AlloCiné
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Votre avis sur Qui m'aime me suive! ?
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Un film doux et agréable à regarder, les acteurs sont attachants, le trio mais aussi le petit fils et les voisins. Le sujet de l'histoire parlera surtout aux sexagénaire, ils étaient nombreux dans la salle. Il manque tout de même un peu de bonnes répliques.
dominique P.
J'ai aimé cette comédie familiale et amicale.
C'est une comédie douce-amère, très bien vue, très juste et bien divertissante.
J'ai passé un très bon moment de détente agréable et C. Frot et D. Auteuil sont formidables comme toujours.
C'est une comédie douce-amère, très bien vue, très juste et bien divertissante.
J'ai passé un très bon moment de détente agréable et C. Frot et D. Auteuil sont formidables comme toujours.
J'ai mis 2 étoiles pour ce film dont le sujet est sympathique mais en revanche Daniel Auteuil qui a toujours été un très bon acteur français devrait se mettre à la retraite et donc le choix de cet acteur est une erreur pour ce film, dommage.
De nos jours, dans le sud de la France (Hérault), une femme, dont le mari est acariâtre et dont l'amant vient de partir du village pour aller vivre dans une maison pour séniors, décide de se sauver du domicile conjugal pour aller enfin vivre sa vie de bohème.
Le scénario est cousu de fil blanc et cela ne vole globalement pas très haut, mais on prend du plaisir à suivre le trio Frot-Auteuil-Le Coq dans ce petit jeu du "je t'aime moi non plus".
Deux amis de longue date se battant pour le coeur de la même femme, elle-même n'aspirant qu'à vivre totalement libre, voilà le résumé de cette petite comédie dramatique qui ne m'a pas totalement laissé insensible.
Un divertissement honnête.
Site www.cinemadourg.free.fr
Le scénario est cousu de fil blanc et cela ne vole globalement pas très haut, mais on prend du plaisir à suivre le trio Frot-Auteuil-Le Coq dans ce petit jeu du "je t'aime moi non plus".
Deux amis de longue date se battant pour le coeur de la même femme, elle-même n'aspirant qu'à vivre totalement libre, voilà le résumé de cette petite comédie dramatique qui ne m'a pas totalement laissé insensible.
Un divertissement honnête.
Site www.cinemadourg.free.fr
Un film sympa avec un trio d'excellents acteurs sans oublier le jeune gamin qui, s'il veut faire ce métier, est très doué. Comédie gentillette mais un peu "neuneu". En tout cas Simone (C. Frot) nous prouve qu'avec l'âge on ne devient pas forcément sage.
Cinéphiles 44
Entre comédie et nostalgie, Catherine Frot incarne une retraitée agitée entre l’aigreur de son mari et son voisin et amant. Prête à quitter le foyer, le mari joué par Daniel Auteuil, va alors prendre conscience qu’il est temps de reconquérir sa femme. “Qui m’aime me suive” est donc l’histoire d’un triangle amoureux version sénior qui même si elle n’en évite pas les clichés, ne tombe pas dans le pathos. Frot, Auteuil et Bernard Le Coq sont spontanés et attisent une certaine tendresse à l’ensemble, malgré les grosses faiblesses de l’écriture et la mise en scène d’un autre temps.
D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
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Superbe Comédie , plein d'humanité.
L'amour à 60 ans , avec la nostalgie des jeunes années.
Un trio improbable .
Le mari , D.Auteil en mari bourru cocu et ronchon.
C.Frot espiègle et rebelle , l'amant B.Lecoc , le meilleur ami.
L'amour à 60 ans , avec la nostalgie des jeunes années.
Un trio improbable .
Le mari , D.Auteil en mari bourru cocu et ronchon.
C.Frot espiègle et rebelle , l'amant B.Lecoc , le meilleur ami.
Ce triangle amoureux avec au centre des attentions Catherine Frot est dans l'ensemble assez ennuyeux. En effet, Daniel Auteuil et surtout Bernard Le Coq enchainent des situations cocasses mais la mayonnaise ne prend que très rarement, la faute à un scénario trop léger ponctué de répliques trop lisses. Le rire n'est donc que très rarement de circonstance et l'ensemble déborde de bonnes intentions qui au final donnent un résultat digne d'un téléfilm France 3 que l'on aura vite fait d'oublier.
FaRem
Huit ans après "Coup d'éclat", José Alcala retrouve Catherine Frot qui cette fois-ci incarne une femme partagée entre deux hommes. L'histoire de "Qui m'aime me suive!" ne résume pas à ce triangle amoureux entre amis puisqu'il est aussi question du temps qui passe et donc de nostalgie, mais aussi d'une relation compliquée entre un père et sa fille. Une histoire déjà vue pour un scénario mal construit qui ne parvient pas à éviter les longueurs. Le départ de Simone, Gilbert qui doit s'occuper du petit, ce n'est pas très excitant et assez vite redondant. Le casting est pas mal et le trio fonctionne assez bien même s'ils ne sont pas non plus très souvent ensemble, mais ils n'ont pas grand-chose sur quoi se reposer. C'est assez pauvre et fade à l'image d'un téléfilm que l'on regarde et que l'on oublie immédiatement. J'essaie de trouver des points positifs, mais il n'y en a pas, c'est juste un film très moyen et ennuyeux.
elriad
la finesse et la subtilité ne sont pas les qualités que l'on remarque dés les 10 premières minutes. La suite confirmera ce à quoi le spectateur subira tout au long du film : poncifs, personnages taillés au gros crayon au point que l'on n'y croit pas une seconde. Jusqu'aux chaussettes trouées de Auteuil. Vraiment indigeste !
