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    Le raleur
    Le raleur

    3 abonnés 143 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 septembre 2018
    Lundi 10 septembre 2018 : c'est un documentaire réussi car il révèle un témoignage précieux sur le quotidien des soignants
    Alexandre Cacheux
    Alexandre Cacheux

    57 abonnés 541 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 septembre 2018
    "A chaque instant" est un documentaire absolument passionnant sur la formation des infirmiers/infirmières.
    Apprentissage théorique, premiers contacts avec les patients, dernières heures avant le grand saut professionnel…
    Peurs, émotions, pressions, dures réalités...le spectateur partage toute la gamme des sentiments des formés.
    Et progressivement un profond respect et une grande admiration s'emparent du spectateur vis à vis de ces femmes et ces hommes qui nous accompagnent dans nos souffrances en oubliant les leurs.
    momo M.
    momo M.

    40 abonnés 282 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 septembre 2018
    Documentaire très bien construit qui intéressera les soignants aussi bien que les patients. Les élèves semblent bien formés, motivés et les cadres infirmiers à leur écoute. On peut regretter que les problèmes actuels de l'hôpital ne soient pas vraiment abordés.
    poet75
    poet75

    271 abonnés 703 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 septembre 2018
    Après avoir introduit sa caméra au Louvre (1990), dans une école de campagne (« Être et avoir » en 2002) ou encore à la Maison de la Radio (2013), c’est au centre de formation de la Croix-Saint-Simon que Nicolas Philibert a pu s’introduire afin de filmer la formation des infirmières et infirmiers pendant plusieurs mois. Et, à nouveau, comme pour chacun de ses films précédents, le résultat est remarquable. Le cinéaste réussit à merveille à capter les émotions, à détecter les hésitations, les peurs, les réconforts et les courages. Tout ce qui fait l’humain, tout ce qui se perçoit quand on prend le temps d’observer les visages, les attitudes et les gestes, tout ce qui se devine dans chacune des paroles qui sont prononcées.
    Le film se divise en trois parties, chacune étant introduite par un vers du poète Yves Bonnefoy. La première se déroule au sein de l’école et s’attache à suivre l’apprentissage des techniques et des gestes que doivent savoir accomplir les infirmiers. Il s’agit d’apprendre des règles de base (prendre soin de tous les malades sans aucune distinction, quelle qu’elle soit, par exemple) et d’acquérir la maîtrise de certains gestes et de certaines techniques : piqûres, manipulation, pansements, etc. Les élèves s’exercent soit sur des mannequins soit sur des volontaires en chair et en os, ce qui, parfois, donne lieu à des scènes presque burlesques.
    Puis vient le passage obligé par un stage. C’est l’objet de la deuxième partie du film, tournée dans les différents services où sont intégrés les élèves. Cette partie-là non plus ne manque pas d’humour, tout en dévoilant également les détresses et les inquiétudes non seulement des élèves-infirmiers mais surtout des malades que, néanmoins, Nicolas Philibert filme toujours avec respect.
    Enfin, une troisième partie se déroule entièrement entre les murs des salles où chacun des élèves, de retour de stage, est soumis à une évaluation. C’est la plus dépouillée d’un point de vue cinématographique mais c’est aussi celle qui génère le plus d’émotions. Car, pour plus d’un des élèves-infirmiers, la période de stage a été particulièrement généreuse sur ce plan-là. Être confronté à des malades en fin de vie dont certains décèdent sous les yeux du stagiaire, se retrouver au sein d’une équipe hospitalière très directive ou même se faire dérober son ordinateur à l’hôpital, rien de tout cela n’est facile à supporter. Et il est nécessaire que l’élève-infirmier puisse décrire ses difficultés afin d’être rassuré et guidé par le conseiller ou la conseillère chargé(e) de l’écoute et de l’évaluation.
    En fin de compte, ce qu’il faut retenir par-dessus tout, me semble-t-il, de cet excellent documentaire, c’est la place primordiale accordée aux relations humaines pendant la formation du futur infirmier ou de la future infirmière. Certes, il lui faut acquérir des gestes et des techniques sans failles, mais il lui faut surtout savoir se mettre à l’écoute des patients et, si possible, dialoguer avec eux, sans jamais évacuer totalement la force de ses émotions mais tout en étant capable de les contrôler. Il est rassurant de savoir avec quelle intensité l’accent est mis sur ces points-là pendant la formation des élèves-infirmiers.
    PLR
    PLR

