Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
Bande à part
par Isabelle Danel
Nicolas Philibert continue de documenter les chemins d’apprentissage. Ici, celui d’élèves infirmières et infirmiers. C’est vibrant, émouvant. Et tellement encourageant !
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Ouest France
par Gaël Golhen
Un témoignage précieux sur le quotidien des soignants.
Paris Match
par Catherine Schwaab
On ne vivra plus jamais l’hôpital de la même manière… Bravo à Nicolas Philibert, toujours subtil, hypersensible.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Cahiers du Cinéma
par Nicholas Elliott
De chaque instant s’avère un film d’une grande douceur, nous laissant avec l’impression surprenante mais bienvenue d’une éducation où bienveillance et dignité se conjuguent pour former ceux qui nous assisteront dans les moments de détresse.
Elle
par Hélène Guinhit
Un film touchant qui montre les tensions du monde hospitalier.
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Ce documentaire d'une éclatante simplicité rend un bel hommage au métier.
L'Express
par Antoine Le Fur
Devant leurs examinatrices, les étudiants évoquent leurs joies et leurs doutes sur ce métier. La caméra arrive à rendre passionnants, et parfois déchirants, ces échanges a priori purement formels entre maîtres et élèves.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Michel Guilloux
Avec De chaque instant, Nicolas Philibert capte avec sa rare sensibilité les premiers pas de jeunes élèves infirmières et infirmiers. Le primat de la parole sur la description brute ouvre à une réalité complexe et riche.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Anne Crignon
Auteur de documentaires réputés tels que "Nénette" ou "Etre et avoir", Nicolas Philibert donne à voir les arcanes d'un métier essentiel : infirmiers et infirmières, saisis ici dans leurs années de formation.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par La Rédaction
Une immersion poignante à l’école d’infirmiers.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Thomas Sotinel
Après le musée de La Ville Louvre, l’école d’Etre et avoir, la ménagerie de Nénette ou La Maison de la radio, le centre de formation de la Croix-Saint-Simon prend sa place dans l’atlas de Nicolas Philibert, qui recense ces lieux qui sont à la fois des éléments essentiels de notre société et des refuges qui lui permettent (ou devraient lui permettre) de réfléchir sur elle-même (...).
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Tourné dans un Institut de formation en soins infirmiers, le nouveau documentaire de Nicolas Philibert retrace le parcours intense des apprenti(e)s, confronté(e)s à la réalité du métier. Riche de subtilités, un portrait collectif tour à tour drôle et émouvant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Comme toujours, en explorant un microcosme spécifique sans surplomb ni commentaire, Nicolas Philibert parvient à montrer beaucoup plus que son sujet apparent, la situation des apprenti.e.s infirmier-ière.s devenant à travers son regard une vue en coupe de l’état politique, social et psychologique du pays.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
par Olivier de Bruyn
La découverte de ces apprentis infirmiers émouvants et cet inquiétant "arrière pays" justifie doublement le déplacement.
Marie Claire
par Désirée de Lamarzelle
En filmant avec une extrême justesse la formation des infirmiers et infirmières confrontés à la réalité de l’univers hospitalier, Nicolas Philibert rend hommage à ces personnages de l’ombre.
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
Positif
par Dominique Martinez
[...] un film politique sans en avoir l'air. Le regard lucide de ces futures infirmières est un miroir sensible de notre société française contemporaine dans toute sa diversité, dans toute sa vitalité, malgré un horizon assombri par la montée de la logique concurrentielle et financière.
Première
par Leila de la Vaissière
C’est cela au fond, la magie des films de Philibert : pointilliste, tendre et pudique, sa caméra enregistre des moments de joie ou de doutes, ces petits riens qui, mis bout à bout, forment une chronique fragmentée d’un univers abordé avec respect, empathie et curiosité.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Filmant cette initiation de l’âme et du corps, Nicolas Philibert ("Être et avoir") a la même délicatesse. Ne rien presser, s’en tenir au geste pur et au bon moment. Son documentaire prend le temps, sa caméra s’attarde sans peser, enregistre au plus près, sans surplomb bien sûr, et sans pathos non plus.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par François Ekchajzer
Nicolas Philibert y fait preuve de cette justesse de regard, mélange d’extrême attention et de tact, qui caractérise son art, exempt de lyrisme, mais pas d’humour ni d’émotion.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Croix
par Pierre Bienvault
Pendant plusieurs semaines, Nicolas Philibert a posé sa caméra dans une école d’infirmières en banlieue parisienne. L’occasion pour le réalisateur de Être et avoir de raconter avec justesse l’apprentissage du soin et de l’accompagnement tout en évoquant, en filigrane, la brutalité, parfois, du monde de l’hôpital.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Le début est passionnant, souvent drôle autour des gestes essentiels du métier, l'ensemble peuplé de visages sympathiques ne manque pas de finesse. Pourtant, passé un cap où les conversations deviennent plus intimes, avec une caméra plus intrusive, on se sent moins captivé par une démonstration utile mais peut-être trop ordonnancée pour pleinement envoûter.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par La Rédaction
Son réalisme un peu chirurgical l’emporte un peu trop sur l’émotion, mais le documentaire dissèque bien les difficultés techniques et humaines d’un métier auquel on est tous confrontés un jour ou l’autre.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Marcos Uzal
En posant sa caméra dans un institut de formation pour infirmières, Nicolas Philibert signe un documentaire austère mais touchant sur cet apprentissage, où la peur et l’angoisse de la mort prennent une place importante.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
Un hommage sincère, et non dénué d'humour, à toute une profession.
