Les Avantages de voyager en train : Critique presse
Les Avantages de voyager en train
Note moyenne
3,1
13 titres de presse
Culturopoing.com
Ecran Large
Franceinfo Culture
L'Humanité
Libération
Mad Movies
L'Obs
Le Figaro
Télérama
Le Monde
Les Fiches du Cinéma
aVoir-aLire.com
Première
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Culturopoing.com
par Alexandre Lebrac
Premier long-métrage de l’espagnol Aritz Moreno, "Les avantages de voyager en train" est une proposition cinématographique captivante, poétique et inclassable imposant son auteur comme un cinéaste à suivre.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par Déborah Lechner
"Les avantages de voyager en train" est une expérience parfois éprouvante, qui flirte avec les limites de la bienséance avec une énergie folle et une noirceur implacable.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
"Les Avantages de voyager en train" pourrait paraître l’anti-feel good movie par excellence. C’est tout le contraire, tant l’on est surpris et absorbé par tant de qualités filmiques et de valeurs iconoclastes contenues en un seul film, qui s’avère être la meilleure surprise de l’été.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Thalie Ngugen
Thriller qui oscille entre comédie à l’humour noir et horreur, « Les avantages de voyager en train » est un long métrage terrifiant mais obsédant.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Libération
par Lelo Jimmy Batista
Bien qu’un poil inégal, le film espagnol «les Avantages à voyager en train» sur un psychiatre qui raconte la vie de ses patients à une éditrice est impressionnant et furieusement réjouissant.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par François Cau
Par une maîtrise d'autant plus remarquable pour un premier long, Aritz Moreno évite la dispersion inhérente à la nature même du film à sketches et tient sa matière narrative d'un bout à l'autre, sans temps mort.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Où ce jeune cinéaste débutant et talentueux veut-il en venir ? Une question sans réponse qui laisse un arrière-goût d’inachevé.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Benjamin Puech
Ce film nerveux et grinçant donne du corps et de la couleur aux psychoses les plus salées. Il met même un pied dans l'horrifique. Mais l'on se demande quand même ce que cherche à montrer toute cette virtuosité, qui semble parfois un peu gratuite.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Télérama
par Jérémie Couston
[...] les histoires soulèvent le cœur mais restent captivantes par le truchement d’une mise en scène onirico-épicée à laquelle le cinéma fantastique espagnol nous a habitués.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Adaptation du roman éponyme d’Antonio Orejudo, ce premier long-métrage d’Aritz Moreno ne recule devant rien, montrant tout ce qu’il est possible de l’ignominie et de la cruauté humaine dans un délire formel, une surenchère baroque qui finit par saturer, jusqu’à la nausée.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Valentine Verhague
Construit comme une poupée russe dont on ne saurait jamais très bien laquelle emboîte les autres, ce film nous entraîne dans les viscosités humaines. Mais, à force de se délecter de sa malséance avec désinvolture, le film finit par souffrir de sa propre inconséquence.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
aVoir-aLire.com
par Robin Berthelot
Un (premier) film de petit malin, un peu trop décidé à en mettre plein la vue.
Première
par Thierry Cheze
On perçoit le désir de comédie noire cruelle et incorrecte. Mais en surlignant tous ses effets, Aritz Moreno passe à côté de son film. N’est pas Ferreri qui veut.
La critique complète est disponible sur le site Première
Culturopoing.com
Premier long-métrage de l’espagnol Aritz Moreno, "Les avantages de voyager en train" est une proposition cinématographique captivante, poétique et inclassable imposant son auteur comme un cinéaste à suivre.
Ecran Large
"Les avantages de voyager en train" est une expérience parfois éprouvante, qui flirte avec les limites de la bienséance avec une énergie folle et une noirceur implacable.
Franceinfo Culture
"Les Avantages de voyager en train" pourrait paraître l’anti-feel good movie par excellence. C’est tout le contraire, tant l’on est surpris et absorbé par tant de qualités filmiques et de valeurs iconoclastes contenues en un seul film, qui s’avère être la meilleure surprise de l’été.
L'Humanité
Thriller qui oscille entre comédie à l’humour noir et horreur, « Les avantages de voyager en train » est un long métrage terrifiant mais obsédant.
Libération
Bien qu’un poil inégal, le film espagnol «les Avantages à voyager en train» sur un psychiatre qui raconte la vie de ses patients à une éditrice est impressionnant et furieusement réjouissant.
Mad Movies
Par une maîtrise d'autant plus remarquable pour un premier long, Aritz Moreno évite la dispersion inhérente à la nature même du film à sketches et tient sa matière narrative d'un bout à l'autre, sans temps mort.
L'Obs
Où ce jeune cinéaste débutant et talentueux veut-il en venir ? Une question sans réponse qui laisse un arrière-goût d’inachevé.
Le Figaro
Ce film nerveux et grinçant donne du corps et de la couleur aux psychoses les plus salées. Il met même un pied dans l'horrifique. Mais l'on se demande quand même ce que cherche à montrer toute cette virtuosité, qui semble parfois un peu gratuite.
Télérama
[...] les histoires soulèvent le cœur mais restent captivantes par le truchement d’une mise en scène onirico-épicée à laquelle le cinéma fantastique espagnol nous a habitués.
Le Monde
Adaptation du roman éponyme d’Antonio Orejudo, ce premier long-métrage d’Aritz Moreno ne recule devant rien, montrant tout ce qu’il est possible de l’ignominie et de la cruauté humaine dans un délire formel, une surenchère baroque qui finit par saturer, jusqu’à la nausée.
Les Fiches du Cinéma
Construit comme une poupée russe dont on ne saurait jamais très bien laquelle emboîte les autres, ce film nous entraîne dans les viscosités humaines. Mais, à force de se délecter de sa malséance avec désinvolture, le film finit par souffrir de sa propre inconséquence.
aVoir-aLire.com
Un (premier) film de petit malin, un peu trop décidé à en mettre plein la vue.
Première
On perçoit le désir de comédie noire cruelle et incorrecte. Mais en surlignant tous ses effets, Aritz Moreno passe à côté de son film. N’est pas Ferreri qui veut.