Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Elle
par Héléna Villovitch
Un film qui bouleverse à chaque instant.
20 Minutes
par Caroline Vié
Une fois de temps en temps, un film vous éblouit par sa beauté. C’est le cas pour Liz et l’oiseau bleu de Naoko Yamada.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par Stéphane du Mesnildot
Après Silent Voice l’an dernier, Liz & l’oiseau bleu vient placer Naoko Yamada au premier plan de l’animation japonaise contemporaine.
Critikat.com
par Laetitia Scherier
La réussite de Liz et l’oiseau bleu tient à son entrelacement gracieux et poétique du conte fantastique, du teen movie et du film musical. De quoi définitivement confirmer les espoirs placés en sa prometteuse réalisatrice.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
IGN France
par Erwan Lafleuriel
Un conte fantastique pour illustrer une histoire et des thèmes classiques dans les mangas. La réalisation laisse toute la place à l'émotion et aucune à l'ennui.
La critique complète est disponible sur le site IGN France
L'Express
par Christophe Carrière
Les deux histoires se font évidemment écho et leur traitement, s'il abuse d'une mélancolie trop appuyée pour émouvoir, ne manque pas d'interpeller. Ce n'est pas tous les jours qu'on assiste à la confrontation des deux écoles de l'animation japonaise.
Le Monde
par Mathieu Macheret
Un dessin animé japonais subtil et inventif d’une réalisatrice virtuose.
Les Inrockuptibles
par Léo Moser
Lumineux, quoique bercé d’une mélancolie languide, poignant sans être lacrymal, "Liz et l’Oiseau bleu" parachève l’avènement de Naoko Yamada.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Marius Chapuis
On craint par ailleurs qu’en s’enfermant dans une approche graphique des personnages très typée [...], "Liz et l’Oiseau bleu" peine à séduire au-delà du cercle restreint des amateurs de japanimation. A tort. Car délestée de l’effusion sentimentale qui plombait un peu son film précédent, Noako Yamada fait montre d’un beau talent pour raconter par la bande.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par François Cau
La beauté du film ne se livre pas clé en main, elle se niche dans la complexité des regards. Diffuse sur le moment, elle s'épanouit dans les jours suivants sa vision, dans des plans qui reviennent hanter...
Ouest France
par La Rédaction
Une féerie enchanteresse.
Première
par Sylvestre Picard
Cette relation de codépendance artistique entre le son et l’image est suffisante pour placer le film largement au-dessus de la concurrence.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Cécile Mury
Une subtile étude de caractères.
aVoir-aLire.com
par Arthur Champilou
Avec la sensibilité que nous lui connaissons, Naoko Yamada dresse la chronique d’une amitié passionnée, ambiguë et douloureuse entre deux jeunes musiciennes, dans une mise en scène épurée aux douces teintes bleutées.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
par Hélène Robert
Sous ses airs gracieux et doux, le film de Naoko Yamada développe une violence sous-terraine déstabilisante.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
L'Humanité
par Vincent Ostria
Comme précédemment, Naoko Yamada illustre avec une complexité redoutable cette relation chaotique entre lycéennes dans un cadre musical qui ajoute au récit une plus-value lyrique. Mais cette complexité a un prix : elle exige du spectateur une concentration intense, rarement associée au dessin animé.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaro
par La Rédaction
Ce second long-métrage de Naoko Yamada dépeint de façon poétique et sensible une amitié passionnée. Dès 9 ans.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Marine Quinchon
Ce long-métrage animé, inspiré d’une série japonaise, aborde avec subtilité la relation, entre amitié et amour, de deux adolescentes.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Paris Match
par Yannick Vely
Après "Silent Voice", beau succès commercial, la réalisatrice Naoko Yamada confirme qu'elle possède un don pour saisir avec subtilité les tourments de l'adolescence.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
L'Obs
par Nicolas Schaller
Le dessin est gracieux, la mise en scène, évanescente, mais le film fait du surplace. La réalisatrice de « Silent Voice » se prend pour la Sofia Coppola de l’animation, celle des mauvais jours. Un vague ennui, sur un air de disque rayé
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Naoko Yamada porte sur grand écran une chronique douce-amère sur l'amitié dans laquelle la musique joue un rôle essentiel. Et confirme que sa voix sensible compte dans le milieu de l'animation japonaise.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Elle
Un film qui bouleverse à chaque instant.