    466 abonnés 1 560 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 septembre 2018
    Ce type de documentaire s'adresse d'abord et en première intention aux professionnels du secteur, de même qu'aux futurs ou déjà étudiant(e)s. Difficile de dire à leur place s'ils s'y retrouvent ou pas. Un public plus large, mais sans doute pas un très grand public, pourra aussi s'y intéresser car chacun sait que la profession d'infirmier / infirmière est la clé de voûte du système de santé. Explorer et présenter la manière dont ils et elles vivent leur formation et le contenu de celle-ci fait donc oeuvre de vulgarisation citoyenne. Des images, des témoignages, des situations qui cependant ne montrent rien ici de vraiment inattendu et ne bousculent rien. Une partie, celle qui aurait pu et dû être la plus intéressante et socialement utile est malheureusement traitée de manière trop superficielle et édulcorée. Il s'agit de la violence managériale propre au milieu de la santé (eh oui, qui l'eut cru ?). Quelques larmes et gorges serrées témoigneront de la dureté de l'accueil de ces étudiants en cours de formation dans les services. Quand on connait un peu le milieu médical, on sait que la formation d'aujourd'hui en IFSI (Institut de Formation en Soins Infirmiers) est calquée sur les méthodes de l'Université (et pour cause puisqu'en point de sortie c'est considéré comme une licence), ce qui n'était pas du tout le cas des générations qui ont précédé, essentiellement formées à la technique et donc plus rapidement opérationnelles (en deux ans au lieu de trois aujourd'hui). Dans ce documentaire, on devra se contenter du mal être qui remonte de ces entretiens post stage et de la bienveillance des cadres formateurs à défaut d'investigations directes sur la réalité du terrain dans les services hospitaliers. A décharge, les autorisations de tournage auraient sans doute été plus difficiles à obtenir avec un angle de traitement différent et plus percutant.
    Stéphane C
    Stéphane C

    59 abonnés 389 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 septembre 2018
    Un documentaire passionnant et bouleversant qui aborde l'apprentissage du difficile métier d'infirmier à travers différents ressentis. Au delà de l'aspect technique, ressortent, entre autres, les difficultés liées à la nécessité d'écoute, à ce qui pourrait être assimilé à un don de soi pour autrui, à des problématiques telles que la mort, à la pression omniprésente générée très souvent par le manque de moyens... Beaucoup de spontanéité et d'émotions dans ce film...
    🎬🎬🎬🎬
    Scénario Catastrophe
    Scénario Catastrophe

    30 abonnés 156 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 septembre 2018
    Documentaire composé en trois parties, la première, c'est l'école, la deuxième, le stage et la troisième, le compte rendu de celui-ci. Le point de vue du réalisateur est très objectif et on sent que tous oublient la caméra, et c'est déjà une prouesse, réussir à obtenir des images des patients hospitalisés en est une autre. Le film est intéressant dans sa construction, mais il est, au final, pas si instructif. Que voulait-on nous apprendre, nous montrer exactement ? Était-ce un simple hommage aux personnes qui pratiquent ce métier courageux et au plus proche de la douleur ? Ce que j'ai envie de retenir est l'empathie dont font preuve les personnes qui pratiquent le métier d'infirmier-ère. Elles doivent trouver les mots justes pour rassurer ou créer de la distance avec les patients. Elles sont sensibles, et en ce sens là dernière partie me semble être la plus marquante. Les étudiants reviennent sur leur expérience et les enseignants font preuve d'une écoute et d'un travail de psychologue très sincère et bienveillant.
    Gfa Cro
    Gfa Cro

    54 abonnés 573 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 septembre 2018
    Vu et avis le 20180901

    Très bien, intime et descriptif

    Je ne comprend pas les citations qui rythment le film.

    Ceci mis à part, le documentaire. m a beaucoup plu. Juste mélange entre documentaire factuel sur le métier et ressentis intime sur ceux qui l apprennent, c est juste dans tous les plans.

    Pour la femme qui montre son t-shirt, on ne comprend pas bien ce qu elle fait la au début. J ai cru que c était une scène prise le we durant le repos du garçon. Oui c était clairement dit avec le t-shirt mais n importe qui peut l acheter aussi je n ai pas réalisé en fait. Peut être que la séquence aurait pu se terminer par le panneau indiquant le nom de l’ établissent:

    J ai beaucoup apprécier l histoire de l ordinateur et de la mère qui nous rappelle comme des choses externes à l hôpital peuvent avoir des conséquences, sont importantes.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 1 septembre 2018
    Comme dans Etre et avoir, Nicolas Philibert réalise ici un documentaire qui nous plonge dans la réalité de l'apprentissage, celui du métier d'infirmier et d'infirmière, dans une école de Montreuil. Trois moments dans ce film, qui fait passer le spectateur du rire aux larmes. Le rire est surtout présent ds la première séquence, pendant laquelle les élèves de première année s'exercent aux gestes fondamentaux sur des mannequins et sur leurs camarades de promo. Le deuxième moment nous permet de suivre les jeunes apprentis dans les différents services où ils effectuent leur stage. Au chevet des malades, le stress des stagiaires n'a d'égal que celui du patient qui craint de servir de cobaye. On réalise la difficulté du métier et la diversité des tâches à apprendre. Puis c'est le retour de stage et l'entretien à l'école : des retours d'expérience positifs, souvent, mais aussi des désillusions et des émotions difficiles à maîtriser (l'angoisse devant la mort, la difficulté de communiquer avec les patients, les remarques désagréables de l'équipe encadrante, la crainte de ne pas savoir faire). Le film passe très vite et on sort heureux d'avoir partagé un peu du quotidien de ces jeunes.
    Yves G.
    Yves G.

