Derniers Avis : Tazzeka - Page 2

Il s'agit d'un superbe film avec de superbes paysages, une superbe histoire toute simple et émouvante, de superbes acteurs ! Allez le voir, il le mérite.

Une nouvelle conquête des sens.
Un sens à sa vie et ce goût de vivre transposé dans l'art culinaire. Un autre festin de Babeth avec des artistes quasi inconnus et méritant.
De doux délices des personnages habités par la fureur de vivre mais sur un fond de grand mère qui a su donné, les sens ciel.�

Tres beau film: paysage magnifiques, exellent jeu d'acteurs, un sujet contemporain . A voir! Je recommande pour passer un bon moment

Allez voir ce film ! C’est une invitation à la vie
Une ode au bonheur qui peut exister malgré les épreuves ! Et le casting est magnifique! Madi Belem fait une interprétation très pure Ouidad Elma performance superbe et très beau jeu! Bravo

Un film à voir. On voyage au rythme des saveurs. Une belle histoire . Un bon casting et des paysages....

Dès les premières minutes, nous voilà transportés dans les beaux paysages marocain et l on sait qu'on va y séjourner pendant la durée du film avec allégresse et "savouer de délicieux moments".
Une vision joyeuse, probablement trop optimiste par rapport à la réalité mais le cinéma est là pour cela également

Très bon film, un film très prenant parlant du Maroc et de Paris, il y a des très beau paysages avec de très bon acteurs

Originaire de Draguignan, dans le Var, Jean-Philippe Gaud a suivi les cours de la Fémis : Département Montage, promotion 1997. C’est donc en tant que monteur qu’il a réalisé, jusqu’à présent, le plus gros de sa carrière cinématographique tout en participant à l’écriture de scénarios et en réalisant quelques court-métrages de fiction ou documentaires. Amateur d’opéra par tradition familiale, il a également mis en scènes deux opéras, « Paillasse » et « Le Barbier de Séville ». "Tazzeka" est son premier long métrage, un film qu’il a muri pendant 7 ans et dont l’ensemble des qualités lui permettent de prendre place parmi les réalisateurs à suivre du cinéma français.
On le sait depuis longtemps : la cuisine faite avec amour et le cinéma font souvent bon ménage ! Rappelons nous, entre autres," Le Festin de Babette", "Beignets de tomates vertes", "Salé sucré", "The lunchbox", "Les délices de Tokyo", des films de rencontres plus ou moins fortuites qui, tous, dégageaient sans aucun pathos une grande émotion tout en titillant agréablement nos papilles. Le film de Jean-Philippe Gaud vient incontestablement prendre sa place dans cette famille. C’est parce qu’il désirait réaliser un film parlant de l’immigration avec un ancrage dans le réel tout en étant plus léger que ce qu’on a l’habitude de voir sur ce sujet, que Jean-Philippe Gaud a choisi de faire de son personnage principal un cuisinier en devenir, ce métier, par nature dans le liant, permettant a priori des rapports humains plus apaisés. Quant au choix du Maroc et, plus particulièrement, de Tazzeka pour démarrer l’histoire, le réalisateur l’explique par son désir de faire partir Elias d’un environnement qui ne soit pas particulièrement lourd tout en ayant une coupure franche entre les paysages des deux parties du film, campagnard pour commencer, urbain ensuite.
"Tazzeka" est un film qui donne la pêche, un film qui fait chaud au cœur. Il est possible, voire probable, que certains le jugent avec un certain mépris, le trouvant trop gentillet, trop « bisounours » : tant pis pour eux ! Très bien interprété, il est, en plus, magnifiquement mis en images et il recèle un certain nombre de scènes qui, d’un point de vue purement cinématographique, marquent les esprits, l’exemple le plus remarquable étant une magnifique scène de dégustation à l’aveugle sur fond d’un aria de Mozart. Pour son premier long métrage, Jean-Philippe Gaud a tapé juste.

J'ai pu voir le film en projection débat avec le réalisateur. Le parcours du film a été long et le résultat n'en est que plus beau. C'est un vrai voyage à travers ce film : tant dans les paysages filmés, dans la musique qui accompagne le visionnage, et aussi des scènes qui donnent envie de déguster des mets ! (le flyer du film a une recette de cuisine au dos)
Ce film s'appuie sur la complémentarité de cultures différentes, ça fait du bien cette note de coopération au regard de l'actualité.
Un régal pour les yeux et les oreilles...
Je le conseille !

Tazzeka est une belle histoire, une très belle histoire. Celle d un jeune marocain plein d enthousiasme. Celle des saveurs culinaires. Celle du bled avec des hommes et des femmes sincères. Celle de l amitié même dans la grisaille parisienne. Un film différent, frais. Des images magnifiques, des acteurs nouveaux plein de talent. Bref : un vrai moment de bonheur pour redécouvrir le cinéma.

Le titre du film aurait pu être Elias, ce jeune attachant qui est pratiquement tout le film à l’écran. Avec la retenue qui permet à son personnage de prendre son essor, Madi Belem lui donne une belle présence. C’est pourtant le bled où il grandit et qu’il quittera, Tazzeka, qui est au centre. Car Tazzeka, c’est la grand-mère d’Elias (Khadija Bouzekri), celle qui lui a appris à ressentir la cuisine plus qu’à la faire. C’est Youssef (Abbes Zahmani), son patron de l’épicerie-restaurant, qui saura le comprendre. Ce sont aussi de lumineux paysages qui ne sont pas décor mais font partie de la culture. Tazzeka, c’est un tout complexe, avec ses limites obscurantistes comme ses beautés, mais c’est le socle de ce qui fait d’Elias un être vivant. Tazzeka : une gourmandise à déguster sans hésitation. (lire la totalité de la critique d'Olivier Barlet sur les sites Afrimages ou Africultures)

Beau film. Le personnage d'Elias est universel, très touchant et magnifiquement interprété.
On passe un très bon moment, plein d'émotions. A voir

Un film plein d'humanité, de charme, de vie, dont on ressort heureux et plein d'espoir

Un film attachant, les personnages, les images restent en nous

Un film qui réussit à nous faire du bien et pourtant un sujet dramatique

Un film superbe qui mêle avec une grande subtilité la passion de l’art culinaire, l’humour, le difficile parcours des immigrés clandestins … Emotion assurée devant un Maroc rural sublimé par la caméra et le Paris des quartiers populaires où les destins se croisent, les cultures dialoguent et la solidarité l’emporte.

TAZZEKA

Un film esthétique comportant une thématique qui nécessite un véritable engagement humaniste. Jean Philippe Gaud, tel un grand chef étoilé, nous sert ce film comme un plat de RÉSISTANCE qui se passe d’entrée et de dessert.
Tous les ingrédients sont réunis, choisis avec minutie et mitonnés à merveille pour nous permettre de savourer avec délectation ce mets délicat.
Tous les sens sont en alerte. Les arômes contrastés qui s’en dégagent (personnages, décors ,dialogues...) viennent magnifier cette dégustation en titillant nos papilles cinéphiles. Et ne parlons pas des saveurs qui s’entremelent avec justesse, finesse et délicatesse pour developper des incontournables :le partage,la solidarité et surtout le vivre ensemble.
Le dressage de l’oeuvre, haut en couleurs, enfin donne l’eau à la bouche en éveillant réellement l’appetit. Quant à la bande son tel un divin nectar, elle apporte à l’ensemble cette touche personnelle inégalable, un bouquet sans pareil...
Et si vous n’etiez pas encore convaincu, sachez que nous nous sommes régalés et que la digestion se fit sans problème.
A voir sans hésiter.