Avis : Les Mitchell contre les machines - Page 2

Un magnifique chef d'oeuvre d'animation!On peut facilement s'attacher et s'identifier à cette famille délirante et attachante!L'histoire est bien avec plein de retournement de situation tout en étant drôle ce film nous apporte également une grande leçon de vie avec l'histoire et la pensée de la protagoniste

Super, génial beaucoup de références culte et surtout une belle histoire. Beaucoup de rire et d'émotions.

"The Mitchells vs the Machines" est une comédie post-apocalyptique mettant en scène une famille qui est la seule à ne pas être tombée entre les mains des robots qui se sont retournés contre leurs créateurs. Pas égoïstes, les Mitchell décident de tenter le tout pour le tout pour renverser une situation mal embarquée. Un monde à retrouver, mais aussi une famille à ressouder, car s’ils ont entrepris ce road-trip à l'origine, c'est pour resserrer les liens entre le père et la fille. Le film de Michael Rianda et Jeff Rowe est un peu à l'image de Katie, leur héroïne qui est pleine de créativité. Les idées, qui sont souvent bonnes, s'enchainent au rythme soutenu d'une histoire très fluide et agréable à suivre. Les folles aventures de cette famille sont divertissantes et même amusantes. Il y a de bonnes vannes et des running gags efficaces. Le chien idiot m'a beaucoup fait rire. Derrière cette aventure déjantée, il y a aussi un petit message, une critique sur une société hyper connectée qui n'a plus de temps pour les autres, mais aussi sur l'Homme qui est destructeur pour la planète. Rien de barbant cependant, car c'est bien intégré à l'histoire. Je ne suis pas un grand amateur de film d'animation, mais ce "The Mitchells vs the Machines" est sympathique divertissement.

La famille Mitchell s’apprête à un road-trip mémorable lorsqu’au même moment, une rébellion technologique vient parasiter ce moment familial et… le monde entier. Une I.A. a pris le contrôle, rendant tous les appareils électroménagers incontrôlables et ne répondant plus qu’aux ordres de "PAL MAX Prime", l’intelligence artificielle. Le monde court à sa perte et seule la famille Mitchell (dysfonctionnelle et non soudée) devra s’unir et surmonter leurs problèmes familiaux s’ils veulent s’en sortir et surtout, sauver le monde.

Pour leur premier long-métrage, le tandem Michael Rianda / Jeff Rowe nous convie à un déluge d’images et de couleurs épileptiques. Une histoire hallucinante et des personnages haut en couleur (du père de famille à la mère badass, de l’aîné cinéphile au cadet passionné par les dinosaures en passant par le carlin aux yeux globuleux). Une avalanche de pop-up, de mèmes, de superpositions d’images, d’incrustations 2D & 3D, de freeze-frame et de références à la pop-culture. Un joyeux bordel qui, du haut de ses 120 minutes, nous entraîne à travers un road-trip frappadingue & hilarant.

Une explosion visuelle & créative qui traite de divers sujets, tantôt drôles, tantôt sérieux (la famille, l’affirmation de soi ou encore notre addiction aux nouvelles technologies à travers l’I.A. qui prend le pouvoir sur l’Homme). Bourrée de références (dont Shopping (1986) & Kill Bill: Volume I (2003) pour ne citer que les plus connus), cette comédie survitaminée comblera les attentes des petits comme des plus grands (grâce notamment aux nombreux clin d’œil pop & geek). Seul bémol, le film aurait gagné à être un poil plus court et à mettre la pédale douce sur la morale sirupeuse liée à la famille.

