Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
35 critiques presse
Elle
par Françoise Delbecq
Un film magnifique qui décortique les ressorts de l'ultralibéralisme. Implacable.
L'Express
par Christophe Carrière
Fidèles à leur sobriété, Ken Loach et son fidèle scénariste Paul Laverty dressent un constat implacable d'une société où la seule chose qui tourne rond serait ce modeste autoentrepreneur tel un hamster dans sa roue.
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Implacable et poignant.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Stéphane Joby
C’est brillant, implacable, poignant et raconté sobrement, sans discours politique ni pathos.
Positif
par Dominique Martinez
Ken Loach et son coscénariste, Paul Laverty, assument une critique cinglante de la transformation du travail et de la déshumanisation de notre société. Un regard politique qui aurait pu mener à un film à thèse mais dont leur cinéma fait tout autre chose. Les personnages, broyés par le monstre libéral, sont incarnés par des comédiens époustouflants.
Voici
par A.V.
Drame sobre, touchant et lumineux d'humanisme qui, comme ses héros, ne renonce jamais.
20 Minutes
par Caroline Vié
On ne regarde plus les livreurs du même œil après avoir vu Sorry We Missed You, un film qui donne envie de retourner dans des magasins de quartier plutôt que de passer commande sur Internet.
Bande à part
par La rédaction
Comment résister à la loi du plus fort dans l’économie de marché ? Dans Sorry, We Missed You, Ken Loach répond par une ode à la famille. Et le cinéaste militant s'avère bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Ken Loach reste digne mais réaliste.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Un film politique puissant.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Ken Loach ne cherche ni le rire ni le rêve. Mais son cinéma réaliste, façon Zola, met en valeur des vies humbles, des gens exploités et trop peu regardés. Il prend leur défense, il salue leur courage. Et nous le sien.
L'Humanité
par Marie-José Sirach
C’est un film sans concession, un état des lieux lucide sur une génération sacrifiée sur l’autel d’un capitalisme débridé.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Le vétéran britannique dénonce l’ubérisation galopante du travail. Et montre, même s’il ne sort d’une mécanique du malheur assez prévisible, qu’il sait toujours aussi bien scruter les dérèglements de la société.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Fidèle à son cinéma de dénonciation des injustices sociales, Ken Loach se penche sur les formes nouvelles de l’économie ubérisée et numérisée : kenloachissime…
Le Figaro
par Bertrand de Saint Vincent
Ken Loach tire le signal d’alarme. Il le fait avec une sobriété efficace, un œil implacable et généreux.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
Un film sombre et bouleversant, ponctué de scènes qui prennent aux tripes.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Michaël Ghennam
Après l’absurdité du Pôle Emploi britannique, Loach fulmine face aux excès du libéralisme des « start-up nations », livrant en filigrane un émouvant portrait de famille.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
"Sorry We Missed You" est une parabole sur l’ubérisation du marché du travail et le démantèlement par le numérique des droits sociaux élémentaires – soit le nouveau volume thématique de la geste antilibérale loachienne, dont les services publics informatisés de "Moi, Daniel Blake" avaient un peu initié le ton.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Luc Chessel
[...] chez Loach, de façon délibérée, la lourdeur de la démonstration est à la mesure directe de la violence sociale décrite.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Nedjma Van Egmond
Un nouveau film plein de rage et de tendresse.
Ouest France
par La Rédaction
Un nouveau brûlot réussi.
Première
par Thomas Baurez
Loach fait du Loach et c'est très bien comme ça.
Télérama
par Jacques Morice
Sur les ravages du néolibéralisme, que résume le visage défiguré de Ricky, le film est d’autant plus poignant que les acteurs, certains professionnels depuis peu, d’autres pas du tout, impressionnent par leur justesse.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Culturopoing.com
par Vincent Nicolet
L’intelligence du scénario se heurte à une mise en image avant tout « pratique », visant essentiellement à valoriser le discours. […] Ces considérations évoquées, "Sorry We Missed You" constitue tout de même un bon cru.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par Simon Riaux
Ken Loach semble d'abord renouer avec la puissance humaniste de ses débuts, avant d'oublier en cours de route toute vélléités de nuance et de mise en scène, préférant le tract facile et confortable à la réflexion.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
La démonstration reste cependant didactique et chargée, même si elle est comme de coutume chez le cinéaste, pleine d’émotion.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Nicolas Schaller
C’est en en mesurant l’impact sur la vie familiale et sur les deux enfants, émouvants perturbateurs du calvaire parental, que Loach trouve le cœur de son film et celui du spectateur.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Lucas Charrier
Le monde que Ken Loach filme change à toute vitesse, quand son cinéma paraît lui immuable, d’une stabilité exemplaire.
