Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Ce premier long métrage est une vibration de couleurs et d’émotions, dans un New York lumineux et fascinant. Danielle Lessovitz donne à voir un film généreux, sensible, raconté comme un hymne à la tolérance.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
BIBA
par Lili Yubari
Si vous aimez la série "Pose" de Ryan Murphy, ce "Roméo et Juliette" LGBTQ est pour vous.
Bande à part
par Olivier Pélisson
Au rayon des révélations du millésime 2019, il en est une pleine de charme. Une histoire d’amour. Un roman d’apprentissage. Un conte urbain newyorkais où les princes et les princesses galèrent, squattent, et défient les lois des genres, avec une grâce dingue.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Port Authority surprend par sa manière de frayer avec nombre d’écueils menaçants – sans y succomber et en se révélant même émouvant.
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
La culture des balls sert de toile de fond à cette histoire d’amour moderne où caméra et personnages ne voient bien qu’avec le cœur.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Elle
par Françoise Delbecq
Les scènes de danse, ces battles aux tonalités nocturnes partiellement éclairées de paillettes, insufflent un joli rythme.
Franceinfo Culture
par Laurence Houot
Sans voyeurisme, la caméra de Danielle Lessovitz filme au plus près les corps des comédiens et des danseurs, l'énergie et la joie qui s'en dégagent, autant que la souffrance.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Point
par Victoria Gairin
Il y a du Paul Auster dans cette façon de raconter et ses solitudes qui se noient dans la foule.
Les Fiches du Cinéma
par Michaël Ghennam
Une étude sociale complexe et tendre, pour un premier film à l’énergie communicative.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
[L'amour des deux personnages est u]ne sublime romance bio-homeless-whiteboy meets trans-poor-blackgirl, où la question trans n'est ni un tabou ni un obstacle à l'amour du bioboy (enfin !), il est en plus in fine le terrain d'une magnifique ouverture à soi et aux autres.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Guillemette Odicino
Par sa manière fluide de serpenter entre le singulier et l’universel, le film impose un doux enseignement : face à la norme dominante, l’épanouissement personnel peut, et doit, faire autorité.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par Nicolas Schaller
Le film vaut surtout pour sa plongée parmi les adeptes du voguing, croisement entre la tecktonik et le défilé de mode, qui lui donne des couleurs et un relief autrement absents.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Filmé de manière réaliste dans un New York interlope, Port Authority est porté par deux interprètes aux jeux sobres et sensibles : Fionn Whitehead, convaincant en jeune paumé à fleur de peau, et Leyna Bloom, solaire mannequin et actrice transgenre.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par La Rédaction
Mignon mais trop de romance et pas assez de danse.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Dans une Amérique gangrenée par le racisme et l'homophobie, ce récit délicat, pudique mais lucide met en scène l'actrice transgenre afro-américaine Leyna Bloom dans un rôle qui évoque son propre parcours, sa quête d'identité, son combat quotidien contre l'intolérance.
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Un premier film sensible où un jeune homme se choisit une famille à New York dans le milieu du « voguing ».
Première
par Thomas Baurez
Le film, présenté lors du dernier Festival de Cannes, est une réussite.
La critique complète est disponible sur le site Première
Voici
par Lola Sciamma
Ce conte urbain est incarné jusqu'au bout des faux ongles par le mannequin transgenre Leyna Bloom, icône LGBT.
Critikat.com
par Chloé Cavillier
Oscillant entre originalité et conformisme, ce premier film de Danielle Lessovitz peine malgré tout à affirmer sa singularité.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Libération
par Luc Chessel
Bardé de clichés, le film de Danielle Lessowitz plante ses personnages par catégories sexuelles dans un décor pseudo-réaliste du voguing new-yorkais.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Baptiste Roux
On aimerait être touché par ce récit d'initiation [...] mais les situations convenues, la prévisibilité de l'histoire, la laideur de l'image et le manichéisme de l'ensemble [...] épuisent un intérêt déjà émoussé par la nullité de la musique qu'assène la bande-son.
aVoir-aLire.com
Ce premier long métrage est une vibration de couleurs et d’émotions, dans un New York lumineux et fascinant. Danielle Lessovitz donne à voir un film généreux, sensible, raconté comme un hymne à la tolérance.
