Derniers Avis sur Ta mort en short(s)

Successions de courts-métrages sur le thème du deuil, de la mort, la solitude, les croyances etc.
Dans l'ensemble, plutôt sympathique, la variété des styles est intéressantes à regarder. Suivant le court métrage et la direction artistique cela nous parle plus ou moins. Je regrette cependant le manque de profondeur, je n'ai pour ma part pas ressenti ce coté percutant que l'on peut avoir avec les courts-métrages! Dommage, il manquait ma dose de mélancolie, de tristesse, de joie, d'émotions intenses en fait.
Un peu le sentiment que c'était de l'art pour faire de l'art et qu'il manque de fond.
Ca reste choupi

un ensemble de films très différents, sur un sujet que l'on n'aime pas trop affronter mais qui est tellement universel...
6 belles façons, sensibles et audacieuses, d'aborder la disparition et le deuil

« Ta Mort en Short(s) » est un programme de 6 courts métrages qui évoquent la mort, le deuil et la tristesse. « Pépé le Morse », sélectionné à Cannes et César du Meilleur court-métrage d’animation ouvre ce programme osé et inédit. Il décrit des émotions différentes de membres d’une famille après le décès du grand-père. « Mon Papi s’est caché » est une petite poésie en aquarelle où un grand-père explique à son petit-fils qu’il devra prendre soin de son jardin après sa mort. « La Petite Marchande d’allumettes » est l’adaptation du célèbre conte d’Andersen. Une petite fille est obligée de brûler toutes les allumettes qu’elle vend pour se réchauffer dans la rue. « Chroniques de la Poisse » va suivre un homme à tête de poisson qui propage des bulles qui portent malheur lorsqu’il ouvre la bouche. Le court « Mamie » suit les derniers jours d’une vieille dame abrupte dont la vie va changer après avoir reçu un avis d’expropriation. Enfin, « Los Dias de los Muertos » décrit les retrouvailles entre un mari décédé et sa femme encore vivante, à l’occasion de la Fête des Morts au Mexique. Les techniques utilisées par les animateurs sont toutes différentes et l’atmosphère est plus ou moins énergique selon l’histoire à raconter. Pourtant, Folimage réussi un pèle mêle efficace pour adorer aborder la mort avec des enfants dès dix ans.
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