Bande à part
Nicolas Philibert continue de documenter les chemins d’apprentissage. Ici, celui d’élèves infirmières et infirmiers. C’est vibrant, émouvant. Et tellement encourageant !
Ouest France
Un témoignage précieux sur le quotidien des soignants.
Paris Match
On ne vivra plus jamais l’hôpital de la même manière… Bravo à Nicolas Philibert, toujours subtil, hypersensible.
Cahiers du Cinéma
De chaque instant s’avère un film d’une grande douceur, nous laissant avec l’impression surprenante mais bienvenue d’une éducation où bienveillance et dignité se conjuguent pour former ceux qui nous assisteront dans les moments de détresse.
Elle
Un film touchant qui montre les tensions du monde hospitalier.
Femme Actuelle
Ce documentaire d'une éclatante simplicité rend un bel hommage au métier.
L'Express
Devant leurs examinatrices, les étudiants évoquent leurs joies et leurs doutes sur ce métier. La caméra arrive à rendre passionnants, et parfois déchirants, ces échanges a priori purement formels entre maîtres et élèves.
L'Humanité
Avec De chaque instant, Nicolas Philibert capte avec sa rare sensibilité les premiers pas de jeunes élèves infirmières et infirmiers. Le primat de la parole sur la description brute ouvre à une réalité complexe et riche.
L'Obs
Auteur de documentaires réputés tels que "Nénette" ou "Etre et avoir", Nicolas Philibert donne à voir les arcanes d'un métier essentiel : infirmiers et infirmières, saisis ici dans leurs années de formation.
Le Figaro
Une immersion poignante à l’école d’infirmiers.
Le Monde
Après le musée de La Ville Louvre, l’école d’Etre et avoir, la ménagerie de Nénette ou La Maison de la radio, le centre de formation de la Croix-Saint-Simon prend sa place dans l’atlas de Nicolas Philibert, qui recense ces lieux qui sont à la fois des éléments essentiels de notre société et des refuges qui lui permettent (ou devraient lui permettre) de réfléchir sur elle-même (...).
Les Fiches du Cinéma
Tourné dans un Institut de formation en soins infirmiers, le nouveau documentaire de Nicolas Philibert retrace le parcours intense des apprenti(e)s, confronté(e)s à la réalité du métier. Riche de subtilités, un portrait collectif tour à tour drôle et émouvant.
Les Inrockuptibles
Comme toujours, en explorant un microcosme spécifique sans surplomb ni commentaire, Nicolas Philibert parvient à montrer beaucoup plus que son sujet apparent, la situation des apprenti.e.s infirmier-ière.s devenant à travers son regard une vue en coupe de l’état politique, social et psychologique du pays.
Marianne
La découverte de ces apprentis infirmiers émouvants et cet inquiétant "arrière pays" justifie doublement le déplacement.
Marie Claire
En filmant avec une extrême justesse la formation des infirmiers et infirmières confrontés à la réalité de l’univers hospitalier, Nicolas Philibert rend hommage à ces personnages de l’ombre.
Positif
[...] un film politique sans en avoir l'air. Le regard lucide de ces futures infirmières est un miroir sensible de notre société française contemporaine dans toute sa diversité, dans toute sa vitalité, malgré un horizon assombri par la montée de la logique concurrentielle et financière.
Première
C’est cela au fond, la magie des films de Philibert : pointilliste, tendre et pudique, sa caméra enregistre des moments de joie ou de doutes, ces petits riens qui, mis bout à bout, forment une chronique fragmentée d’un univers abordé avec respect, empathie et curiosité.
Sud Ouest
Filmant cette initiation de l’âme et du corps, Nicolas Philibert ("Être et avoir") a la même délicatesse. Ne rien presser, s’en tenir au geste pur et au bon moment. Son documentaire prend le temps, sa caméra s’attarde sans peser, enregistre au plus près, sans surplomb bien sûr, et sans pathos non plus.
Télérama
Nicolas Philibert y fait preuve de cette justesse de regard, mélange d’extrême attention et de tact, qui caractérise son art, exempt de lyrisme, mais pas d’humour ni d’émotion.
La Croix
Pendant plusieurs semaines, Nicolas Philibert a posé sa caméra dans une école d’infirmières en banlieue parisienne. L’occasion pour le réalisateur de Être et avoir de raconter avec justesse l’apprentissage du soin et de l’accompagnement tout en évoquant, en filigrane, la brutalité, parfois, du monde de l’hôpital.
Le Journal du Dimanche
Le début est passionnant, souvent drôle autour des gestes essentiels du métier, l'ensemble peuplé de visages sympathiques ne manque pas de finesse. Pourtant, passé un cap où les conversations deviennent plus intimes, avec une caméra plus intrusive, on se sent moins captivé par une démonstration utile mais peut-être trop ordonnancée pour pleinement envoûter.
Le Parisien
Son réalisme un peu chirurgical l’emporte un peu trop sur l’émotion, mais le documentaire dissèque bien les difficultés techniques et humaines d’un métier auquel on est tous confrontés un jour ou l’autre.
Libération
En posant sa caméra dans un institut de formation pour infirmières, Nicolas Philibert signe un documentaire austère mais touchant sur cet apprentissage, où la peur et l’angoisse de la mort prennent une place importante.
Télé 7 Jours
Un hommage sincère, et non dénué d'humour, à toute une profession.