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Ainsi on a de l'animation 3D/CGI, entre coupé de plans fixes cartoonesque et même de quelques plans en images réelles. Un mélange qui crée du rythme et une diversité visuelle foisonnante, qui ajoute aussi un paramètre singulier à l'humour général. Quelques passages sont vraiment hilarants avec une évolution délirante de la famille, façon "Little Miss Sunshine" (2006) mixé à "Les Indestructibles" (2004-2018) passant littéralement des uns aux autres (pour faire large et en résumé !). Malheureusement, les cinéastes tombent dans l'écueil insupportable du mélo en nous obligeant à 10-15mn parasites où on a les instants émotions condensés, un peu de pathos, de bons sentiments, et surtout la morale qui est soudain appuyée, martelée. Ces 10-15mn terriblement irritantes empêchent le film d'atteindre les sommets. Car juste après se joue le dernier acte qui accélère façon fulguro-poings, dans une délire visuel qui frôle le n'importe nawak mais terriblement fun et jouissif avec un énorme bonus pour la maman !
Site : Selenie

Les Mitchell contre les machines est une agréable surprise, avant de me lancer je le sentais bien et en effet ce film d'animation est bien fait et divertissant.
L'histoire est bien écrite, que ce soit le ton moqueur sur de la dépendance des gens à la technologie moderne ou que ce soit la vision de la famille, sur ce point il y a des passages assez touchants.
Niveau animation, elle est de très bonne qualité, c'est jolie et fluide. L'humour est bien présent et parfois loufoque, il y a pas mal d'action et les situations s'enchaînent vite, donc c'est un film rythmé.
Les personnages sont dans l'ensemble attachants, notamment le père qui apporte de l'émotion à certains passages du film. On peut percevoir de différentes façons ce film, cela dépend de vos liens avec votre famille (perso je n'ai aucun problème avec la mienne).
Sans être réellement révolutionnaire, Les Mitchell contre les machines fonctionne très bien et se regarde avec grand plaisir.

Je m'attendais pas à un truc aussi barré ! C'est sur-vitaminé, plein d'humour, les graphismes sont emballants et le regard porté sur notre monde ultra-connecté est pertinent. Bon, il faut être dans le mood gros délire pour savourer le ton psychédélique de "Les Mitchell contre les machines", car sinon le rythme incessamment déjanté risque d'épuiser vos batteries personnelles ! Mais perso, j'ai été séduit par l'inventivité de l'animation. L'histoire ? Une famille un peu tarée part en road-trip à travers l'Amérique avant que leur ainée parte de la maison pour suivre des études de cinéma. Mais leur voyage est ponctué par un soulèvement des machines. Un "Terminator" version cartoon familial en gros. Bien que les valeurs familiales classiques (une famille unie et heureuse !) soit au centre du récit et que le déroulement global suit une dynamique plutôt connue, le tout est glorifié par un emballage fantaisiste, authentique et complètement fou. Bourré de mème, de références, de photomontages/bricolages humoristiques, d'incrustations d'images 2D, ce film d'animation s'extrait des carcans made in Disney et Pixar pour en mettre plein la vue. Même le kitsch réussit à être magnifié ! Au bout d'un moment, je me suis quand même demandé si je ne me faisais pas avoir par cette jolie forme originale mais il y a tout de même une morale portée sur les limites de la technologie, à savoir que les relations connectées ne vaudront jamais celle d'une famille et que les dysfonctionnements humains sont le fruit de notre richesse et de notre singularité... Et puis, c'est notable, mais j'ai bien ri, que ce soit avec les running-gags du toutou de la famille, l'attaque des Furbys ou le méchant pas très imposant qui m'a rappelé Plankton dans "Bob l'éponge". N'hésitez pas, en cas de cafard, "Les Mitchell contre les machines" fait l'effet d'un bon remontant !

Une très belle surprise pour un film d'animation Netflix. La portée sociétale est bien présente, les clins d'œil à la culture pop laisse une lecture riche pour les adultes, tandis que les plus jeunes suivent l'histoire avec plaisir et sourires.

Il est courant que le cinéma américain mette en avant les valeurs familiales, aussi dysfonctionnelle soit la famille dépeinte. Et ici, on a très envie d'être un membre de cette tribu faisant face à une invasion de machines. S'il a tendance à vouloir trop en faire et à trop appuyer certains effets, "Les Mitchell contre les machines" est souvent drôle et pertinent.

Histoire de (manque de) communication, de réconciliation familiale...et de soulèvement des machines.

