Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
À l’occasion de la fermeture de la quincaillerie de son père, le réalisateur lui consacre un film subtil et drôle qui éclaire des idéaux post-soixante-huitards aussi bien que le devenir des petits commerces.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Aude Jouanne
Un documentaire pudique qui sort de l’entre-soi en abordant la question universelle de la construction d’une vie.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marianne
par Olivier de Bruyn
Intime et universel, cocasse et émouvant.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Un regard pudique et modeste, qui en dit long sur les relations filiales, et bien plus encore sur une époque qui entendait faire rimer liberté avec égalité, et égalité avec fraternité.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Quentin Papapietro
Cette évocation avec humour et mélancolie d’une époque en train de mourir devant nos yeux a cette vertu de nous enjoindre à demeurer attentifs aux petites mutations du quotidien par lesquelles s’exercent les mouvements généraux.
Le Figaro
par La Rédaction
Un peu court sur l’extrême gauche de cette période, émouvant sur la fermeture d’un commerce de proximité.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Le fils filme le père avec ce que leur relation implique de non-dits pudiques et de rugueuse tendresse.
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
C’est inévitablement au cinéma d’Alain Cavalier, à son goût pour ces lieux en voie d’extinction […], que l’on pense devant ce beau premier film.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Denitza Bantcheva
On ne trouvera donc pas dans ce film le moyen d’y voir plus clair dans ce genre de dédoublement de personnalité, courant chez les soixante-huitards, et on le regrette. En revanche, on apprécie la manière dont Samuel Bigiaoui filme son père, affectueusement, mais avec assez de recul pour permettre aux spectateurs de s’en faire chacun son idée, plus ou moins flatteuse.
La Croix
À l’occasion de la fermeture de la quincaillerie de son père, le réalisateur lui consacre un film subtil et drôle qui éclaire des idéaux post-soixante-huitards aussi bien que le devenir des petits commerces.
Les Fiches du Cinéma
Un documentaire pudique qui sort de l’entre-soi en abordant la question universelle de la construction d’une vie.
Marianne
Intime et universel, cocasse et émouvant.
aVoir-aLire.com
Un regard pudique et modeste, qui en dit long sur les relations filiales, et bien plus encore sur une époque qui entendait faire rimer liberté avec égalité, et égalité avec fraternité.
Cahiers du Cinéma
Cette évocation avec humour et mélancolie d’une époque en train de mourir devant nos yeux a cette vertu de nous enjoindre à demeurer attentifs aux petites mutations du quotidien par lesquelles s’exercent les mouvements généraux.
Le Figaro
Un peu court sur l’extrême gauche de cette période, émouvant sur la fermeture d’un commerce de proximité.
Le Monde
Le fils filme le père avec ce que leur relation implique de non-dits pudiques et de rugueuse tendresse.
Les Inrockuptibles
C’est inévitablement au cinéma d’Alain Cavalier, à son goût pour ces lieux en voie d’extinction […], que l’on pense devant ce beau premier film.
Positif
On ne trouvera donc pas dans ce film le moyen d’y voir plus clair dans ce genre de dédoublement de personnalité, courant chez les soixante-huitards, et on le regrette. En revanche, on apprécie la manière dont Samuel Bigiaoui filme son père, affectueusement, mais avec assez de recul pour permettre aux spectateurs de s’en faire chacun son idée, plus ou moins flatteuse.
Première
Le regard est tendre, gentiment inquisiteur.