Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
28 critiques presse
L'Humanité
par Cyprien Caddeo
L’été, d’habitude propice à la découverte des corps et aux premiers émois, est ici une pesanteur supplémentaire ; la mer, un facteur d’enfermement autant qu’une promesse de liberté. (...) La tension se fait de plus en plus palpable à mesure que le film avance, le malaise contamine la carte postale.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Dans son premier film, la réalisatrice croate Antoneta Alamat Kusijanovic met en scène une jeune femme en lutte contre son père et contre le machisme dans une fiction sensuelle et émouvante . Un remarquable coup d'essai récompensé par le prix de la caméra d'or l'an passé au Festival de Cannes.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Dernières Nouvelles d'Alsace
par La Rédaction
Antoneta Alamat Kusijanovic entreprend un récit de passage à l’âge adulte d’une force tranquillement dévastatrice, qui rappelle le premier film de son aînée argentine Lucrecia Martel, La Cienaga (2001), l’abîme entre le monde des parents et celui des enfants.
Elle
par Françoise Delbecq
Un drame psychologique haletant.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Un jeu d'ombres sous le soleil.
Franceinfo Culture
par Laurence Houot
Murina, est un très beau premier film, sensuel et engagé, dans l'esprit de Mustang, de la cinéaste turque Deniz Gamze Ergüven.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Sous le soleil de la Croatie, le film d’Antoneta Alamat Kusijanovic dresse le bouleversant portrait de Julija.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Antoneta Alamat Kusijanovic entreprend un récit de passage à l’âge adulte d’une force tranquillement dévastatrice, qui rappelle le premier film de son aînée argentine Lucrecia Martel, La Cienaga (2001), l’abîme entre le monde des parents et celui des enfants.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Une adolescente sauvage et lumineusese libère du joug paternel dans ce Premier film croate. Une réussite.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Caméra d'Or à Cannes, coproduit par Martin Scorsese, ce premier film captive avec son intrigue tendue, ses virées sous-marines, sa photographie lumineuse, et surtout ses personnages bien dessinés, chargés de regards et de non-dits qui trahissent des émotions à vif.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Murina porte à notre regard ce lot d’émotions enfouies et de conflits intérieurs que se chargent d’éclairer, depuis des lustres, la psychanalyse, les contes et les mythes.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par La Rédaction
Un récit d’émancipation captivant, interprété par des comédiens totalement habités par leurs rôles.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Pierre-Simon Gutman
Premier film d’une cinéaste croate, couronné par une Caméra d’or, Murina mélange drame familial et récit initiatique, à travers le parcours d’une adolescente coincée dans un faux paradis. Une œuvre fine, qui revisite les codes de l’émancipation et de la tragédie.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Emily Barnett
Avec ses atours très simples, le premier long métrage d’Antoneta Alamat Kusijanović ne fait pas de vagues. Mais son univers s’insinue après cette première vision et s’incruste dans notre imaginaire.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
par Olivier De Bruyn
Avec Murina (...) la Croate Antoneta Alamat Kusijanovic, 36 ans, signe des débuts fracassants et impose une personnalité artistique qui rappelle déjà celle de la réalisatrice Jane Campion, qui, comme elle, plébiscite la nature sauvage, les mises en scène physiques et les héroïnes en guerre.
Marie Claire
par Emily Barnett
Un beau portrait d'adolescente, dont le vernis naturaliste se fissure pour laisser entrer serpents marins et mythologie.
Ouest France
par La Rédaction
Un récit initiatique tout en finesse.
Positif
par Lorenzo Codelli
L’intense rapport érotique entre la réalisatrice et l’actrice est le suc de cette chronique estivale.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Tout est en vitrine, à la surface de l’eau, brillant de mille reflets qui sont peut-être des illusions d’optique. Impossible d’avancer en terre ferme dans ce beau premier long-métrage aux gouffres assumés.
Télérama
par Marie Sauvion
Produit par Martin Scorsese et récompensé par la Caméra d’or au dernier Festival de Cannes, ce long métrage avance avec une fluidité sensuelle, sans coquetteries inutiles mais pas sans tension, heureusement.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Bande à part
par Olivier Pélisson
Le cinéma de Croatie est rare sur les écrans et cette découverte solaire et signée d’une jeune réalisatrice a décroché la Caméra d’or à Cannes. Elle brille par la destinée de son héroïne fascinante.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Mathieu Macheret
Avec son ogre, son loup et sa sirène captive, Murina se faufile, mutin et imprévisible, comme un conte cristallin dont le champ aveugle serait celui d’une sexualité interdite, laissant à l’imagination du spectateur le soin de s’aventurer au-delà du seuil que ses images délimitent.
Critikat.com
par Bastien Gens
La jeune cinéaste dessine avec beaucoup de précision la circulation du désir entre les personnages, au risque de trop souligner l’armature du récit.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Sophie Grassin
Cette histoire d’émancipation n’est pas neuve, mais le jeu de Gracija Filipovic, sauvageonne butée, lui donne la noblesse d’une tragédie antique.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Sur un motif relativement classique, Antoneta Alamat Kusijanovic, réalisatrice croate installée à New York, construit un récit d’émancipation féminine brillamment mené qui a tout du conte ou du récit mythologique.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Tout est crédible, dans cette aimable chronique d’émancipation, mais Murina ne renouvelle pas non plus l’exercice.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Thomas Baurez
L’action resserrée dans l’espace et le temps, la fluidité d’une mise en scène empreinte d’une sensualité contrariée, instaurent d’emblée un climat oppressant qui va trouver son paroxysme le temps d’une séquence sous-marine haletante. Une belle réussite.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Fabrice Prieur
Portrait subtil d’une jeune fille révoltée qui se sent à l’étroit malgré le cadre idyllique où elle évolue.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Humanité
L’été, d’habitude propice à la découverte des corps et aux premiers émois, est ici une pesanteur supplémentaire ; la mer, un facteur d’enfermement autant qu’une promesse de liberté. (...) La tension se fait de plus en plus palpable à mesure que le film avance, le malaise contamine la carte postale.
