Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Critikat.com
par Chloé Cavilier
Avec sa galerie de personnages hauts en couleurs et sa structure de cadavre exquis, le film se déplie comme un rêve et dessine peu à peu les contours d’une utopie poétique.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Alain Hertay
"Bêtes blondes" est un film profondément singulier qui ne doit rien aux modes. Il renoue avec le cinéma de poésie, une œuvre « vivante » qui ménage des surprises tout au long du déroulement d’une trame dramatique volontairement lâche et sinueuse.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
La Septième Obsession
par Adrien Valgalier
Le film accueille, dans un grand éclat de rire, toutes les contradictions et loufoqueries humaines.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Ouvertement détraquée, cette folle vadrouille a le mérite de surprendre, d’assumer son ambition divergente, sa poésie barrée.
Le Monde
par Clarisse Fabre
Le premier longmétrage de Maxime Matray et Alexia Walther renouvelle le genre de l’amour fou et du deuil.
Libération
par Marcos Uzal
Autour du deuil et de l’amnésie, un premier film qui conjugue poésie et humour absurde.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Transfuge
par Antoine Du Jeu
Quelque part entre Dupieux et les premiers Guiraudie, ce millefeuille narratif, multipliant les niveaux de réalité, absorbe n’importe quelle forme à l’instar de Fabien qui avale tout ce qu’il trouve comme pour combler un vide immense.
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Le programme de Bêtes blondes puise son inspiration du côté du surréalisme, de Buñuel, de Blier ou de Dupieux, mais l’épuise aussi quand vient la nuit : à abattre les cartes les plus inattendues, on joue toujours un peu le même jeu. Mais on prend note pour l’avenir.
Les Fiches du Cinéma
par Isabelle Boudet
Comme un rêve éveillé, les aventures d’une ex-vedette de sitcom, d’un ange déchu et d’une tête dans un sac se jouent dans un inédit registre dionysiaco-poético-marrant. Une bizarrerie pleine de rythme, de trouvailles, qui révèle l’univers singulier d’un duo à suivre.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Le film n’est cependant pas que drôle : à l’instar de "BoJack Horseman", le délirant cartoon dont il pourrait être un remake en images réelles, "Bêtes blondes" parvient à émouvoir dans son dernier mouvement, lorsqu’il se dépouille de ses apparats burlesques pour plonger dans la mélancolie – tête la première, corps encore sur le bord.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Mad Movies
par Gilles Esposito
Bref, si vous appréciez une certaine tendance du cinéma français actuel - la chose se situe quelque part entre Bertrand Mandico ("Les Garçons sauvages") et Antonin Peretjatko ("La Fille du 14 juillet") -, vous pourrez vous laisser prendre par le charme foutraque de ces "Bêtes blondes".
Positif
par William Le Personnic
"Bêtes blondes" s'agite tellement qu'il se fragilise et peine à tenir la distance de ses premiers insants fougueux.
Première
par Thomas Baurez
À l’heure de la dictature du scénario, personne ne semble assez fou pour tenter l’aventure. D’où cette joie immense de découvrir ces Bêtes blondes, jeu de piste façon Alice au pays des merveilles, où un être vaguement assoupi (Thomas Scimeca) se lève et enchaîne d’improbables rencontres.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Figaro
par La Rédaction
Une poésie certaine, parfois noyée dans une déferlante d'absurde.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
L'Humanité
par Vincent Ostria
Un de ces films gentiment trash et joliment absurdes dont le cinéma français s'enorgueillit et qui ne mènent nulle part.
L'Obs
par François Forestier
Les réalisateurs voulaient faire de l'absurde poétique, ils ont fait un ratage foutraque.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Critikat.com
Avec sa galerie de personnages hauts en couleurs et sa structure de cadavre exquis, le film se déplie comme un rêve et dessine peu à peu les contours d’une utopie poétique.
Culturopoing.com
"Bêtes blondes" est un film profondément singulier qui ne doit rien aux modes. Il renoue avec le cinéma de poésie, une œuvre « vivante » qui ménage des surprises tout au long du déroulement d’une trame dramatique volontairement lâche et sinueuse.
La Septième Obsession
Le film accueille, dans un grand éclat de rire, toutes les contradictions et loufoqueries humaines.
Le Journal du Dimanche
Ouvertement détraquée, cette folle vadrouille a le mérite de surprendre, d’assumer son ambition divergente, sa poésie barrée.
Le Monde
Le premier longmétrage de Maxime Matray et Alexia Walther renouvelle le genre de l’amour fou et du deuil.
Libération
Autour du deuil et de l’amnésie, un premier film qui conjugue poésie et humour absurde.
Transfuge
Quelque part entre Dupieux et les premiers Guiraudie, ce millefeuille narratif, multipliant les niveaux de réalité, absorbe n’importe quelle forme à l’instar de Fabien qui avale tout ce qu’il trouve comme pour combler un vide immense.
Cahiers du Cinéma
Le programme de Bêtes blondes puise son inspiration du côté du surréalisme, de Buñuel, de Blier ou de Dupieux, mais l’épuise aussi quand vient la nuit : à abattre les cartes les plus inattendues, on joue toujours un peu le même jeu. Mais on prend note pour l’avenir.
Les Fiches du Cinéma
Comme un rêve éveillé, les aventures d’une ex-vedette de sitcom, d’un ange déchu et d’une tête dans un sac se jouent dans un inédit registre dionysiaco-poético-marrant. Une bizarrerie pleine de rythme, de trouvailles, qui révèle l’univers singulier d’un duo à suivre.
Les Inrockuptibles
Le film n’est cependant pas que drôle : à l’instar de "BoJack Horseman", le délirant cartoon dont il pourrait être un remake en images réelles, "Bêtes blondes" parvient à émouvoir dans son dernier mouvement, lorsqu’il se dépouille de ses apparats burlesques pour plonger dans la mélancolie – tête la première, corps encore sur le bord.
Mad Movies
Bref, si vous appréciez une certaine tendance du cinéma français actuel - la chose se situe quelque part entre Bertrand Mandico ("Les Garçons sauvages") et Antonin Peretjatko ("La Fille du 14 juillet") -, vous pourrez vous laisser prendre par le charme foutraque de ces "Bêtes blondes".
Positif
"Bêtes blondes" s'agite tellement qu'il se fragilise et peine à tenir la distance de ses premiers insants fougueux.
Première
À l’heure de la dictature du scénario, personne ne semble assez fou pour tenter l’aventure. D’où cette joie immense de découvrir ces Bêtes blondes, jeu de piste façon Alice au pays des merveilles, où un être vaguement assoupi (Thomas Scimeca) se lève et enchaîne d’improbables rencontres.
Le Figaro
Une poésie certaine, parfois noyée dans une déferlante d'absurde.
L'Humanité
Un de ces films gentiment trash et joliment absurdes dont le cinéma français s'enorgueillit et qui ne mènent nulle part.
L'Obs
Les réalisateurs voulaient faire de l'absurde poétique, ils ont fait un ratage foutraque.