    1 461 abonnés 3 488 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 septembre 2018
    Nicolas Philibert a suivi la scolarité des filles et des - rares - garçons d'un Institut de formation en soins infirmiers (IFSI) de l'est parisien. Son documentaire est organisé en trois parties annoncées chacune par un vers d'Yves Bonnefoy.
    La première montre les étudiants durant leur formation théorique. La pharmacopée, la déontologie leur sont enseignées en cours magistral. Ils s'initient aux gestes de base sur des mannequins en plastique : piqûre, pansement, massage cardiaque...
    La deuxième les suit durant leurs stages pratiques (ils en effectueront un par semestre durant les trois ans de leur scolarité) en hôpital, en unité de soins psychiatriques, en EPHAD...
    La troisième filme les entretiens de fins de stages des futurs diplômés qui, avec un responsable de l'IFSI, rendent compte de leur expérience, extériorisent leurs joies ou leurs doutes.

    Le choix d'un titre. On imagine les hésitations du réalisateur et de son producteur au moment de choisir le titre de son documentaire. On se souvient du beau titre de celui qu'il avait consacré à un instituteur de campagne : "Être et avoir". Plus récemment, sa plongée dans les entrailles de Radio-France était plus sobrement titrée "La Maison de la Radio". Le choix d'un titre hésite toujours entre deux partis : informer le spectateur sur le contenu du film qu'il s'apprête à voir et/ou annoncer à travers le choix d'un titre plus métaphorique un parti pris esthétique ou politique. C'est d'un côté "L'Opéra" de Stéphane Bron sur l'Opéra-Garnier, "National Gallery" de Wiseman sur le célèbre musée londonien ou la trilogie de Depardon "Profils paysans". C'est de l'autre "Sans adieu" de Christophe Agou qui filme, comme Depardon, cette même vie paysanne, "À voix haute" sur le concours Eloquentia ou "Le Président", le documentaire qu'Yves Jeuland consacre à Georges Frêche.

    Avec "De chaque instant", Philibert opte pour le second choix. Sans doute n'a-t-il pas voulu choisir Infirmières - excluant les garçons - ou Infirmiers - trop masculin - sans se résoudre à l'inclusif Infirmier-ère. D'autant que bizarrement, le mot "infirmier" est absent des dialogues où on lui préfère celui de soignant.e. On comprend volontiers ce que le titre choisi veut dire. Les infirmiers/soignants sont présents à tout instant au chevet de leurs "patients" - un substantif préféré à l'honni "malade". Pour autant, De chaque instant montre moins cette disponibilité sans faille, cette présence maternelle au chevet d'un malade/patient que l'apprentissage d'un métier.

    Car c'est moins le métier d'infirmier que la façon de l'apprendre qui intéresse Nicolas Philibert. L'apprentissage, la transmission du savoir étaient déjà au cour de "La vie des sourds" et de "Être et avoir". Ici, c'est toute la rigueur du métier qui est scrupuleusement présenté. Rien ne nous en détourne, aucune digression sur la vie privée des élèves au pas desquels Philibert refuse de s'attacher, masse indistincte et anonyme d'apprenants attentifs et humbles.

    On a parfois, devant ce documentaire trop sage, trop lisse, l'impression de voir un film de propagande sur la grandeur et les servitudes du beau métier d'infirmier. mais ce serait avoir la dent bien dure et le cœur bien sec que de porter sur ce documentaire austère et beau un jugement si cynique.
    Didier L
    Didier L

    35 abonnés 222 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 août 2018
    Nicolas Philibert fait preuve de la même tendresse, de la même douceur avec ses élèves infirmiers qu'avec les petits élèves de "Être et avoir". Il porte un regard juste, bienveillant, sans jugement, d'une simplicité touchante mais aussi subtile dans ses portraits. Après une première partie sur la formation souvent drôle, le film devient bouleversant devant les confessions des élèves devant leurs examinatrices après leur période de stage. On mesure alors la formidable empathie dont fait preuve le réalisateur derrière un filmage discret et pudique alors que les jeunes infirmiers se livrent sans détours.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 31 août 2018
    Ayant fait mes etudes d infirmière, il y a plus de 40 ans, je voulais voir ce film pour me remémorer ma formation. Très décue par les nombreux dialogues et les entretiens. Certes, pas facile de filmer 'les patients' les soins. Quelques scènes drôles ou émouvantes.
    Bernard D.
    Bernard D.