Le Monde
par Mathieu Macheret
Sorry We Missed You vaut avant tout pour la clarté et la précision de son constat quant au pacte faustien qu’ont pris les nouvelles formes du travail, régies par un langage trompeur (on ne dit plus « travail » mais « mission ») ou des logiciels qui s’évertuent à en gommer toute dimension humaine.
Paris Match
par Yannick Vely
C'est excellemment bien joué, toujours juste dans les scènes familiales et il faut avoir un coeur de pierre [...] pour résister à la montée lacrymale. Mais le film est «kenloachien» en diable et épouse la trajectoire doloriste habituelle [...].
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Sud Ouest
par Sophie Avon
Qu’il s’agisse des parents ou des enfants, ou même de protagonistes secondaires, chacun est dessiné avec profondeur et ce sens propre à l’auteur de « Sweet Sixteen » de saisir, dans la fiction, la fine lame d’une réalité déchirante.
Télé Loisirs
par Emilie Meunier
Ken Loach vise juste mais sans suprendre.
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
A 82 ans, Ken Loach réussit à parfaitement dessiner les évolutions libérales du marché du travail et leurs dérives aliénantes. Il en profite également pour dépeindre un portrait de ses contemporains avec la justesse dont il a le secret.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Il est difficile de ne pas regretter que le cinéaste, sur des rails, déroule une action aussi détaillée que prévisible où tout ce qui est juste est aussi mesuré, pesé, emballé.
Critikat.com
par Josué Morel
Si la stratégie n’est pas dénuée d’habileté et fait preuve d’un peu plus de finesse que dans les derniers Loach [...], la part « documentaire » du film finit par ployer sous le poids du programme.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Elle
Un film magnifique qui décortique les ressorts de l'ultralibéralisme. Implacable.
L'Express
Fidèles à leur sobriété, Ken Loach et son fidèle scénariste Paul Laverty dressent un constat implacable d'une société où la seule chose qui tourne rond serait ce modeste autoentrepreneur tel un hamster dans sa roue.
La Croix
Implacable et poignant.
Le Journal du Dimanche
C’est brillant, implacable, poignant et raconté sobrement, sans discours politique ni pathos.
Positif
Ken Loach et son coscénariste, Paul Laverty, assument une critique cinglante de la transformation du travail et de la déshumanisation de notre société. Un regard politique qui aurait pu mener à un film à thèse mais dont leur cinéma fait tout autre chose. Les personnages, broyés par le monstre libéral, sont incarnés par des comédiens époustouflants.
Voici
Drame sobre, touchant et lumineux d'humanisme qui, comme ses héros, ne renonce jamais.
20 Minutes
On ne regarde plus les livreurs du même œil après avoir vu Sorry We Missed You, un film qui donne envie de retourner dans des magasins de quartier plutôt que de passer commande sur Internet.
Bande à part
Comment résister à la loi du plus fort dans l’économie de marché ? Dans Sorry, We Missed You, Ken Loach répond par une ode à la famille. Et le cinéaste militant s'avère bouleversant.
CinemaTeaser
Ken Loach reste digne mais réaliste.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Un film politique puissant.
Femme Actuelle
Ken Loach ne cherche ni le rire ni le rêve. Mais son cinéma réaliste, façon Zola, met en valeur des vies humbles, des gens exploités et trop peu regardés. Il prend leur défense, il salue leur courage. Et nous le sien.
L'Humanité
C’est un film sans concession, un état des lieux lucide sur une génération sacrifiée sur l’autel d’un capitalisme débridé.
