AlloCiné
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pas drôle du tout même si ça n'est pas faute d'essayer... une histoire sans queue ni tête autour de la libido de personnes âgées, ou de Catherine Frot qui chancelle entre deux hommes...
On s'ennuie à mourir à essayer de s'intéresser aux pérégrinations sentimentales d'un trio d'amis sexagénaires qui vieillissent mal s'engueulent et se trompent. Scénario vide, aucun rythme, dialogues pauvres. Personne à suivre en fait.
Un film qui ce regarde une fois sans plus.
La seule qui sort du lot c'est Catherine Frot qui apporte un peu de fraîcheur dans cette comédie un peu moraliste et bourré de clichés.
Ca tourne en rond et on s'en retrouve que trop rarement surpris.
La seule qui sort du lot c'est Catherine Frot qui apporte un peu de fraîcheur dans cette comédie un peu moraliste et bourré de clichés.
Ca tourne en rond et on s'en retrouve que trop rarement surpris.
Je suis toujours content d’aller voir au cinéma Daniel Auteuil, par moment moins en sortant, mais cette fois-ci, j’ai été plutôt satisfait. On va dire que le film est vraiment coupé en deux parties. J’ai eu un avis très négatif sur la première et très positif sur la seconde. Donc forcément, mon c’est équilibré. Le début est beaucoup trop dramatique. On va voir une comédie et il nous est balancé un mari amer et une femme infidèle dont le mariage explose après 35 ans (de bonheur ?). Le rôle de Daniel Auteuil à ce moment-là était vraiment sombre. Il sera l’homme qui avant était rebelle et maintenant est juste aigri. Durant cette première partie, il n’y avait donc aucun sourire. On assistait à la chute aux enfers de cet homme coincé entre ses soucis de santé, d’argent et de cœur. Heureusement pour nous, la seconde partie va aller de l’avant. Elle commence à se déclencher avec l’arrivée à l’écran du jeune Solam Dejean-Lacréole qui va impulser de la vie. L’humour va enfin prendre sa place dans cette comédie qui commençait à être déprimante. Le duo Daniel Auteuil et Bernard Le Coq parvient à faire des étincelles par leurs affrontements. La tristesse va se transformer en un cynisme efficace. Plus le film avance et plus j’ai rigolé. A la fin, j’ai même eu un ou deux fou rire par les situations incongrues. Pourquoi il a fallu attendre autant pour avoir tout cela ? Par contre, le personnage de Catherine Frot m’était très antipathique. Moins je la voyais, mieux je me portais. Elle complète assez mal ce trio.
Ciné2909
Si l’on doit appliquer à la lettre le titre du film, il ne risque pas d’y avoir grand monde dans les salles ! Commençons par le point fort car oui il n’y en a qu’un seul c’est bien entendu la présence du trio constitué par Catherine Frot, Daniel Auteuil & Bernard Le Coq. Ce triangle amoureux tente tant bien que mal d’impulser un peu de vie dans cette comédie au scénario convenu. Un long-métrage qui doit aussi faire avec une réalisation de José Alcala s’enfonçant dans la banalité sans compter des personnages secondaires inintéressants au possible. On a quand même envie de se montrer magnanime envers le jeune Solam Dejean-Lacréole en dehors de cela, Qui m’aime me suive ! ne mérite vraiment pas le déplacement.
Voilà encore un petit film sans grande prétention mais tout à fait charmant...toujours les mêmes recettes l'adultère le changement de vie..mais encore une fois ça fonctionne grâce à un trio d'acteurs en harmonie.
J'avais hate de revoir Daniel Auteuil et Catherine Frot avec cette comédie à l'affiche joyeuse,et puis le film se transforme bien vite en telefilm, et l'on s'aperçoit qu'il s'agit d'une petite production juste dans un but de faire de l'argent point barre. je n'avais jamais vu Mme Frot nue,et bien c'est fait.
Une petite comédie vraiment sans aucune prétention à regarder par morceaux,en avance rapide.
je me demande ou est passé le cinéma en ce moment...perdu de vue.
Une petite comédie vraiment sans aucune prétention à regarder par morceaux,en avance rapide.
je me demande ou est passé le cinéma en ce moment...perdu de vue.
Une bonne petite comédie romantique française, réalisé par José Alcala, à qui nous devons notamment deux film sur la fermeture de l'entreprise Molex dont Encore Debout ! Un comédie, avec une distribution attractive qui reprend les thèmes classiques du genre, un couple en fin de course, un homme à la dérive, avec la petite leçon de bien-pensance habituelle au passage pour toucher les subventions. Ce n'est pas la comédie de l'année, mais elle n'est pas désagréable à regarder, de bons acteurs, et des personnages touchants.
Cette comédie romantique a, au moins, le mérite de ne pas mettre en scène des bobos parisiens, ici les gens ont des problème de fin de mis et de retraite, des voitures qui ne démarrent que dans les descentes, des peines et des inquiétudes qui peuvent encore parler au plus grand nombre.
