Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Élevé par sa grand-mère qui lui transmet le goût et les secrets de la cuisine traditionnelle, Elias grandit au coeur d’un village marocain, Tazzeka. On aime.
Le Journal du Dimanche
par Stéphane Joby
À la fois ode à une cuisine qui crée du lien et chronique pour une fois non désespérée du déracinement, ce premier film séduit par son ton résolument optimiste, voire candide.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Nathalie Zimra
Une jolie chronique initiatique et culinaire.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Éric Derobert
Toute la partie marocaine de Tazzeka est une sorte de pagnolade, de ces films qui s’inscrivent dans un univers méditerranéen à la Marcel Pagnol, mais ne sont hélas pas réalisés par l’écrivain et cinéaste génial qu’il fut. [...] Par contre, s’agissant de filmer Paris, Jean-Philippe Gaud trouve tout de suite ses marques.
Télérama
par Isabelle Poitte
Cette histoire de gamin qui se forge un destin grâce à son talent n’est certes pas d’une originalité folle, mais le film trouve, malgré ses maladresses, une voie attachante, entre fable optimiste et réalisme social nourri par le déchirement de l’exil.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par François Bonini
Ce conte généreux, véritable ode à la cuisine, est attachant par son regard résolument optimiste.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
A priori, il est question de cuisine, mais on reste à la surface des choses dans ce conte béat où l’obsession (peu crédible) pour la gastronomie d’un jeune serveur de buvette marocain le mène sans encombres à Paris.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Si le scénario ne parvient pas à s'équilibrer entre la comédie initiatique gourmande et le drame de l'immigration, il a néanmoins le bon goût de dévier la route tracée de la success story en dénonçant le sort réservé aux étrangers dans notre pays. Un soupçon d'amertume qui rectifie (un peu) cette fiction trop bienveillante.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
Élevé par sa grand-mère qui lui transmet le goût et les secrets de la cuisine traditionnelle, Elias grandit au coeur d’un village marocain, Tazzeka. On aime.
Le Journal du Dimanche
À la fois ode à une cuisine qui crée du lien et chronique pour une fois non désespérée du déracinement, ce premier film séduit par son ton résolument optimiste, voire candide.
Les Fiches du Cinéma
Une jolie chronique initiatique et culinaire.
Positif
Toute la partie marocaine de Tazzeka est une sorte de pagnolade, de ces films qui s’inscrivent dans un univers méditerranéen à la Marcel Pagnol, mais ne sont hélas pas réalisés par l’écrivain et cinéaste génial qu’il fut. [...] Par contre, s’agissant de filmer Paris, Jean-Philippe Gaud trouve tout de suite ses marques.
Télérama
Cette histoire de gamin qui se forge un destin grâce à son talent n’est certes pas d’une originalité folle, mais le film trouve, malgré ses maladresses, une voie attachante, entre fable optimiste et réalisme social nourri par le déchirement de l’exil.
aVoir-aLire.com
Ce conte généreux, véritable ode à la cuisine, est attachant par son regard résolument optimiste.
L'Humanité
A priori, il est question de cuisine, mais on reste à la surface des choses dans ce conte béat où l’obsession (peu crédible) pour la gastronomie d’un jeune serveur de buvette marocain le mène sans encombres à Paris.
L'Obs
Si le scénario ne parvient pas à s'équilibrer entre la comédie initiatique gourmande et le drame de l'immigration, il a néanmoins le bon goût de dévier la route tracée de la success story en dénonçant le sort réservé aux étrangers dans notre pays. Un soupçon d'amertume qui rectifie (un peu) cette fiction trop bienveillante.