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Un trés bon film d' animation , d' aprés une histoire vraie tragique , ce film est l' adaptation d' une bande dessinée , qui a été fait avant le film .
Une histoire vraie , tragique , triste mais émouvante , avec beaucoup d'émotions intenses et de superbes graphismes .
Bien que ça soit un dessin animé , je déconseille ce film d' animation aux trés jeunes enfants , car la manifestation au début du film , est violente .
Une histoire vraie , tragique , triste mais émouvante , avec beaucoup d'émotions intenses et de superbes graphismes .
Bien que ça soit un dessin animé , je déconseille ce film d' animation aux trés jeunes enfants , car la manifestation au début du film , est violente .
Un film souvenir et hommage au décès d Édouard Mazet en 1950 : Suite à une manifestation une balle en plein front des forces publiques. Il faut aimer le dessin de cette animation sortie de la BD éponyme. Cette production d Arte manque un peu d analyse de contexte, c est suite aux manifestations de Boulogne Billancourt chez Renault que les ouvriers brestois qui reconstruisent une ville détruite lors de la seconde guerre mondiale prennent le relais. Ce dessin animé est intéressant, il permet de ranimer le souvenir de cet événement. Dommage que ce film reste assez manichéen et simpliste, ce qui avec quelques lacunes d animation ne permet pas réellement d être touché par le message. On ne comprend pas la réalité des ouvriers on ne fait qu observer ces derniers parler et manifester.
Une excellente animation très émouvante. C'est une histoire vrai et elle est même en partie atténuée, je suis donc surpris des commentaires disant que ce serait "manichéens" !!! C'est très mal connaitre l'histoire des luttes sociales que de penser cela... Non le film correspond bien à la réalité et si il est autant touchant c'est justement parcequ'il est vrai.
Pour info je vous recommande cette passionante conférence sur René VAUTIER, le personnage du cinéaste dans le film... Vous verrez que ce qu'il a vécu va bien au delà de ce que montre cette très belle animation: https://vimeo.com/261088681
Pour info je vous recommande cette passionante conférence sur René VAUTIER, le personnage du cinéaste dans le film... Vous verrez que ce qu'il a vécu va bien au delà de ce que montre cette très belle animation: https://vimeo.com/261088681
Brest même.
Une production sans prétention pour Arte. Si c’est pour Arte, ça se tente. Il s’agit de l’adaptation d’une BD d’Etienne Davodeau qui signe ici également le design graphique. Nous sommes à Brest au lendemain de la seconde guerre mondiale. Brest est ravagée, il n’en reste pour ainsi dire plus rien. Les gens vivent dans des baraques, dans des camps sans route ni commodités. Tout est à reconstruire et les ouvriers du bâtiment sont allègrement exploités. Le syndicat veille au grain et pousse à la grève. Un jour, lors d’une manifestation, la police tire. Un des partisans s’effondre. La rage est intérieure et la tentation est grande de l’extérioriser. Arrive alors un réalisateur de documentaire qui permettra à tous d’exprimer leur colère. Il faut aimer le style de Davodeau, très bon conteur maîtrisant parfaitement un rythme paisible mais décidé. Il faut aimer aussi son dessin, ce qui n’est pas forcement mon cas. Le récit fonctionne très bien et on s’attache vite aux personnages et à l’ambiance post-apocalyptique du lieu. Il y a certaines très belles scènes, celles qui montrent la réalisation du doc, bel hommage à la force du cinéma. On partage le sentiment et la colère de ces types qu’on laisse croupir dans la boue pendant qu’ils reconstruisent une ville nouvelles avec leurs petites mains. On regrettera quelques plans bidouillés à la sauce numérique, et pas la plus fine. On regrettera surtout que le film fasse l’impasse sur le décor et le contexte. Ces personnages parleraient presque comme des gars de Belleville ou de Ménilmontant. Des doubleurs locaux auraient certainement donné plus de vie à tout ça sans compter qu’un doublage bilingue breton/français aurait été plus crédible. Là, ça peut être Brest … ou n’importe quelle ville ravagée. Dommage. Pour le reste, c’est un bon moment et une belle histoire.
