Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Ce film transgénérationnel et généreux montre que la maturité peut apporter bien des bonheurs à condition d’accepter d’évoluer.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Il y a du romanesque dans cette aventure tendre et farfelue, plus douce qu’amère, d’une femme qui ne renonce pas, part à la recherche de sa liberté perdue et d’elle-même, sans vraiment savoir où elle va, ni ce qu’elle veut.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Une comédie douce-amère.
Le Parisien
par La Rédaction
On aime la partition jouée par Catherine Frot, Daniel Auteuil et Bernard Le Coq, trio d’acteurs de haute volée. On peut dire que ces trois-là savent faire la pluie et le beau temps.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Marcos Uzal
Loin du tout-venant, on y voit des vieux qui se désirent, des pauvres au soleil, des soixante-huitards pas embourgeoisés, des problèmes d’argent et d’amour plutôt que des dilemmes moraux, et tout cela écrit de manière à ne jamais épaissir le trait d’un soupçon de condescendance, de moquerie de classe ou de puritanisme.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Pierre Lunn
Malgré un scénario parfois paresseux, c'est l'occasion de voir tris monstres sacrés s'en donner à coeur joie.
CNews
par La rédaction
Parfois caricatural, mais fantaisiste [...].
Closer
par La Rédaction
Un gentil triangle amoureux.
Les Fiches du Cinéma
par Nathalie Zimra
Cette jolie romance sentimentale autour d’un trio amoureux de jeunes sexagénaires vivant dans un village du sud de la France a des accents de comédie à l’italienne. On se laisse volontiers embarquer par ces trois déclassés pleins de charme et de ressource.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télé Loisirs
par Marc Arlin
Une comédie méridionale sympathique, rehaussée par la complicité évidente des acteurs principaux.
Télérama
par Frédéric Strauss
Catherine Frot a beau faire, elle, des mines plus coutumières, ce triangle amoureux bringuebalant finit par emporter la sympathie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Une comédie au scénario banal sauvée in extremis par la tendresse qu’elle dégage.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Malgré des situations trop souvent archétypales, Catherine Frot, Daniel Auteuil et Bernard Le Coq tentent, en acteurs de talent, de faire bonne figure.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Une fantaisie amoureuse qui aurait voulu ressembler à un Jules et Jim version seniors mais qui choisit malheureusement la voie du banal vaudeville.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Comédie amoureuse de sexagénaires, Qui m’aime me suive possède un charme et une fraîcheur qui tiennent pour beaucoup au jeu énergique et nuancé du trio d’acteurs, et à un scénario qui contourne, la plupart du temps, les facilités du genre.
Première
par Christophe Narbonne
La description de la France de la débrouille (et de ces retraités touchés de plein fouet par la crise) et des idéaux soixante-huitards réduits à des souvenirs douloureux laisse augurer du meilleur. Mais les trop grosses ficelles scénaristiques finissent par plomber les meilleures intentions.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
Tout cela respire le désir de vie. Seul souci : le rythme, pépère et laborieux.
L'Express
par Antoine Le Fur
Avec ses situations téléphonées et ses personnages écrits à gros traits, le scénario fait penser à un (mauvais) téléfilm. Quant au trio de comédiens principaux, il est tout simplement mauvais, faute d'une réelle direction d'acteurs.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
La mise en scène est exécutée au déambulateur et la lumière semble faite au smartphone. Le tout porté par des comédiens en roue libre qui caricaturent des personnages déjà bien chargés en clichés.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par La Rédaction
Les personnages sont des pantins, les comédiens n'y croient pas. Nous non plus.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
La mise en scène est insipide, les acteurs sont inégaux et l’ensemble sent la naphtaline. Anecdotique.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Le réalisateur, José Alcala, semble lui-même avoir renoncé à travailler sa comédie qui avance laborieusement. Vieillotte, surjouée, brouillonne, elle n’est pas assez hirsute pour être inattendue ni assez fêlée pour échapper au conformisme de l’hymne familial.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
20 Minutes
Ce film transgénérationnel et généreux montre que la maturité peut apporter bien des bonheurs à condition d’accepter d’évoluer.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Il y a du romanesque dans cette aventure tendre et farfelue, plus douce qu’amère, d’une femme qui ne renonce pas, part à la recherche de sa liberté perdue et d’elle-même, sans vraiment savoir où elle va, ni ce qu’elle veut.