Voilà encore un petit film sans grande prétention mais tout à fait charmant...toujours les mêmes recettes l'adultère le changement de vie..mais encore une fois ça fonctionne grâce à un trio d'acteurs en harmonie.
Divertissant. De bons acteurs. Une tranche de vie intéressante. Pourrait être assimilé néanmoins à un bon téléfilm.
Cela fait du bien de voir une comédie traitant de la vie familiale et des tourments de gens de la soixantaine.
Cela change des comédies parlant toujours des 20/40 ans.
C'est vraiment bien analysé.
C'est amusant mais également triste, sérieux.
Aussi, le thème de la famille brouillée est bien retranscrite.
Cela change des comédies parlant toujours des 20/40 ans.
C'est vraiment bien analysé.
C'est amusant mais également triste, sérieux.
Aussi, le thème de la famille brouillée est bien retranscrite.
La mayonnaise à du mal à monter c'est le moins qu'on puisse écrire...
Alors oui, les décors et le cadre sont chouettes, c'est inspirant, mais la monotonie vécue par les personnages en présence donne vite le ton. On se rend compte du caractère lent et trop paisible de leur quotidien désarmant.
S'ensuit une montée des tensions existantes, une sorte de paroxysme qui va crescendo et qui conduit à l'explosion...
Hélas, cela manque vraiment de profondeur...On reste en surface sans réellement toucher le fond espéré...Le spectateur reste dans cette contemplation quelque peu bancale, décousu, avec un fil linéaire une nouvelle fois qui ne peut convaincre.
Petit passage amusant où l'on ne sait plus qui est le mari, l'amant, voir même la tierce personne qui peut servir d'apaisement véritable à cette femme récemment éprise de liberté et d'une forme d'indépendance...
Mais encore une fois, sur le thème du couple, de son usure, du temps qui passe et ne répare pas toujours la routine ni la répétition, rien d'extraordinaire et de bien nouveau. A tel point que ce long métrage repose quasiment sur du téléfilm plus qu'autre chose...
Et ce n'est pas la force de frappe de Daniel Auteuil, ni la pétillante Catherine Frot qui réussissent réellement à percer l'écran et à rehausser ce qui doit l'être ! Dommage !
Alors oui, les décors et le cadre sont chouettes, c'est inspirant, mais la monotonie vécue par les personnages en présence donne vite le ton. On se rend compte du caractère lent et trop paisible de leur quotidien désarmant.
S'ensuit une montée des tensions existantes, une sorte de paroxysme qui va crescendo et qui conduit à l'explosion...
Hélas, cela manque vraiment de profondeur...On reste en surface sans réellement toucher le fond espéré...Le spectateur reste dans cette contemplation quelque peu bancale, décousu, avec un fil linéaire une nouvelle fois qui ne peut convaincre.
Petit passage amusant où l'on ne sait plus qui est le mari, l'amant, voir même la tierce personne qui peut servir d'apaisement véritable à cette femme récemment éprise de liberté et d'une forme d'indépendance...
Mais encore une fois, sur le thème du couple, de son usure, du temps qui passe et ne répare pas toujours la routine ni la répétition, rien d'extraordinaire et de bien nouveau. A tel point que ce long métrage repose quasiment sur du téléfilm plus qu'autre chose...
Et ce n'est pas la force de frappe de Daniel Auteuil, ni la pétillante Catherine Frot qui réussissent réellement à percer l'écran et à rehausser ce qui doit l'être ! Dommage !
A fuir, si vous ne voulez qu'un bon moment.
A voir, si vous voulez constater (une fois de plus) les thèmes qu'on veut nous imposer. Je n'en dirai pas plus.
Impossible d'aller au cinéma sans subir cette propagande pénible. Les plus grands acteurs s'y.plient.
Ici, on se moque ouvertement d'une génération.qui voulait autre chose, vivre autrement, ceux du Larzac, etc... On nous montre une pochetronne et des gens pas très intéressants au final. Aucune profondeur.
Tout tourne autour de la boisson, de la fumette et du sexe. C'est caricatural et convenu. Mais c'est ainsi qu'on aimerait que soient les Français, tolérants de tout et n'importe quoi, mais aussi décérébrés et déspiritualisés.
Les dialogues sont si plats que la meilleure réplique du film, c'est quand LECOQ dit : " Il avait.un nom a coucher dehors, ah oui ! Jésus " ça, Mr Alcala, c'est signé.
A voir, si vous voulez constater (une fois de plus) les thèmes qu'on veut nous imposer. Je n'en dirai pas plus.
Impossible d'aller au cinéma sans subir cette propagande pénible. Les plus grands acteurs s'y.plient.
Ici, on se moque ouvertement d'une génération.qui voulait autre chose, vivre autrement, ceux du Larzac, etc... On nous montre une pochetronne et des gens pas très intéressants au final. Aucune profondeur.
Tout tourne autour de la boisson, de la fumette et du sexe. C'est caricatural et convenu. Mais c'est ainsi qu'on aimerait que soient les Français, tolérants de tout et n'importe quoi, mais aussi décérébrés et déspiritualisés.
Les dialogues sont si plats que la meilleure réplique du film, c'est quand LECOQ dit : " Il avait.un nom a coucher dehors, ah oui ! Jésus " ça, Mr Alcala, c'est signé.
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