Quand on regarde une "comédie", généralement on rit. Les moments "drôles" sont en fait des moments gênants. Ma femme et moi avons perdu 1h30 de notre vie à regarder ce navet. Fuyez !
Toujours aussi mauvais, que je sois modérée ou non. Bref, ce film n'est jamais drôle, et en ce qui concerne la bien-pensance, il se pose là. Comme bien des productions Netflix, ce n'est pas un secret. Pour ma part, je ne l'ai pas regardé en entier, déjà parce que ce n'est guère passionnant, et que certains propos m'ont carrément énervée. Perso, je m'attendais seulement à une comédie sur une lesbienne qui n'ose pas avouer ses préférences à ses parents. Ca aurait pu être drôle et sympathique, même si c'est peu original. Le reste est en trop , l'intrigue est débile.
Entre les dialogues et l'histoire incompréhensibles, on se perd entre humour et gêne. Pas comique, je comprends où ils voulaient en venir mais c'est mal fait et trop grossièrement...
Ce film ouvre le débat car la protagoniste ne déclenche aucune empathie et n’;hésite pas à blesser l’;ensemble de son entourage. spoiler: La fin est une « happy ending » qui ne la rend heureuse que elle et est imposée aux autres personnages sans qu’ils n’aient rien à dire . En gros c’est une sociopathe égoïste. Néanmoins, Ce film est à prendre je pense totalement au second degré. On voit l’évolution d’une jeune femme qui cherche son identité. Elle se retrouve dans un triangle amoureux qui représentent plusieurs facettes de son identité : d’un côté son homosexualité (ici sa compagne lesbienne) et de l’autre le rejet de sa religion (ici son amoureux musulman sénégalais). Vu comme ça, pendant spoiler: une bonne partie du film elle est en échec : mauvaise lesbienne, mauvaise croyante, mauvaise fille obéissante, mauvaise aspirations. Elle essaie de se conformer ou résiste sans grande ardeur à ce qu’on lui impose ou même ment pour faire croire qu’elle se conforme même si elle blesse tous ceux qui l’entourent.
Néanmoins, elle a un attachement profond à sa famille qu’elle rejette pendant tout le film spoiler: avant de montrer un attachement lors du mariage (la scène où elle pleure en souriant). Si on prend le film au pied de la lettre, là spoiler: protagoniste est juste une sociopathe qui impose une relation à 3 à deux personnes qui n’ont rien demandé . Si l’on prend le film au second degré, spoiler: c’est plutôt lanprotagoniste qui fait la paix avec son identité : bisexuelle, aimant sa famille même si elle ne leur obéit pas et avec une relation mi-figue mi-raisin avec la religion. spoiler: C’;est le seul moment où elle s’affranchit car avant cela elle fuit, se cache et laisse juste la vie se dérouler et la piéger. Cet immobilisme est même irritant comme spectateur et la fin ne semble pas méritée car égoïste mais parler de nos identités est un processus égoïste malgré le fait que tout le monde veuille nous en imposer une, les identités sont plurielles et évoluent. C’est la vie.
J ai beaucoup aimé. Julia Piaton et Sarah Stern excellentes dans leur rôle. Qui suis je? Voilà la question que se pose Sarah Stern au sujet de son homosexualite..dans une société toujours férue de préjugés où le coming out est difficile..naissent alors des situations cocasses avec Richard Berry Catherine Jacob sans oublier Ariel El Malhe...dont les valeurs judaïques prédominent.sujet traité avec beaucoup d humour....je l ai vu 2 fois...et comme on ne rit pas souvent..ce film en vaut la peine.
Pathétique. Tous les poncifs de la bien-pensance médiatico-citadine-lgbt-bisounours... J'en passe ! Si l'écriture dite inclusive, avec ses petits points médians bien disciplinés, pouvait se traduire en images, certain qu'il y aurait plein dans le film, des points médians ! Tout partout ! Et pas que pour faire joli, vous pouvez me croire ! Pour faire progressiste... Parce que c'est ce qu'on fait, progressiste, quand on arrive pas trop à penser par soi-même et qu'on l'ignore... On se fait croire qu'on a des choses plein son petit coeur. On s'imagine que c 'est comme si on baignait pas vraiment. dans le conformisme. En tout. cas pas dans le même que celui du mâle blanc dominant... On n'est plus un plouc ! Une mémère encore moins ! Youpi ! Après ce tract, ce catalogue, cette énumération naïve de sujets pour bobos attardés qui se prétend film, j'ai pensé à Jésus Christ. ! Celui qu'a dit : "tous les homos ils sont gentils, tous les noirs ils sont sympas"... Bref ! Un film situé à la magistrale périphérie du nombril de petites minorités bien bourgeoises et qui s'espèrent majorités en marge... En plus d'être radicalement déprimant, c'est complètement, absolument, définitivement ringard.
Faut vraiment être compliqué dans sa tête pour avoir pondu un scénario pareil ! La plupart des comédies se contentent de faire se rencontrer deux personnages que tout oppose. Là on coche toutes les cases des clichés d'opposition des religions, des races et de la sexualité. Et curieusement ça tient debout, sauf la conclusion qui tire trop sur la corde pour être acceptable. Sarah Stern assume bien le rôle principal de ce personnage qui ne sait plus à quel sein/saint se vouer. Richard Berry est excellent. En sous-entendu, un beau message de tolérance et d'ouverture à l'autre.
Un très bon film léger, qui volontairement surfe surfe sur le principe de communauté ( les juifs; les lesbiennes, les noirs) et l'inutilité de placer les gents dans les cases. Tout a le monde a des défauts, peut importe tes origines ou ton orientation il y a des cons et des gents bien partout. Et quoi qu'en disent les biens pensant qui ne connaissent finalement rien a ces différentes communautés ,les traits de caractères énoncés dans ce film son vrai et réaliste. Belle composition féminine dans ce film ( un plaisir de voir Catherine Jacob) les rôles masculins un peu en retrait par contre
En 2018, Myriam Aziza réalise pour Netflix une comédie de mœurs vraiment banale. Si l’intention du scénario est plutôt louable, sa mise en forme reste bien fade tant elle réunit de nombreux clichés. Une jeune femme juive et lesbienne (Sarah Stern, plus connue pour son rôle dans « Les Tuche ») rencontre un cuisinier sénégalais (Jean-Christophe Folly). A partir de là, on assiste à une succession de rebondissements convenus, sans véritable humour. Bref, un téléfilm sans grand intérêt.
original , les couples , l'amour , l'homosexualité , les croyances et les préjugés.. des bouleversements en perspective et des chocs familiaux , à découvrir..
Une CATASTROPHE. Honteux. Clichés sur cliché absolument pas drôle. Gênant, et très déçue « le but de la vie c’est de faire des enfants » « je ne me maquille pas donc je suis lesbienne ». Déjà deux phrases pour vous mettre dans le contexte. Dégradant pour tous les goûts et toutes les couleurs.