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Joel J
2 abonnés
7 critiques
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5,0
Publiée le 20 janvier 2020
Toujours le sujet de la famille j'adore! Ça commence par la fin de l'automne et le début de l'hiver est actrice qui est en fin de carrière qui te ment ce cinéma on pourrait croire que Catherine Deneuve je vous en rôle et c'est llà Que Binoche rentre dans le film avec Ethan Wake Quel trio franco américain Le jeu de mère fille entre Catherine Deneuve Juliette Binoche est extraordinaire (petits mensonges aux vilaines vérités)....,
C'est l'histoire du film réalisé et écrit par kore - Ida
Quel est le dernier film formidable de ce réalisateur à voir absolument
trop long, il ne se passe pas grand chose pendant les 3/4 du film. Catherine Deneuve fait ses grimaces habituelles , énervante avec sa bouche.. bref, je n'ai pas accroché. Beaucoup de personnes dont d'ailleurs parties
Le film aurait mérité d'être plus court de 20 mn. C'est un réalisateur Japonais et...il prend le temps. Ceci dit, le duo d'actrices fonctionne à merveille et Deneuve en actrice vieillissante et jalouse , nous offre un de ces plus grands rôles. Elle y est parfois très drôle.
Ce film est d'un ennui à mourir et Catherine Deneuve 77 ans qui ne veut pas vieillir dans la vie comme à la scène m'est insupportable par contre à une constante remarquable joue toujours aussi faux.
Kore-Eda n'est pas le premier à engager cette ré-flexion toujours " hélicoïdale" autour des acteurs, leurs masques, leurs référents révélés et/ou occultés, leurs constants passages de part et d'autre des miroirs. Pensons au "Persona" de Bergmanqui, dès 1966, explorait les traumas soignée/soignante de deux consciences féminines brutalisées par les marches de l'histoire, des idées et des corps. Bergman excellait à le faire au sein de l'archipel scandinave doté de sa luminosité exceptionnellement rendue par la noir et blanc d'alors... Ce qui est particulier et fonde la texture propre de l'ouvrage de Kore-Eda, en dehors de l'application du thème à la relation mère/fille, c'est ici le talent déployé par le cinéaste nippon pour recréer toute la nébuleuse orientale dans la perception des décors naturel : Paris, le jardin déclinant ses teintes les plus rares à travers l'estompe progressive de sa végétation sevrée de chlorophylle comme métonymie de l'actrice principale poussée au bout de ses retranchements, de ses économies, de ses refoulements, de ses doutes par les générations qui la suivent et au plus juste des tous "ses" rôles dans l'acquiescement final de cette "défaite" qui n'est autre que le triomphe de la vie. Ainsi faut-il entendre Vérité, celle de l'inexorable victoire du vivant qui enlace tout "Sujet" dans les remous salvateurs des mondes.
Je me réjouissais de découvrir mon sixième Kore-eda avec « La Vérité ». Le scénario me rassurait, toujours centré sur la famille, et les actrices principales ne pouvaient que sublimer le cinéma intimiste et sensible du réalisateur. J’ai cependant commencé à m’interroger dès les premières scènes, croyant être dans un film auto nombriliste à la Maïwenn. Dans ce contexte français, les émotions délicates que le réalisateur sait mettre en couleur avec ses regards délicats et ses recettes d’humanité sont bien moins efficaces que dans un contexte asiatique où les ressentis sont mesurés, sans cris, de manière discrète. Le manque d’émotions et les jeux d’acteurs superficiels (Ethan Hawke semble perdu) rendent ce film creux, ennuyeux puis soporifique comme une mauvaise série.
Vraiment pas à la hauteur des attentes que l'on pouvait avoir avec ce casting et ce réalisateur. Déçu sur le fond mais aussi sur la forme. C'est un cinéma qui se regarde le nombril - peut-être Kore-eda a-t-il voulu montrer cela ? - mais on s'ennuie ferme, les dialogues sont sans intérêt tout comme cette relation mère/fille avec un duo d'actrices qui fonctionne assez mal.
je n'ai pas aimé ce film ,je me suis réellement ennuyée ,c’était long c’était lent !!!! cette relation mère fille n'avait aucun intérêt !!! voilà je n'ai pas aimé ce film !!!
Je ne comprends pas le nombre d'étoiles de part la presse et les spectateurs. J'ai passé la séance à me dire que ça allait démarrer. Film sans aucun intérêt
Film qui manque cruellement de rythme et dont la thématique est plutôt banale ( une actrice égocentrique en fin de carrière et qui commence à douter...)
A quoi peut servir ce film et que cherche-t-il à démontrer?c'est la première question que je me suis posé après l'avoir vu
film décevant quand on a affaire à des si grands acteurs
J'ai aimé cette relation troublée par le jeu des acteurs. Comme le dit la petite fille à la fin. "C'est la vérité?" Les sentiments de la mère se révèlent grâce à son film sur la filiation. De belles scènes d'émotion émaillent ce film malgré tout doux et sensible.
Les grands réalisateurs étrangers, lorsqu'ils tournent un film en France, semblent perdre une bonne partie de leur génie. Je ne connais pas d'exception à cette règle, qui a touché Kiyoshi Kurosawa, Asghar Farhadi, Abbas Kiarostami et bien d'autres.
Le mal touche maintenant un de mes chouchou, le japonais Kore-Eda.
Le début de La vérité est en tout point catastrophique : jeu approximatif des acteurs, dialogues artificiels, intrigue inconsistante, erreur de casting, péripéties ridicules, montage à la va-vite, scénario flottant. On a mal pour le réalisateur des formidables Notre petite soeur et Une affaire de famille.
Petit à petit cependant, le film se redresse quelque peu, grâce à une performance encore exceptionnelle de Catherine Deneuve, dont les prestations forcent de plus en plus le respect : au fur et à mesure que son corps s'use, ses sens semblent s'aiguiser.
La subtilité habituelle de Kore-Eda, faite d'une dureté impitoyable mêlée à la tendresse du regard, s'installe en fin de film et on retrouve dans les trente dernières minutes la patte du japonais (par exemple quand le personnage de Juliette Binoche écrit les répliques que prononcent la petite fille). La rivalité féroce des actrices se mêle alors à la douceur acidulée et dépourvue d'ambigüité du personnage de Manon : c'est le Kore-Eda qu'on aime, salé et sucré à la fois.
Malheureusement l'amélioration est trop tardive pour corriger la mauvaise impression du début.
Où est passée la simplicité, la douceur de Kore-Eda ? Dans cet interminable vaudeville bourgeois, vous ne verrez que des stars se coller des bourre-pifs verbaux permanents, se balancer des s...loperies, et déverser leur fiel. Si le réalisateur sait souligner la cruauté et la lâcheté de nos contemporains, ils ne se laissent jamais aller à des dialogues simplistes et vachards. Dès lors, on ne sympathisera jamais avec les protagonistes, mal dessinés, caricaturaux. Le film dans le film est inséré au forceps. Et la musique sautillante et artificielle aggrave l'ensemble... gros gros loupé.