car il ne manque rien à la panoplie du parfait film d'espionnage. Les femmes sont belles, courageuses, trahies et parfois lâches, les hommes sont retords, sadiques, sentimentaux à souhait, héroïques, faibles, forts ou couards. Au milieu de ce bal des humains, John Huston fait office de parfait chef d'orchestre, sinuant entre toutes ces âmes, trouvant son équilibre entre l'histoire et les sentiments qui la portent. L’œuvre d'un grand réalisateur qui confie les clés de son oeuvre à un Richard Boone tout simplement exceptionnel. Magique.
    belo28
    belo28

    70 abonnés 1 130 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 juillet 2012
    Décidément les meilleurs films d'espionnage sont lents, complexes et quasiment sans armes! En effet, voici le prédécesseur de La Taupe! Et il s'attaque au même sujet: les relations USA/URSS pendant la guerre froide! Et les deux règles cela comme une partie d'échecs! Sans jamais d'affrontements directs! Une fourmilière de bonnes idées de mise en scène et scénaristique! Un casting grandiose faisant la part belle à chacun (Von Sydow éblouissant!)! Une complexité formidable qui permet un nombre de lectures ahurissant! Bref le chef d'oeuvre absolue du genre!
    AMCHI
    AMCHI

    5 899 abonnés 5 936 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 septembre 2011
    Je suis un peu déçu par ce film de Huston, La Lettre du Kremlin s'inscrit dans ses films d'espionnages réalistes mais il manque néanmoins de suspense et de tension de plus l'histoire n'est pas toujours passionnante on peut même dire que durant trois quart-d'heure La Lettre du Kremlin trainasse un peu en fait ce film prend toute sa saveur dés que l'équipe "d'espions" opèrent à Moscou. Le casting sans avoir d'acteurs de 1er plan est tout à fait convaincant ; au final on a droit à un bon film d'espionnage mais dans le même genre je préfère Le Piège (que Huston réalisera quelques années plus tard).
    Bruno François-Boucher
    Bruno François-Boucher

    112 abonnés 163 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 5 septembre 2020
    Peut-être le film d'espionnage le plus pervers, le plus manipulateur et le plus inhumain qui ait jamais existé. D'un scénario implacable Huston tire une œuvre d'une richesse exceptionnelle avec des acteurs prodigieux: Richard Boone, Max Von Sydow, Bibi Andersson, George Sanders, Orson Welles, Lila Kedrova, pour ne citer qu'eux.
    ronny1
    ronny1

    39 abonnés 913 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 avril 2023
    Avec « The Kremlin Letter » Huston voulait réaliser un anti « James Bond » d’école. Sur la forme les décors exotiques et les hotels luxueux sont remplacés par les rues pluvieuses de Moscou (filmé à Helsinki) et les intérieurs poussiéreux des hauts fonctionnaires soviétiques. De même, la myriades de jolies filles se limite à deux : Bibi Anderson (qui forme avec Max Von Sydow un couple de dégénérés bien frappé) et la falote Barbara Parkins. Ainsi, la bataille poussiéreuse dans le bordel de Nigel Green se veut aussi anti sexy que possible, les prostiuées tenant plus de la mégère débraillée en benouze, que de l’appateuse aux dessous affriolants. De même pas de scène de bravoure, ni de prouesses visuelles, la réalisation étant des plus classiques. A la place une intrigue très complexe (il faut au moins eux visions pour bien suivre) qui étale un cynisme de tous les instants, permettant à Max Van Sydow et Orson Welles quelques grands numéros d’acteur, le premier sur la dureté et la faiblesse, le second sur l’ambiguïté. Si Bibi Anderson, Richard Boone, Nigel Green et George Sanders sont parfaits, le “héros” principal est interprété par Patrick O ‘Neal avec une platitude évidente, alors qu’ironie et distanciation semblent nécessaires. Donc cette intrigue tarabiscotée peine d’autant plus à intéresser, qu’aucune identification ne soit possible. Malgré une musique originale de Robert Drasnin, l’austérité assumée de la photographie et des décors empêche encore un peu plus le spectateur d’entrer dans le film. N’en déplaise aux inconditionnels de John Huston, dans les anti James Bond, “Icpress, danger immédiat” (The Ipcress File) que Sidney J. Furie réalisa cinq ans plus tôt avec le génial Michael Caine et, déjà, Nigel Green, semble nettement plus convaincant et plus moderne. Reste le fond. Une descente en règle de ce monde finalement sans héros, mais remplis de salauds, du haut au bas de l’échelle, que John Huston (dans le rôle de l’amiral) résume parfaitement : « … les officiers de carrières n'aiment pas ces organisations bâtardes dont je ne veux même plus connaître l'existence. ». Globalement un bon film, pas obligatoirement passionnant, mais qui offre une persistence certaine.
    Max Rss
    Max Rss

    201 abonnés 1 803 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 9 mai 2019
    Je ne suis pas un spécialiste du cinéma John Huston. Cependant, de ce que j'ai pu voir jusqu'à maintenant, il y a un vrai talent qui se dégage. Mais là, je me demande bien où est passé ce talent. L'histoire, qui paraissait si simple et prometteuse d'un film d'espionnage bien nerveux se complexifie au fur et à mesure et finit par être complètement décousue. On s'ennuie à mourir. Au final, on s'aperçoit que Huston a juste filmé quelques unes de ses obsessions et rien d'autre. De temps à autre, on a bien quelques éclairs nous rappelant à notre bon souvenir que Huston n'était pas un cinéaste du dimanche, mais ça ne suffit pas. Même les acteurs ne sauvent pas ça. Pourtant, il y a quand même du lourd. Que ce soit Bibi Andersson, Orson Welles ou Max Von Sydow, aucun ne tire son épingle du jeu. Aucun. Et O'Neale n'est juste pas taillé et crédible pour ce genre de rôle. Pour aller dans le sens d'une ressemblance physique existante, y aurait eu James Coburn, ça aurait eu plus d'allure. J'en suis certain. Voilà des années que je voulais la voir cette "Lettre du Kremlin". Des années d'attente qui se soldent par un rejet franc.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 18 juillet 2014
    En plus d'une réalisation moyenne le film est assez déplaisant à suivre car Huston mélange les invraisemblances à un scénario déjà assez peu clair avec ses personnages qu'on a du mal à cerner et qui finissent pas nous laisser froid à part peut être Bibi Anderson ...
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