Femme Actuelle
Une comédie douce-amère.
Le Parisien
On aime la partition jouée par Catherine Frot, Daniel Auteuil et Bernard Le Coq, trio d’acteurs de haute volée. On peut dire que ces trois-là savent faire la pluie et le beau temps.
Libération
Loin du tout-venant, on y voit des vieux qui se désirent, des pauvres au soleil, des soixante-huitards pas embourgeoisés, des problèmes d’argent et d’amour plutôt que des dilemmes moraux, et tout cela écrit de manière à ne jamais épaissir le trait d’un soupçon de condescendance, de moquerie de classe ou de puritanisme.
Ouest France
Malgré un scénario parfois paresseux, c'est l'occasion de voir tris monstres sacrés s'en donner à coeur joie.
CNews
Parfois caricatural, mais fantaisiste [...].
Closer
Un gentil triangle amoureux.
Les Fiches du Cinéma
Cette jolie romance sentimentale autour d’un trio amoureux de jeunes sexagénaires vivant dans un village du sud de la France a des accents de comédie à l’italienne. On se laisse volontiers embarquer par ces trois déclassés pleins de charme et de ressource.
Télé Loisirs
Une comédie méridionale sympathique, rehaussée par la complicité évidente des acteurs principaux.
Télérama
Catherine Frot a beau faire, elle, des mines plus coutumières, ce triangle amoureux bringuebalant finit par emporter la sympathie.
aVoir-aLire.com
Une comédie au scénario banal sauvée in extremis par la tendresse qu’elle dégage.
La Croix
Malgré des situations trop souvent archétypales, Catherine Frot, Daniel Auteuil et Bernard Le Coq tentent, en acteurs de talent, de faire bonne figure.
La Voix du Nord
Une fantaisie amoureuse qui aurait voulu ressembler à un Jules et Jim version seniors mais qui choisit malheureusement la voie du banal vaudeville.
Le Monde
Comédie amoureuse de sexagénaires, Qui m’aime me suive possède un charme et une fraîcheur qui tiennent pour beaucoup au jeu énergique et nuancé du trio d’acteurs, et à un scénario qui contourne, la plupart du temps, les facilités du genre.
Première
La description de la France de la débrouille (et de ces retraités touchés de plein fouet par la crise) et des idéaux soixante-huitards réduits à des souvenirs douloureux laisse augurer du meilleur. Mais les trop grosses ficelles scénaristiques finissent par plomber les meilleures intentions.
Télé 7 Jours
Tout cela respire le désir de vie. Seul souci : le rythme, pépère et laborieux.
L'Express
Avec ses situations téléphonées et ses personnages écrits à gros traits, le scénario fait penser à un (mauvais) téléfilm. Quant au trio de comédiens principaux, il est tout simplement mauvais, faute d'une réelle direction d'acteurs.
L'Obs
La mise en scène est exécutée au déambulateur et la lumière semble faite au smartphone. Le tout porté par des comédiens en roue libre qui caricaturent des personnages déjà bien chargés en clichés.
Le Figaro
Les personnages sont des pantins, les comédiens n'y croient pas. Nous non plus.
Le Journal du Dimanche
La mise en scène est insipide, les acteurs sont inégaux et l’ensemble sent la naphtaline. Anecdotique.
Sud Ouest
Le réalisateur, José Alcala, semble lui-même avoir renoncé à travailler sa comédie qui avance laborieusement. Vieillotte, surjouée, brouillonne, elle n’est pas assez hirsute pour être inattendue ni assez fêlée pour échapper au conformisme de l’hymne familial.