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Roger D
79 abonnés
880 critiques
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2,0
Publiée le 12 novembre 2021
En compagnie de mes asticots et de ma nièce (qui est,finalement, aussi un asticot!lol) voilà un petit film d'animation sur les chats...bon c'est pas folichon, on va assez vite l'oublier (en tous cas moi sur!lol), c'est pas super prenant et la voix du héros était un poil (miaou!!) saoulant comme s'il gueulait tout le temps mais ils ont apprécier et c'est le principal!^^ NOTE: 4/10
Film d'animation chinois qui épouse les standards d'animation, mais préserve et confère une épopée animalière pleine de mystères et qui laisse surtout faire aux chats n'importe quoi. Si bien que si les enfants sont surpris de voir des chats voler, il faudrait surtout que les propriétaires ne laissent pas leur bêtes à poils fabriquer des fusées. Des aventures donc libérées de toutes contraintes éthiques et permettent aux chats d'avoir un aventure digne des meilleurs films d'aventure. La morale, derrière tout ça, paraît peu évidente si bien qu'on la cherche encore. L'aventure se veut surprenante et on s'en accomodera.
L'histoire est touchante et certains moments sont vraiment émouvants. Par contre les graphismes ne sont pas top. On fait beaucoup mieux de nos jours. De plus, certaines scènes sont un peu exagérées (exemple :spoiler: lorsque Oscar se met à "voler" )
Joli dessin animé chinois joli mais c'est bien le seul atout du film. Il est assez cru mais en fait pas tant cru que cela, c'est du n'importe quoi dans le scénario. Je pense que c'est très très niais, cela passe par de multiples moments anthropomorphistes et d'autres où l'ennemi sans ambiguïté c'est l'homme. C'est plus que débile c'est d'une niaiserie aboutie tellement niaise que l'on a droit à la fin des moralisations sans grand rapport avec l'ensemble du film. Un gros sabotage pour de jolis dessins.
Le film se veut une alternative à Pixar et, s'il n'en a ni l'humour ni la poésie, pour un début ce n'est pas si mal. Des personnages attachants, un peu d'aventure, un peu d'émotion et les graphismes colorés en font un honorable divertissement, surtout pour les enfants.
Que les animaux mignons occasionnent des réactions souvent disproportionnées chez ceux qui les regardent n’est pas nouveau, semble aujourd’hui à ce point ancré dans notre quotidien qu’on ne s’étonne plus de voir un poncif consumériste gagner les écrans de cinéma, non pas en qualité de publicité mais bien de film à part entière. Oscar et le Monde des chats pousse le gamma très loin et livre un univers peinturluré de mille et une couleurs qui donnent l’impression de contempler un bonbon Arlequin de trop près. Pourtant, derrière cette outrance chromatique et graphique se cache un constat amer sur la place qu’occupent de nos jours les animaux domestiques – mais reste-t-il des animaux véritablement sauvages ? – dans nos sociétés urbanisées. Un chat dans un sac poubelle est jeté aux ordures, manque d’être carbonisé dans l’incinérateur d’une décharge. Ça rappelle Toy Story 3 qui aurait croisé le chemin de Comme des Bêtes. Le souci, c’est que ce constat, aussi judicieux soit-il, ne bénéficie pas d’un traitement en profondeur, si bien que les scènes a priori coup de poing ne le sont guère, prises dans un mouvement vers l’avant qui en neutralise la portée politique et l’impact dramatique. Obsédé par la vitesse d’exécution qui, seule, semble capable de maintenir éveillé le cerveau de jeunes enfants décérébrés, le film refuse la mise en place : tout s’enchaîne sans souffle ni préparation préalable, et la mécanique logique de l’action – et de la quête en général, soit la mention d’un objectif et les tentatives déployées par le héros pour le réaliser – donne l’impression d’une atrophie générale de la causalité. Primat de la rapidité sur la réflexion, de l’impulsivité sur la construction, Oscar et le Monde des chats file à toute allure sans raison, embarque de force une rétine passive, rebute aussitôt une plus critique. Car le dynamisme exacerbé divulgue mal les carences relatives à la caractérisation des personnages qui sont dépourvus de profondeur émotionnelle : aucune relation ne tient la route, et il faut attendre le terme du voyage pour enfin percevoir l’amitié ou l’amour. En d’autres termes, les protagonistes n’évoluent pas ou que trop peu : le mouvement vers l’avant ne se solde par aucun véritable apprentissage, en dépit des sentences pseudo-philosophiques bazardées en guise de clausule et dont on peine à saisir portée et pertinence. À force de vouloir en mettre plein la vue, on oublie qu’il faut donner quelque chose à voir. Heureusement, le film égraine quelques idées de mise en scène plutôt intéressantes, à commencer par la recherche d’une caméra (virtuelle, certes) comme plongée dans le chaos d’une ville : le cadrage est volontairement approximatif et peine à embrasser la linéarité des mouvements. Il faut couper ou accepter de perdre le trajet du parapente rouge, ce qui mime assez bien l’immersion de personnages étrangers dans un microcosme urbain désorientant. Certains plans se limitent également à une petite partie d’un espace plus vaste, à l’instar du corps de l’antagoniste principal dont nous ne percevons, de prime abord, que le tablier de forgeron ainsi que le menton menaçant. Oscar et le Monde des chats n’impose donc qu’une faible identité artistique qui, en dépit de certaines qualités et d’une technique de qualité, peine à se démarquer du tout-venant de la production animée contemporaine.
Cette petite histoire est très sympathique : scénario bien construit, personnages travaillés, décors au top, Oscar très attachant. Cette fable moderne est un bel hommage aux chats.
Une animation très bien réalisée et précise grâce à un fil conducteur clair qui permettra aux petits et grands d'apprecier ce dessin animé loufoquement adorable.
La bande annonce de ce film nous fait croire qu'il s'agit d'un joli petit film pour jeunes enfants alors qu'ils y a des scènes très choquantes dans le contenu, qui ont profondément marqué mon fils de 5 ans. Il lui arrive régulièrement de pleurer et de faire des cauchemars suite à la scène de l'incendie par exemple...
Beau film d'animation japonais. Certes certaines voix sont un peu aiguës mais on fait abstraction. Pas pour les plus jeunes, mais ce laisse regarder sans problème