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weihnachtsmann
1 141 abonnés
5 121 critiques
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4,0
Publiée le 25 décembre 2022
Un joli film tout en finesse, élégance et riche en apprentissage. New York est filmé comme chez WA. Les beaux quartiers, les beaux restaurants. Avec les artistes en devenir, ceux qui renoncent et ceux qui se dévouent pour eux, l'héroïne qui est jeune a du mal à trouver sa place mais elle est convaincante et pleine de malice pour trouver son chemin. Le personnage de SW est également très bon. Une très jolie incursion dans le monde de l'édition.
Beaucoup trop ressemblant avec le diable s'habille en Prada !! Et l'original est souvent mieux que la copie. Néanmoins, ce film se laisse voir et le jeu des acteurs est bon.
A la lecture du synopsis, "My Salinger Year" (Mon année à New York), adapté des mémoires de Joanna Smith Rakoff, peut faire penser à une démarque de "The Devil Wears Prada". En fait, il n'en est rien. Le film déroule le passage de la post adolescence au véritable âge adulte, avec la nécessité des décisions, des choix et des renoncements qui vont avec. Avec une finesse bordée de références littéraires, Philippe Falardeau, pointure du cinéma québécois (dont cette réalisation est nettement la moins convaincante), réalise un film étonnant de souplesse et de didactisme, agrémenté de l'ambiance parfaitement reconstituée du New York des années 90. Porté par la fraîcheur de Margaret Qualley et la grande Sigourney Weaver, le déroulé aurait gagné en intensité s'il ne s'était pas fourvoyé dans une bluette dont le développement est juste encombrant. Certes comparé à "Prada" le rythme n'y est pas et le côté clinquant est absent. Mais il est vrai que la profondeur du monde littéraire n'a rien à voir avec la superficialité carnivore de la mode.
Pas terrible. Il n'y a rien de très convaincant dans ce film en dehors du fait que si Sigourney Weaver avait joué dans "Le Diable s'habille en Prada", elle aurait pu faire aussi bien que Meryl Streep,
Un film ni bon ni mauvais. L'histoire manque de rebondissement mais l'ensemble est sympathique juste de quoi occuper une soirée si vous n'avez rien d'autre à voir.
Pâle imitation du Diable s'habille en Prada. Aucune rythmique, aucune action du film dynamique. Heureusement qu'il y a Sigourney Weaver pour rehausser un peut tout ça.
Un film subtil, poétique, sur la vocation d'écrivain et la vie d'une agence d'auteurs. Sous l'ombre tutélaire de Salinger, Margareth Qualley éclabousse le film de sa grâce et de son talent de bout en bout. Sans elle, le film serait banal. Je l'avais déjà trouvée exceptionnelle de justesse et de délicatesse dans la série Maid, ce film confirme qu'elle a tout d'une star. Une petite merveille, réalisée avec finesse et dotée d'un grand casting.
Ce n est pas le film le plus vibrant produit. Néanmoins Qualley est très crédible dans une histoire sans surprise à la réalisation assez classique. Cela se laisse regarder et permet de découvrir le monde de l Edition, donc pourquoi pas ?
Jeux d'acteurs et mise en scène très bien, l'histoire pourrait être plus intéressante et plus poussée, la fin ne m'a pas emballé... un peu trop plat à mon goût dans l'ensemble
Le monde de l'édition littéraire vu par une jeune écrivaine. Tout tourne autour de J.D. Salinger dont on ne verra que la silhouette. Elle lui parle au téléphone. Elle répond en douce à sa place à ses lecteurs. La bande de copains discute littérature comme des bobos parisiens au café Procope. Elle est frustrée mais ne désarme pas. La scène de la danse "virtuelle" avec son ex, avec d'autres couples personnages des romans de l'écrivain est tellement suranné et anachronique. A l'image du film...
Typique film d'apprentissage, My Salinger Year a pour atout de se dérouler dans la sphère littéraire des années 90 à New York. Plus précisément dans une agence qui embauche l'héroïne de cette histoire avec pour principale tâche de lire les nombreuses lettres adressées à leur "client' le plus prestigieux, à savoir l'icône Salinger, reclus depuis une trentaine d'années et qui ne publie plus rien depuis.. Le mystère autour de l'écrivain est un excellent moteur pour le film du québécois Philippe Falardeau mais le personnage principal est bien cette jeune femme, décidée à devenir écrivaine, et dont les épisodes sentimentaux n'ont que peu d'intérêt. Il y a cependant un petit charme "allenien" dans cette chronique légère qui comporte quelques bonnes idées mais manque quelque peu de fantaisie ou d'extravagance. Pas de quoi fouetter un chat, donc, mais un bon moment à passer avec l'exquise Margaret Qualley et son mentor, l'impeccable Sigourney Weaver.
ça fait plaisir, de temps en temps, sur des pépites comme celle-ci. une belle histoire, une bonne mise en scène, une belle image, et surtout de très bons acteurs.
pour moi, la véritable révélation est la petite Margaret Qualley qui a le premier rôle face la grande Sigourney Weaver. je l'avais découverte dans la pub de Kenzo où sa présence à l'écran était un ravissement. comme quoi, le fruit ne tombe jamais bien loin de l'arbre. telle mère, telle fille. après ce film, je pense que beaucoup de scénarios seront déposés sur sa table de nuit.