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La malice et l’intelligence propres à cette comédie tiennent précisément à ce que les politiques ne sont pas montrés par Balibar comme des individus cyniques et intéressés mais représentés au contraire comme une bande d’illuminés.
Tel le titre du film, Montfermeil rime avec merveilles. C'est une utopie qui, comme dans le livre de référence de Thomas More, est une île, mais ici flottante au gré du contre-courant des idées folles. La plus belle proposition de "Merveilles à Montfermeil" vient de sa militance bienveillante contre l'effondrement général du langage.
Quand Jeanne Balibar passe à la réalisation, cela donne une comédie très loufoque, voire débridée, où l’on sourit parfois tout en regrettant que l’actrice et réalisatrice n’ait pas resserré ses boulons.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
On salue l’audace et la perfidie de l’écriture, cette envie de filmer Montfermeil à l’opposé des « Misérables » (où l’actrice cinéaste campait une commissaire atypique), et la joyeuse direction d’actrices et d’acteurs, tous épatants. Mais, au cinéma, le bordel requiert de la rigueur, et Jeanne Balibar en manque. Dommage.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Farce burlesque, Merveilles à Montfermeil se moque de l'administration et de ses aberrations. On sourit parfois lorsque les élus veulent instaurer « la journée du sarouel » ou la sieste pour tous. Mais en abusant de l'absurde, ce film totalement décousu nous perd en route (...)
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Entre loufoquerie et naïveté, le film joue la carte de la diversité mais donne surtout à voir les cabrioles d’une palanquée de comédiens confirmés en roue libre.
Cette comédie foutraque, première réalisation de Jeanne Balibar, tente de mettre l’utopie au pouvoir en banlieue mais tourne rapidement au ridicule en dépit de la folle énergie déployée par ses comédiens.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Mais force est de constater que la loufoquerie de cette satire reste trop souvent théorique, que la diversité des langues et des registres ne produit que rarement les étincelles escomptées.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
La malice et l’intelligence propres à cette comédie tiennent précisément à ce que les politiques ne sont pas montrés par Balibar comme des individus cyniques et intéressés mais représentés au contraire comme une bande d’illuminés.
Closer
Un premier film en forme de fable politique, drôle, tendre et pas si naïve.
Les Inrockuptibles
Tel le titre du film, Montfermeil rime avec merveilles. C'est une utopie qui, comme dans le livre de référence de Thomas More, est une île, mais ici flottante au gré du contre-courant des idées folles. La plus belle proposition de "Merveilles à Montfermeil" vient de sa militance bienveillante contre l'effondrement général du langage.
Libération
[...] l’irrégularité de ce bordel organisé ne nuit jamais au sentiment réjouissant d’être face à un film libre et heureux d’exister.
Télé 7 Jours
Comédie loufoque et généreuse.
L'Humanité
Un film sympathique, à défaut d’être complètement réussi.
Le Monde
Jeanne Balibar invente une comédie joliment absurde, servie par une cohorte d’acteurs talentueux, de Mathieu Amalric à Marlène Saldana.
Sud Ouest
Quand Jeanne Balibar passe à la réalisation, cela donne une comédie très loufoque, voire débridée, où l’on sourit parfois tout en regrettant que l’actrice et réalisatrice n’ait pas resserré ses boulons.
Voici
Drôle de mélange, joyeusement décalé, voire franchement zinzin, entre la satire politique et la comédie du remariage.
L'Obs
On salue l’audace et la perfidie de l’écriture, cette envie de filmer Montfermeil à l’opposé des « Misérables » (où l’actrice cinéaste campait une commissaire atypique), et la joyeuse direction d’actrices et d’acteurs, tous épatants. Mais, au cinéma, le bordel requiert de la rigueur, et Jeanne Balibar en manque. Dommage.
Le Parisien
Farce burlesque, Merveilles à Montfermeil se moque de l'administration et de ses aberrations. On sourit parfois lorsque les élus veulent instaurer « la journée du sarouel » ou la sieste pour tous. Mais en abusant de l'absurde, ce film totalement décousu nous perd en route (...)
Les Fiches du Cinéma
Une utopie qui se tourne elle-même en dérision et finit par ridiculiser la gentille gaucherie des personnages et les bonnes intentions du film.
Positif
Entre loufoquerie et naïveté, le film joue la carte de la diversité mais donne surtout à voir les cabrioles d’une palanquée de comédiens confirmés en roue libre.
L'Express
Le film est si mauvais qu'il a une chance d'accéder au statut de nanar culte.
La Croix
Cette comédie foutraque, première réalisation de Jeanne Balibar, tente de mettre l’utopie au pouvoir en banlieue mais tourne rapidement au ridicule en dépit de la folle énergie déployée par ses comédiens.
Le Figaro
Pour sa première réalisation, Jeanne Balibar se perd dans une histoire qui s’agite dans tous les sens. Embarrassant.
Le Journal du Dimanche
[...] rien n’est drôle dans cette fable décousue qui sombre dans le ridicule : la loufoquerie vire à la pitrerie, les comédiens en font des tonnes.
Marianne
Rien de plus embarrassant qu'une comédie pas drôle.
Ouest France
Jeanne Balibar rêve d'une folie douce mais se noie dans l'abscons.
Première
Un vent de folie souffle qui emporte tout, l’intelligibilité du récit, la justesse des acteurs et notre patience.
Télérama
Mais force est de constater que la loufoquerie de cette satire reste trop souvent théorique, que la diversité des langues et des registres ne produit que rarement les étincelles escomptées.