Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
L'Obs
par François Forestier
Le film – tourné en un an et demi – tire sa force de la personnalité même de Stéphanie : comment ne pas être sensible à sa détermination et son amour de la nature ? Elle irradie l'image. Tout est possible, il suffit d'y croire.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par La Rédaction
Si, avec ce documentaire, Delphine Détrie a voulu montrer la détermination et la beauté d'une Parisienne qui a tout lâché pour se confronter à la dure réalité d'une nouvelle vie au grand air, l'objectif est pleinement atteint.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Isabelle Boudet
Tout quitter pour s’installer à la campagne et élever des brebis ? Les soixante-huitards en rêvaient, Stéphanie Maubé l’a fait. Cette “jeune bergère” charismatique est la star de ce portrait inspiré, la tête un peu perchée, les pieds dans la boue.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par La Rédaction
Une belle histoire, où la réalisatrice colle au plus près de son personnage.
Positif
par Éric Derobert
Vis-à-vis de son personnage, Delphine Détrie choisit le strict minimum du côté introspection. Et s'appuie sur du concret.
La Croix
par Jean-Clément Martin Borella
Jeune Bergère est le récit de ces agriculteurs novices oubliés, désireux de développer une exploitation à taille humaine, mais usés par les méandres administratifs. Par ce témoignage, Stéphanie leur donne un visage.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Rien n’altère la pugnacité de l’héroïne ordinaire d’un film aussi sympathique que bucolique dans les prés salés du Cotentin.
Le Monde
par Clarisse Fabre
Les prés du Cotentin appartiennent au domaine public maritime et les différents troupeaux cohabitent en pâturage collectif. Les renards rôdent… Mais l’essentiel est ailleurs : le but de Stéphanie Maubé est d’amener les bêtes à une quasiautonomie, sur ces prés salés qui côtoient la Manche. Quitte à ne plus en revoir certaines. Ce rituel de la traversée est l’une des plus belles scènes du film.
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Modeste et touchant, c’est surtout quand il pose sa caméra au milieu d’un vaste champ et s’accorde au temps de sa travailleuse et de ses compagnons duveteux que "Jeune bergère" se fait le plus passionnant.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Samuel Douhaire
A travers ce portrait admiratif, superbement filmé dans les paysages ventés du Cotentin, se dessine la contestation d'un élevage productiviste, qui pénalise les exploitations à taille humaine.
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
Un portrait de femme qui prône la valeur du travail et le besoin d’indépendance, mais élude les questions politiques et sociétales impliquées par la situation qu’il décrit.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Première
par Thierry Chèze
Jeune bergère se révèle un portrait débordant d’une empathie enveloppante qui en constitue à la fois sa force et ses limites. Car Delphine Détrie oublie trop souvent de re-contextualiser les choses, d’aller au-delà de la simple captation de ce quotidien, comme un Depardon y parvient si brillamment dans Profils paysans. Son Jeune bergère laisse donc une impression d’inachevé.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Obs
Le film – tourné en un an et demi – tire sa force de la personnalité même de Stéphanie : comment ne pas être sensible à sa détermination et son amour de la nature ? Elle irradie l'image. Tout est possible, il suffit d'y croire.
Le Figaro
Si, avec ce documentaire, Delphine Détrie a voulu montrer la détermination et la beauté d'une Parisienne qui a tout lâché pour se confronter à la dure réalité d'une nouvelle vie au grand air, l'objectif est pleinement atteint.
Les Fiches du Cinéma
Tout quitter pour s’installer à la campagne et élever des brebis ? Les soixante-huitards en rêvaient, Stéphanie Maubé l’a fait. Cette “jeune bergère” charismatique est la star de ce portrait inspiré, la tête un peu perchée, les pieds dans la boue.
Ouest France
Une belle histoire, où la réalisatrice colle au plus près de son personnage.
Positif
Vis-à-vis de son personnage, Delphine Détrie choisit le strict minimum du côté introspection. Et s'appuie sur du concret.
La Croix
Jeune Bergère est le récit de ces agriculteurs novices oubliés, désireux de développer une exploitation à taille humaine, mais usés par les méandres administratifs. Par ce témoignage, Stéphanie leur donne un visage.
Le Journal du Dimanche
Rien n’altère la pugnacité de l’héroïne ordinaire d’un film aussi sympathique que bucolique dans les prés salés du Cotentin.
Le Monde
Les prés du Cotentin appartiennent au domaine public maritime et les différents troupeaux cohabitent en pâturage collectif. Les renards rôdent… Mais l’essentiel est ailleurs : le but de Stéphanie Maubé est d’amener les bêtes à une quasiautonomie, sur ces prés salés qui côtoient la Manche. Quitte à ne plus en revoir certaines. Ce rituel de la traversée est l’une des plus belles scènes du film.
Les Inrockuptibles
Modeste et touchant, c’est surtout quand il pose sa caméra au milieu d’un vaste champ et s’accorde au temps de sa travailleuse et de ses compagnons duveteux que "Jeune bergère" se fait le plus passionnant.
Télérama
A travers ce portrait admiratif, superbement filmé dans les paysages ventés du Cotentin, se dessine la contestation d'un élevage productiviste, qui pénalise les exploitations à taille humaine.
aVoir-aLire.com
Un portrait de femme qui prône la valeur du travail et le besoin d’indépendance, mais élude les questions politiques et sociétales impliquées par la situation qu’il décrit.
Première
Jeune bergère se révèle un portrait débordant d’une empathie enveloppante qui en constitue à la fois sa force et ses limites. Car Delphine Détrie oublie trop souvent de re-contextualiser les choses, d’aller au-delà de la simple captation de ce quotidien, comme un Depardon y parvient si brillamment dans Profils paysans. Son Jeune bergère laisse donc une impression d’inachevé.