Une production sans prétention pour Arte. Si c’est pour Arte, ça se tente. Il s’agit de l’adaptation d’une BD d’Etienne Davodeau qui signe ici également le design graphique. Nous sommes à Brest au lendemain de la seconde guerre mondiale. Brest est ravagée, il n’en reste pour ainsi dire plus rien. Les gens vivent dans des baraques, dans des camps sans route ni commodités. Tout est à reconstruire et les ouvriers du bâtiment sont allègrement exploités. Le syndicat veille au grain et pousse à la grève. Un jour, lors d’une manifestation, la police tire. Un des partisans s’effondre. La rage est intérieure et la tentation est grande de l’extérioriser. Arrive alors un réalisateur de documentaire qui permettra à tous d’exprimer leur colère. Il faut aimer le style de Davodeau, très bon conteur maîtrisant parfaitement un rythme paisible mais décidé. Il faut aimer aussi son dessin, ce qui n’est pas forcement mon cas. Le récit fonctionne très bien et on s’attache vite aux personnages et à l’ambiance post-apocalyptique du lieu. Il y a certaines très belles scènes, celles qui montrent la réalisation du doc, bel hommage à la force du cinéma. On partage le sentiment et la colère de ces types qu’on laisse croupir dans la boue pendant qu’ils reconstruisent une ville nouvelles avec leurs petites mains. On regrettera quelques plans bidouillés à la sauce numérique, et pas la plus fine. On regrettera surtout que le film fasse l’impasse sur le décor et le contexte. Ces personnages parleraient presque comme des gars de Belleville ou de Ménilmontant. Des doubleurs locaux auraient certainement donné plus de vie à tout ça sans compter qu’un doublage bilingue breton/français aurait été plus crédible. Là, ça peut être Brest … ou n’importe quelle ville ravagée. Dommage. Pour le reste, c’est un bon moment et une belle histoire.
Film d'animation très émouvant et percutant sur les grèves de 1950 à Brest. Adapté de la bande-dessinée de Kris et Etienne Davodeau, inspiré de faits réels, "Un homme est mort" nous plonge au cœur du milieu ouvrier avec justesse et nous raconte un période de l'histoire qui reste d'actualité : la revendication, la solidarité, la recherche de justice.
Un film historique sympathique mais quelque peu manichéen. Reste une animation relativement léchée et un discours politique utile.
http://www.justfocus.fr/cinema/annecy-2018-un-homme-est-mort-dolivier-cossu-ce-soir-sur-arte.html
http://www.justfocus.fr/cinema/annecy-2018-un-homme-est-mort-dolivier-cossu-ce-soir-sur-arte.html
Brest, 1950, d’importantes grèves ouvrières ont lieu et l’une des manifestations se termine tragiquement lorsque la police tirent sur les manifestants. L’un d’eux, Edouard Mazé, est tué d’une balle en plein front. Ses amis sont remontés comme jamais mais l’arrivée d’un réalisateur de cinéma va les occuper de manière pacifique. L’objectif, réaliser un film sur les grévistes et leurs conditions de travail. Un film d’animation qui nous permet de nous replonger dans ces années troubles de l’après guerre où certaines villes comme Brest étaient complètement détruites et les conditions de vie particulièrement difficiles. L’histoire est émouvante, les personnages attachants. A voir une fois.
Dik ap Prale
Un animé revendicatif qui peut toucher même les plus jeunes, qui s'interrogent et redécouvrent l'animation à la française sorti des commandes de la matinée. On vibre et s'interroge.
Un très bon film d'animation sur une manifestations de grévistes bretons dans les années 1950 filmé par un cinéaste.
pierrre s.
Le sujet est fort, d'autant plus qu'il est tiré d'une histoire vraie. Seulement le traitement n'est pas à la hauteur. En effet, le film reste trop lisse et les personnages ne parviennent pas à nous émouvoir.
Un bel hommage à regarder sans modération. On est amené à découvrir une facette souvent peu évoquée dans notre histoire européenne, ou pas suffisamment, à savoir, la reconstruction des villes et les conditions de vie et professionnelles des ouvriers. Dans la ville de Brest, ce film est résolumment engagé, laissant la part belle à la poésie, à la lutte contre le mépris et la condescendance envers la classe ouvrière, encore si fréquemment communs dans notre société tertiarisée. Qu'on ne s'y méprenne pas, ce film est aussi là pour nous rappeler les sentiments de violence, d'injustice et d'incompréhension dans la population française qui existe toujours de nos jours. Avec une rigueur, une justesse et une qualité graphique brillante! Arte, en diffusant ce documentaire, nous livre un joli joyau qui ne laissera personne indifférent.
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