20 Minutes
Une fois de temps en temps, un film vous éblouit par sa beauté. C’est le cas pour Liz et l’oiseau bleu de Naoko Yamada.
Cahiers du Cinéma
Après Silent Voice l’an dernier, Liz & l’oiseau bleu vient placer Naoko Yamada au premier plan de l’animation japonaise contemporaine.
Critikat.com
La réussite de Liz et l’oiseau bleu tient à son entrelacement gracieux et poétique du conte fantastique, du teen movie et du film musical. De quoi définitivement confirmer les espoirs placés en sa prometteuse réalisatrice.
IGN France
Un conte fantastique pour illustrer une histoire et des thèmes classiques dans les mangas. La réalisation laisse toute la place à l'émotion et aucune à l'ennui.
L'Express
Les deux histoires se font évidemment écho et leur traitement, s'il abuse d'une mélancolie trop appuyée pour émouvoir, ne manque pas d'interpeller. Ce n'est pas tous les jours qu'on assiste à la confrontation des deux écoles de l'animation japonaise.
Le Monde
Un dessin animé japonais subtil et inventif d’une réalisatrice virtuose.
Les Inrockuptibles
Lumineux, quoique bercé d’une mélancolie languide, poignant sans être lacrymal, "Liz et l’Oiseau bleu" parachève l’avènement de Naoko Yamada.
Libération
On craint par ailleurs qu’en s’enfermant dans une approche graphique des personnages très typée [...], "Liz et l’Oiseau bleu" peine à séduire au-delà du cercle restreint des amateurs de japanimation. A tort. Car délestée de l’effusion sentimentale qui plombait un peu son film précédent, Noako Yamada fait montre d’un beau talent pour raconter par la bande.
Mad Movies
La beauté du film ne se livre pas clé en main, elle se niche dans la complexité des regards. Diffuse sur le moment, elle s'épanouit dans les jours suivants sa vision, dans des plans qui reviennent hanter...
Ouest France
Une féerie enchanteresse.
Première
Cette relation de codépendance artistique entre le son et l’image est suffisante pour placer le film largement au-dessus de la concurrence.
Télérama
Une subtile étude de caractères.
aVoir-aLire.com
Avec la sensibilité que nous lui connaissons, Naoko Yamada dresse la chronique d’une amitié passionnée, ambiguë et douloureuse entre deux jeunes musiciennes, dans une mise en scène épurée aux douces teintes bleutées.
Bande à part
Sous ses airs gracieux et doux, le film de Naoko Yamada développe une violence sous-terraine déstabilisante.
L'Humanité
Comme précédemment, Naoko Yamada illustre avec une complexité redoutable cette relation chaotique entre lycéennes dans un cadre musical qui ajoute au récit une plus-value lyrique. Mais cette complexité a un prix : elle exige du spectateur une concentration intense, rarement associée au dessin animé.
Le Figaro
Ce second long-métrage de Naoko Yamada dépeint de façon poétique et sensible une amitié passionnée. Dès 9 ans.
Le Parisien
Ce long-métrage animé, inspiré d’une série japonaise, aborde avec subtilité la relation, entre amitié et amour, de deux adolescentes.
Paris Match
Après "Silent Voice", beau succès commercial, la réalisatrice Naoko Yamada confirme qu'elle possède un don pour saisir avec subtilité les tourments de l'adolescence.
L'Obs
Le dessin est gracieux, la mise en scène, évanescente, mais le film fait du surplace. La réalisatrice de « Silent Voice » se prend pour la Sofia Coppola de l’animation, celle des mauvais jours. Un vague ennui, sur un air de disque rayé
Les Fiches du Cinéma
Naoko Yamada porte sur grand écran une chronique douce-amère sur l'amitié dans laquelle la musique joue un rôle essentiel. Et confirme que sa voix sensible compte dans le milieu de l'animation japonaise.