Un film techniquement bien réalisé, un petit road-trip sympathique en compagnie de Gilbert (Daniel Auteuil), Simone (Catherine Frot), Etienne (Yves Le Coq) et le jeune acteur Solam Dejean-Lacréole, dans le rôle de Terence.
Cette comédie romantique a, au moins, le mérite de ne pas mettre en scène des bobos parisiens, ici les gens ont des problème de fin de mis et de retraite, des voitures qui ne démarrent que dans les descentes, des peines et des inquiétudes qui peuvent encore parler au plus grand nombre.
Un film techniquement bien réalisé, un petit road-trip sympathique en compagnie de Gilbert (Daniel Auteuil), Simone (Catherine Frot), Etienne (Yves Le Coq) et le jeune acteur Solam Dejean-Lacréole, dans le rôle de Terence.
Cinéphiles 44
Entre comédie et nostalgie, Catherine Frot incarne une retraitée agitée entre l’aigreur de son mari et son voisin et amant. Prête à quitter le foyer, le mari joué par Daniel Auteuil, va alors prendre conscience qu’il est temps de reconquérir sa femme. “Qui m’aime me suive” est donc l’histoire d’un triangle amoureux version sénior qui même si elle n’en évite pas les clichés, ne tombe pas dans le pathos. Frot, Auteuil et Bernard Le Coq sont spontanés et attisent une certaine tendresse à l’ensemble, malgré les grosses faiblesses de l’écriture et la mise en scène d’un autre temps.
D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
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Quel dommage pour Catherine Frot et Daniel Auteuil de se fourvoyer dans un téléfilm qui par la pauvreté de son scénario n’aurait sans doute pas trouvé preneur.
Mise à part la merveilleuse plastique du corps de Mme Frot entrevue au début du film, pas d’émotion, aucune. .... j’espere Qu’elle n’était Pas doublée.
On peut attendre mieux de ces acteurs.
Mise à part la merveilleuse plastique du corps de Mme Frot entrevue au début du film, pas d’émotion, aucune. .... j’espere Qu’elle n’était Pas doublée.
On peut attendre mieux de ces acteurs.
elriad
la finesse et la subtilité ne sont pas les qualités que l'on remarque dés les 10 premières minutes. La suite confirmera ce à quoi le spectateur subira tout au long du film : poncifs, personnages taillés au gros crayon au point que l'on n'y croit pas une seconde. Jusqu'aux chaussettes trouées de Auteuil. Vraiment indigeste !
14 ans de carrière pour le réal, et bah, il apprend pas vite apparemment, dire que tous ces navets sont financés avec l'avance sur recette, les fonds Européens, des financements des régions ... l'exception culturelle a bon dos pour entretenir toute une kyrielle de mauvais fils à papa qui font un caprice de faire du cinéma. A fuir.
Alain D.
Cette comédie dramatique coécrite et dirigée par José Alcala nous offre de jolis décors champêtres agrémentés de quelques sourires. Son scénario, classique et sans surprise, nous présente une collection de personnages en galère dans une ambiance pathétique et peu réjouissante.
Les seuls points positifs de cette réalisation sont l'excellent jeu du duo Catherine Frot - Daniel Auteuil et les dialogues entre le grand père et le jeune Terence, joué par Solam Dejean-Lacréole.
Les seuls points positifs de cette réalisation sont l'excellent jeu du duo Catherine Frot - Daniel Auteuil et les dialogues entre le grand père et le jeune Terence, joué par Solam Dejean-Lacréole.
FaRem
Huit ans après "Coup d'éclat", José Alcala retrouve Catherine Frot qui cette fois-ci incarne une femme partagée entre deux hommes. L'histoire de "Qui m'aime me suive!" ne résume pas à ce triangle amoureux entre amis puisqu'il est aussi question du temps qui passe et donc de nostalgie, mais aussi d'une relation compliquée entre un père et sa fille. Une histoire déjà vue pour un scénario mal construit qui ne parvient pas à éviter les longueurs. Le départ de Simone, Gilbert qui doit s'occuper du petit, ce n'est pas très excitant et assez vite redondant. Le casting est pas mal et le trio fonctionne assez bien même s'ils ne sont pas non plus très souvent ensemble, mais ils n'ont pas grand-chose sur quoi se reposer. C'est assez pauvre et fade à l'image d'un téléfilm que l'on regarde et que l'on oublie immédiatement. J'essaie de trouver des points positifs, mais il n'y en a pas, c'est juste un film très moyen et ennuyeux.
Qui aime le cinéma n'a aucun intérêt à suivre ce pauvre trio d'ex babas-cools installé dans l'adultère (Madame cocufie Monsieur avec le meilleur pote dudit, qui sait parfaitement à quoi s'en tenir), et maintenant tous trois "seniors". L'histoire tient sur un confetti, et elle est fort mal introduite, comme "développée", et bien sûr "conclue". Un bien mauvais téléfilm, qui flagorne en cochant quelques cases du politiquement correct, en prime (sexualité du 3e âge, métissage, mariage lesbien....). On est navré de constater qu'ont été attirés dans cette soupe de bons acteurs comme Auteuil, Le Coq et Catherine Frot !....
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