BIBA
Si vous aimez la série "Pose" de Ryan Murphy, ce "Roméo et Juliette" LGBTQ est pour vous.
Bande à part
Au rayon des révélations du millésime 2019, il en est une pleine de charme. Une histoire d’amour. Un roman d’apprentissage. Un conte urbain newyorkais où les princes et les princesses galèrent, squattent, et défient les lois des genres, avec une grâce dingue.
Cahiers du Cinéma
Port Authority surprend par sa manière de frayer avec nombre d’écueils menaçants – sans y succomber et en se révélant même émouvant.
CinemaTeaser
La culture des balls sert de toile de fond à cette histoire d’amour moderne où caméra et personnages ne voient bien qu’avec le cœur.
Elle
Les scènes de danse, ces battles aux tonalités nocturnes partiellement éclairées de paillettes, insufflent un joli rythme.
Franceinfo Culture
Sans voyeurisme, la caméra de Danielle Lessovitz filme au plus près les corps des comédiens et des danseurs, l'énergie et la joie qui s'en dégagent, autant que la souffrance.
Le Point
Il y a du Paul Auster dans cette façon de raconter et ses solitudes qui se noient dans la foule.
Les Fiches du Cinéma
Une étude sociale complexe et tendre, pour un premier film à l’énergie communicative.
Les Inrockuptibles
[L'amour des deux personnages est u]ne sublime romance bio-homeless-whiteboy meets trans-poor-blackgirl, où la question trans n'est ni un tabou ni un obstacle à l'amour du bioboy (enfin !), il est en plus in fine le terrain d'une magnifique ouverture à soi et aux autres.
Télérama
Par sa manière fluide de serpenter entre le singulier et l’universel, le film impose un doux enseignement : face à la norme dominante, l’épanouissement personnel peut, et doit, faire autorité.
L'Obs
Le film vaut surtout pour sa plongée parmi les adeptes du voguing, croisement entre la tecktonik et le défilé de mode, qui lui donne des couleurs et un relief autrement absents.
La Croix
Filmé de manière réaliste dans un New York interlope, Port Authority est porté par deux interprètes aux jeux sobres et sensibles : Fionn Whitehead, convaincant en jeune paumé à fleur de peau, et Leyna Bloom, solaire mannequin et actrice transgenre.
Le Figaro
Mignon mais trop de romance et pas assez de danse.
Le Journal du Dimanche
Dans une Amérique gangrenée par le racisme et l'homophobie, ce récit délicat, pudique mais lucide met en scène l'actrice transgenre afro-américaine Leyna Bloom dans un rôle qui évoque son propre parcours, sa quête d'identité, son combat quotidien contre l'intolérance.
Le Monde
Un premier film sensible où un jeune homme se choisit une famille à New York dans le milieu du « voguing ».
Première
Le film, présenté lors du dernier Festival de Cannes, est une réussite.
Voici
Ce conte urbain est incarné jusqu'au bout des faux ongles par le mannequin transgenre Leyna Bloom, icône LGBT.
Critikat.com
Oscillant entre originalité et conformisme, ce premier film de Danielle Lessovitz peine malgré tout à affirmer sa singularité.
Libération
Bardé de clichés, le film de Danielle Lessowitz plante ses personnages par catégories sexuelles dans un décor pseudo-réaliste du voguing new-yorkais.
Positif
On aimerait être touché par ce récit d'initiation [...] mais les situations convenues, la prévisibilité de l'histoire, la laideur de l'image et le manichéisme de l'ensemble [...] épuisent un intérêt déjà émoussé par la nullité de la musique qu'assène la bande-son.