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Cette comédie très enlevée est si drôle qu’on se sent une envie pressante de la « liker » et de la recommander à tous ses followeurs une fois sortis de la salle, son smartphone reconnecté.
Un défi relevé haut la main, puisque cette comédie percutante ressemble au final plus à un long-métrage avec des intrigues parallèles qu'à une succession de sketchs. Ce « Selfie »-là a été un vrai travail d'équipe.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Autour de ce thème actuel en diable, les auteurs de "Selfie" troussent une comédie insolente et pas sotte qui renseigne avec acuité sur notre accablante réalité ultra connectée. A voir pour rire et… pour réfléchir.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ce programme de sketchs dénonce avec acidité ces travers modernes. Cinq films courts (tous signés par des mecs, dommage) et inégaux, mais parfois salutairement fielleux.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Ce sont nos travers numériques que "Selfie" s'amuse à épingler avec humour et finesse dans un film à sketch : les cinq histoires, bien mises en scène et dialoguées, touchent là où ça fait mal, même si on aurait aimé encore plus de férocité à l'égard de cet Homo numericus, largement ridiculisé mais un peu trop vite pardonné.
« Selfie » nous renvoie à nos propres rêves dont le numérique s’est emparé. Seul point faible : à vouloir illustrer son sujet, le film multiplie les situations au détriment de ses personnages et le récit, drôle au départ, se délite peu à peu.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Si tous les comédiens excellent, deux actrices méritent tous les pouces levés : Elsa Zylberstein, décidément à l’aise dans l’humour perché, et Blanche Gardin, renversante de premier degré.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Film de scénaristes plus que de mise en scène, Selfie a finalement les défauts de ce genre d’exercices : les ficelles scénaristiques peinent à se dissimuler.
[Selfie] a l'intelligence de faire le choix de l’indulgence là où le sujet laissait entrevoir une énième satire de la vanité contemporaine. Ces saynètes pourtant [finissent] par produire une certaine lassitude, probablement parce que l'étroitesse de l'angle adopté et l’évidence qui s’y niche peinent à générer un regard à chaque fois renouvelé sur le contemporain.
On l’aura compris : Selfie est une farce lestée et à charge, avec sa petite morale induite sous sa férocité surjouée. Accrocs au virtuel, réveillez-vous, vous allez devenir fou, déprimé, stressé, sans libido et même bientôt mort, c’est selon. On clique, on claque : pas riant !
L’union ne fait pas la force pour ce film qui critique l’impact du numérique sur notre quotidien. Une brochette d’acteurs comme Manu Payet, Blanche Gardin, Maxence Tual ou Elsa Zylberstein servent cinq intrigues très inégales et souvent outrancières.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
20 Minutes
Cette comédie très enlevée est si drôle qu’on se sent une envie pressante de la « liker » et de la recommander à tous ses followeurs une fois sortis de la salle, son smartphone reconnecté.
BIBA
[...] cette comédie sur les dérives du numérique [...] fait autant rire que flipper.
CNews
Si l’épilogue est un peu long avec des scènes répétitives, l’ensemble est drôle, piquant, et dans l’air du temps.
Closer
Les histoires de ce film à sketchs dans l'air du temps sont suffisamment bien vues et interprétées pour que que l'on rie (jaune) de nous-mêmes.
Femme Actuelle
C’est plein de petites vérités et de détails bien vus.
Franceinfo Culture
"Selfie" a l’intelligence de nous faire rire aux éclats de nous-mêmes avec une belle pertinence. Un effet miroir hilarant.
L'Express
Dans l'ensemble, "Selfie" arrive assez bien à tenir le rythme, jusqu'à un dénouement aussi drôle qu'inquiétant.
Le Parisien
Un défi relevé haut la main, puisque cette comédie percutante ressemble au final plus à un long-métrage avec des intrigues parallèles qu'à une succession de sketchs. Ce « Selfie »-là a été un vrai travail d'équipe.
Marianne
Autour de ce thème actuel en diable, les auteurs de "Selfie" troussent une comédie insolente et pas sotte qui renseigne avec acuité sur notre accablante réalité ultra connectée. A voir pour rire et… pour réfléchir.
Ouest France
Parfois inégal mais avec de très bon moments.
Voici
Une comédie caustique sur l'intrusion toxique du numérique dans nos vies.
L'Obs
Ce programme de sketchs dénonce avec acidité ces travers modernes. Cinq films courts (tous signés par des mecs, dommage) et inégaux, mais parfois salutairement fielleux.
La Voix du Nord
C’est inégal, parfois convenu, souvent gentiment drôle, un tantinet moralisateur, jamais complètement trash. Mais c’est quand même bien vu.
Le Journal du Dimanche
Ce sont nos travers numériques que "Selfie" s'amuse à épingler avec humour et finesse dans un film à sketch : les cinq histoires, bien mises en scène et dialoguées, touchent là où ça fait mal, même si on aurait aimé encore plus de férocité à l'égard de cet Homo numericus, largement ridiculisé mais un peu trop vite pardonné.
Les Fiches du Cinéma
Même s’il manque de fond, l’humour y est un vivifiant appel au réveil des consciences.
Positif
Tout n’est pas aussi grinçant, hélas ! Mais on sauve quelques idées drôles [...].
Première
Piquant, rythmé et savoureux.
Sud Ouest
« Selfie » nous renvoie à nos propres rêves dont le numérique s’est emparé. Seul point faible : à vouloir illustrer son sujet, le film multiplie les situations au détriment de ses personnages et le récit, drôle au départ, se délite peu à peu.
Télé 7 Jours
Les cinq sketchs, traitant de l'addiction aux réseaux sociaux, tendent un miroir guère flatteur à l'Homo numericus que nous sommes devenus.
Télé Loisirs
Une satire sympathique [...].
Télérama
Si tous les comédiens excellent, deux actrices méritent tous les pouces levés : Elsa Zylberstein, décidément à l’aise dans l’humour perché, et Blanche Gardin, renversante de premier degré.
Le Monde
Film de scénaristes plus que de mise en scène, Selfie a finalement les défauts de ce genre d’exercices : les ficelles scénaristiques peinent à se dissimuler.
Les Inrockuptibles
[Selfie] a l'intelligence de faire le choix de l’indulgence là où le sujet laissait entrevoir une énième satire de la vanité contemporaine. Ces saynètes pourtant [finissent] par produire une certaine lassitude, probablement parce que l'étroitesse de l'angle adopté et l’évidence qui s’y niche peinent à générer un regard à chaque fois renouvelé sur le contemporain.
Paris Match
Un sujet riche pour un long-métrage parfois bien pensé mais très inégal, surtout quand il abandonne lasatire pour le vaudeville un peu facile.
Dernières Nouvelles d'Alsace
On l’aura compris : Selfie est une farce lestée et à charge, avec sa petite morale induite sous sa férocité surjouée. Accrocs au virtuel, réveillez-vous, vous allez devenir fou, déprimé, stressé, sans libido et même bientôt mort, c’est selon. On clique, on claque : pas riant !
Le Figaro
L’union ne fait pas la force pour ce film qui critique l’impact du numérique sur notre quotidien. Une brochette d’acteurs comme Manu Payet, Blanche Gardin, Maxence Tual ou Elsa Zylberstein servent cinq intrigues très inégales et souvent outrancières.