    111 abonnés 613 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 août 2018
    « De chaque instant » est le dernier documentaire de Nicolas Philibert qui avait produit en 2002 un témoignage remarquable sur l’école avec « Être et avoir ». Il récidive ici en quelque sorte en parlant de la formation des infirmières en précisant que ce film a été tourné en grande partie à l’école d’infirmières d’Amiens, pardon l’IFSI - Institut de Formation en Soins Infirmiers - comme on dit de nos jours.
    Etant médecin, les 2 premières parties (apprentissage de la théorie et des gestes techniques puis application des connaissances dans les stages dans les services) m’ont paru longues mais elles sont nécessaires pour le grand public afin de montrer la masse de conaissances et de gestes que les infirmières doivent maitriser.
    La 3ème partie du film consacrée à l’aspect humain est très intéressante. On y voit l’angoisse des apprenants à passer à l’acte du fait du sentiment de ne pas savoir maitriser totalement la technique, de ne pas bien comprendre les pathologies ou de difficultés personnelles liées à la pudeur (ex. sondage vésical chez un homme), à la difficulté « d’essayer de trouver le mot juste » … On y voit la confrontation à la souffrance et à la mort (ex. service de cancérologie où une élève à dû « encaisser » 5 décès pendant son stage) ou à des situations humaines complexes (ex. la jeune migrante qui consulte par peur d’avoir attrapé le SIDA durant son périple du fait de …). On y voit aussi la différence d’intégration des élèves au sein des équipes (facile en cancérologie car « l’équipe est soudée et à l’écoute », plus difficile dans un service de soins intensifs en cardiologie) avant que de façon claire et nette les monitrices évoquent le problème de la maltraitance vécue par toutes les catégories de personnel au sein des hôpitaux au point de devenir une plaie aboutissant à l’usure des personnes (ex. l’infirmière « cassante ») et au burn-out voire au suicide mais Nicolas Philibert ne va pas si loin.
    Pour ma part je regrette que le problème des relations avec les médecins n’ait pas été abordé en dehors dans la première partie d’une monitrice qui parle du code de Déontologie face à un médecin qui demanderait à une infirmière de donner un sédatif à un patient en fin de vie (je vois mal une infirmière s’y opposer réellement dans la pratique mais ?) et inversement un médecin qui après avoir enlevé un drain thoracique, dit « gentiment » à l’équipe paramédicale « Je vous laisse terminer, les amies ».
    De même je regrette que le problème de la paperasse et de l’informatique (fugitivement évoqué par l’élève en soins intensifs de cardiologie) n’ait pas été développé car c’est une gangrène en termes de temps qui aboutit au fait que les infirmières n’ont plus de nos jours le temps de parler à leurs malades … vu la rentabilité exigée par les administratifs.
    D’autres aspects pourraient être évoqués : la masculinisation de la profession ; la diversité des origines ethniques et sociales des postulants …
    Bref un très bon support pour introduire un débat avec le grand public et l’avertir des menaces qui planent sur notre système de santé publique même si à mon avis Nicolas Philibert n’avait pas de prétention politique avec ce documentaire contrairement aux documentaires de Raymond Depardon.
    Franck D
    Franck D

    8 abonnés 13 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 8 septembre 2018
    Un film dont le titre ne vaut pas le contenu.

    Film documentaire qui a le mérite de mettre en lumière la formation en soins infirmiers. Pour être étudiant en soins infirmiers et évoluant dans le milieu paramédical depuis une 10aine d'années, je pense avoir mon mot à dire.

    Tout est filmé, sans voix OFF, sans commentaire. C'est du brut. Des prises de plans qu'un amateur pourrait faire à sa première prise. C'est digne d'un documentaire du dimanche entre 14h et 16h.

    Ce film documentaire est pseudo immersif mais reste TRÈS TRÈS en surface de ce que la richesse de cette formation peut apporter. Les souffrances des étudiants ne sont pas investiguées, les difficultés des chocs émotionnelles et l'investissement de la posture professionnelle des étudiants n'est pas recherchée.... etc je ne ferai pas la liste car la critique peut être longue. L'anachronisme est très marqué et c'est très dérangeant.

    Ce film est une perte de temps.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 30 août 2018
    Bravo !
    Film au montage assez fluide pour sa forme,
    instructif, vrai et touchant : essentiel pour prendre soin de notre société...
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