Les Echos
Dans son premier film, la réalisatrice croate Antoneta Alamat Kusijanovic met en scène une jeune femme en lutte contre son père et contre le machisme dans une fiction sensuelle et émouvante . Un remarquable coup d'essai récompensé par le prix de la caméra d'or l'an passé au Festival de Cannes.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Antoneta Alamat Kusijanovic entreprend un récit de passage à l’âge adulte d’une force tranquillement dévastatrice, qui rappelle le premier film de son aînée argentine Lucrecia Martel, La Cienaga (2001), l’abîme entre le monde des parents et celui des enfants.
Elle
Un drame psychologique haletant.
Femme Actuelle
Un jeu d'ombres sous le soleil.
Franceinfo Culture
Murina, est un très beau premier film, sensuel et engagé, dans l'esprit de Mustang, de la cinéaste turque Deniz Gamze Ergüven.
La Voix du Nord
Sous le soleil de la Croatie, le film d’Antoneta Alamat Kusijanovic dresse le bouleversant portrait de Julija.
Le Dauphiné Libéré
Antoneta Alamat Kusijanovic entreprend un récit de passage à l’âge adulte d’une force tranquillement dévastatrice, qui rappelle le premier film de son aînée argentine Lucrecia Martel, La Cienaga (2001), l’abîme entre le monde des parents et celui des enfants.
Le Figaro
Une adolescente sauvage et lumineusese libère du joug paternel dans ce Premier film croate. Une réussite.
Le Journal du Dimanche
Caméra d'Or à Cannes, coproduit par Martin Scorsese, ce premier film captive avec son intrigue tendue, ses virées sous-marines, sa photographie lumineuse, et surtout ses personnages bien dessinés, chargés de regards et de non-dits qui trahissent des émotions à vif.
Le Monde
Murina porte à notre regard ce lot d’émotions enfouies et de conflits intérieurs que se chargent d’éclairer, depuis des lustres, la psychanalyse, les contes et les mythes.
Le Parisien
Un récit d’émancipation captivant, interprété par des comédiens totalement habités par leurs rôles.
Les Fiches du Cinéma
Premier film d’une cinéaste croate, couronné par une Caméra d’or, Murina mélange drame familial et récit initiatique, à travers le parcours d’une adolescente coincée dans un faux paradis. Une œuvre fine, qui revisite les codes de l’émancipation et de la tragédie.
Les Inrockuptibles
Avec ses atours très simples, le premier long métrage d’Antoneta Alamat Kusijanović ne fait pas de vagues. Mais son univers s’insinue après cette première vision et s’incruste dans notre imaginaire.
Marianne
Avec Murina (...) la Croate Antoneta Alamat Kusijanovic, 36 ans, signe des débuts fracassants et impose une personnalité artistique qui rappelle déjà celle de la réalisatrice Jane Campion, qui, comme elle, plébiscite la nature sauvage, les mises en scène physiques et les héroïnes en guerre.
Marie Claire
Un beau portrait d'adolescente, dont le vernis naturaliste se fissure pour laisser entrer serpents marins et mythologie.
Ouest France
Un récit initiatique tout en finesse.
Positif
L’intense rapport érotique entre la réalisatrice et l’actrice est le suc de cette chronique estivale.
Sud Ouest
Tout est en vitrine, à la surface de l’eau, brillant de mille reflets qui sont peut-être des illusions d’optique. Impossible d’avancer en terre ferme dans ce beau premier long-métrage aux gouffres assumés.
Télérama
Produit par Martin Scorsese et récompensé par la Caméra d’or au dernier Festival de Cannes, ce long métrage avance avec une fluidité sensuelle, sans coquetteries inutiles mais pas sans tension, heureusement.
Bande à part
Le cinéma de Croatie est rare sur les écrans et cette découverte solaire et signée d’une jeune réalisatrice a décroché la Caméra d’or à Cannes. Elle brille par la destinée de son héroïne fascinante.
Cahiers du Cinéma
Avec son ogre, son loup et sa sirène captive, Murina se faufile, mutin et imprévisible, comme un conte cristallin dont le champ aveugle serait celui d’une sexualité interdite, laissant à l’imagination du spectateur le soin de s’aventurer au-delà du seuil que ses images délimitent.
Critikat.com
La jeune cinéaste dessine avec beaucoup de précision la circulation du désir entre les personnages, au risque de trop souligner l’armature du récit.
L'Obs
Cette histoire d’émancipation n’est pas neuve, mais le jeu de Gracija Filipovic, sauvageonne butée, lui donne la noblesse d’une tragédie antique.
La Croix
Sur un motif relativement classique, Antoneta Alamat Kusijanovic, réalisatrice croate installée à New York, construit un récit d’émancipation féminine brillamment mené qui a tout du conte ou du récit mythologique.
Libération
Tout est crédible, dans cette aimable chronique d’émancipation, mais Murina ne renouvelle pas non plus l’exercice.
Première
L’action resserrée dans l’espace et le temps, la fluidité d’une mise en scène empreinte d’une sensualité contrariée, instaurent d’emblée un climat oppressant qui va trouver son paroxysme le temps d’une séquence sous-marine haletante. Une belle réussite.
aVoir-aLire.com
Portrait subtil d’une jeune fille révoltée qui se sent à l’étroit malgré le cadre idyllique où elle évolue.