Un divertissement mené tambour battant et à l'animation psychédélique et frénétique, entre idées fendardes et effets de mode, et avec un récit familial assez touchant même si déjà vu maintes fois dans ce genre de production.

Bref, un très chouette moment. 7,5/10.

Un film d'animation délirant qui traite de plusieurs sujets profonds en même temps. Le rythme effréné, les trouvailles scéniques, l'humour décapant, le film est d'une richesse visuelle incroyable. Inspirée, la réalisation s'amuse avec facilité et décontraction, même dans les moments les plus compliqués. Je ne trouve aucun défaut à cette œuvre unique et rafraîchissante. Nominé à l'Oscar du meilleur film d'animation, "Les Mitchell contre les machines" se suffit à lui même en proposant un style déchaîné scénaristiquement et pétillant visuellement. Bravo!

Une production totalement barrée, mais fichtrement rafraîchissante.
Les plus analystes y trouveront une réflexion sur la frontière de plus en plus tenue ambiguë entre l'Homme et la machine, les autres (notamment les plus jeunes), un film d'animation qui ne prend pas au sérieux et se démarque clairement des réalisations des studios historiques.

Même si l'on pourra manifester la même réaction que l'antagoniste face à l'éloge des liens familiaux, cet animé demeure une dose rafraichissante de feel-good mood grâce à un humour endiablé, des scènes cocasses et des dialogues bien pensés. Outre le dynamisme de la réalisation, le fourmillement de références ciné nous emporte dans cet univers faussement éloigné du nôtre où s'interroger sur nos relations sociales, le prisme des réseaux sociaux et les nouvelles technologies semble indispensable. Grâce à la personnalité vite troussée mais très pertinente des membres de ce clan prétendument bizarre l'émotion affleure, nous faisant suivre avec délectation ses péripéties. Enlevé, caustique et tendre.

Premier long-métrage d'animation pour le réalisateur Mike Rianda, Les Mitchell Contre Les Machines est une très belle réussite. L'histoire nous fait suivre une famille dysfonctionnelle qui va se retrouver à devoir sauver l'humanité d'une attaque de robots. Si dans un premier temps le synopsis peut paraître convenu, il n'en est rien dans les faits tant cette aventure est d'une grande richesse et très bien écrite. C'est un régal à suivre de bout en bout surtout que ce récit gagne en qualité au fil des minutes. Le ton est drôle mais n'empêche pas pour autant de traiter intelligemment certains sujets comme la relation père-fille ou encore la critique faite à l'encontre de notre utilisation des technologies dans ce scénario très moderne. C'est avec plaisir qu'on suit les nombreuses péripéties de cette famille composée de cinq membres pas forcément attirants aux premiers abords mais qui finissent pas être attachants. Mais les personnages les plus déjantés ce sont bien les robots qui sont des antagonistes assez inoffensifs vu leur stupidité. Tous ces protagonistes nous offrent des séquences savoureuses notamment via des dialogues amusants, laissant également place à quelques passages plus tristes mais sans en faire trop. Les émotions sont parfaitement distillées. Si le fond est déjà très plaisant, la forme donne elle toute sa dimension à cette œuvre. On assiste à une orgie visuelle avec cette direction artistique mélangeant les genres pour ainsi créer une patte esthétiquement unique. C'est extrêmement créatif, ça part dans tous les sens sans aucunes limites pour un résultat détonnant entre les incrustations, les univers qui se rencontrent ou encore les couleurs éclatantes qui se dégagent. On passe d'une scène atypique à une autre tout en gardant de la cohérence. On sent les multiples influences de l'équipe en charge du projet qui s'est fait plaisir et dont le travail est remarquable, recrachant à leurs tours leurs références à l'image. Le tout est superbement accompagné par une b.o. qualitative qu'on aura envie d'écouter au-delà du générique de fin. Une fin qui s'avère à la hauteur, venant parfaitement conclure cette folle histoire. À n'en pas douter, Les Mitchell Contre Les Machines est un film d'animation pétri de qualités, méritant amplement d'être découvert par toute la famille.

On s'est bien marré en famille ! l'humour absurde est à mourrir de rire. Un bon film familial avoir .