La Voix du Nord
Le vétéran britannique dénonce l’ubérisation galopante du travail. Et montre, même s’il ne sort d’une mécanique du malheur assez prévisible, qu’il sait toujours aussi bien scruter les dérèglements de la société.
Le Dauphiné Libéré
Fidèle à son cinéma de dénonciation des injustices sociales, Ken Loach se penche sur les formes nouvelles de l’économie ubérisée et numérisée : kenloachissime…
Le Figaro
Ken Loach tire le signal d’alarme. Il le fait avec une sobriété efficace, un œil implacable et généreux.
Le Parisien
Un film sombre et bouleversant, ponctué de scènes qui prennent aux tripes.
Les Fiches du Cinéma
Après l’absurdité du Pôle Emploi britannique, Loach fulmine face aux excès du libéralisme des « start-up nations », livrant en filigrane un émouvant portrait de famille.
Les Inrockuptibles
"Sorry We Missed You" est une parabole sur l’ubérisation du marché du travail et le démantèlement par le numérique des droits sociaux élémentaires – soit le nouveau volume thématique de la geste antilibérale loachienne, dont les services publics informatisés de "Moi, Daniel Blake" avaient un peu initié le ton.
Libération
[...] chez Loach, de façon délibérée, la lourdeur de la démonstration est à la mesure directe de la violence sociale décrite.
Marianne
Un nouveau film plein de rage et de tendresse.
Ouest France
Un nouveau brûlot réussi.
Première
Loach fait du Loach et c'est très bien comme ça.
Télérama
Sur les ravages du néolibéralisme, que résume le visage défiguré de Ricky, le film est d’autant plus poignant que les acteurs, certains professionnels depuis peu, d’autres pas du tout, impressionnent par leur justesse.
Culturopoing.com
L’intelligence du scénario se heurte à une mise en image avant tout « pratique », visant essentiellement à valoriser le discours. […] Ces considérations évoquées, "Sorry We Missed You" constitue tout de même un bon cru.
Ecran Large
Ken Loach semble d'abord renouer avec la puissance humaniste de ses débuts, avant d'oublier en cours de route toute vélléités de nuance et de mise en scène, préférant le tract facile et confortable à la réflexion.
Franceinfo Culture
La démonstration reste cependant didactique et chargée, même si elle est comme de coutume chez le cinéaste, pleine d’émotion.
L'Obs
C’est en en mesurant l’impact sur la vie familiale et sur les deux enfants, émouvants perturbateurs du calvaire parental, que Loach trouve le cœur de son film et celui du spectateur.
La Septième Obsession
Le monde que Ken Loach filme change à toute vitesse, quand son cinéma paraît lui immuable, d’une stabilité exemplaire.
Le Monde
Sorry We Missed You vaut avant tout pour la clarté et la précision de son constat quant au pacte faustien qu’ont pris les nouvelles formes du travail, régies par un langage trompeur (on ne dit plus « travail » mais « mission ») ou des logiciels qui s’évertuent à en gommer toute dimension humaine.
Paris Match
C'est excellemment bien joué, toujours juste dans les scènes familiales et il faut avoir un coeur de pierre [...] pour résister à la montée lacrymale. Mais le film est «kenloachien» en diable et épouse la trajectoire doloriste habituelle [...].
Sud Ouest
Qu’il s’agisse des parents ou des enfants, ou même de protagonistes secondaires, chacun est dessiné avec profondeur et ce sens propre à l’auteur de « Sweet Sixteen » de saisir, dans la fiction, la fine lame d’une réalité déchirante.
Télé Loisirs
Ken Loach vise juste mais sans suprendre.
aVoir-aLire.com
A 82 ans, Ken Loach réussit à parfaitement dessiner les évolutions libérales du marché du travail et leurs dérives aliénantes. Il en profite également pour dépeindre un portrait de ses contemporains avec la justesse dont il a le secret.
Cahiers du Cinéma
Il est difficile de ne pas regretter que le cinéaste, sur des rails, déroule une action aussi détaillée que prévisible où tout ce qui est juste est aussi mesuré, pesé, emballé.
Critikat.com
Si la stratégie n’est pas dénuée d’habileté et fait preuve d’un peu plus de finesse que dans les derniers Loach [...], la part « documentaire » du film finit par ployer sous le poids du programme.