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    Possessor
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    65 critiques spectateurs

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    DavY Croquette
    DavY Croquette

    43 abonnés 1 079 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 avril 2023
    L'idée est très bonne, les acteurs sont bons, la mise en scène un peu brouillonne, il manque un truc pour en faire un super film, dommage.
    iceman7582
    iceman7582

    40 abonnés 1 157 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 juin 2021
    Un scénario très intéressant mais sous exploité au profit de la forme, de la mise en scène. Image choc, gros plan et couleur criarde se charge de nous plonger dans le malaise ambiant. Un peu trop sanglant a mon goût. On sent clairement les références du père. Âmes sensibles s'abstenir !
    benitoberlon
    benitoberlon

    45 abonnés 968 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 avril 2021
    Relativement violent, le film est assez prenant pendant la 1ère heure, puis perd un peu de sa lisibilité dans son dernier tiers, lorsque les 2 personnalités dans un seul et même corps se manifeste...Dérangeant et visuellement très réussi, ce qui est déjà un bon point. Pour le reste, cette série B, du fils de David Cronenberg a trop de défauts pour devenir culte
    Roub E.
    Roub E.

    753 abonnés 4 840 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 juin 2021
    Et bien les chiens ne font pas des chats. En effet en regardant Possessor j’ai eu l’impression que Brandon Cronenberg reprenait les obsessions que son père semble avoir délaissé. Pour illustrer un peu ce que le film évoque je dirais que c’est une sorte de croisement entre eXistenZ et Inception avec l’histoire de cette tueuse qui pour exécuter ses contrats prends possession du corps d’un proche de ses cibles. Va s’en suivre dès questions sur l’identité et une opposition entre deux personnalités dans un même corps. Le sujet et le traitement sont passionnants mais le film a quand même quelques gros manques. Est ce le fait d’une interprétation pas très relevé? Mais j’ai trouvé que le film manquait d’émotions et de nuances, à ce niveau j’ai trouvé le film trop clinique, trop froid. La photo elle n’ont plus n’est pas terrible et renforce ce côté froid. On peut aussi ne pas adhérer au côté arty que le film semble vouloir se donner. Bref j’ai trouvé ça remarquable sur le fond, un peu raté sur la forme.
    Le cinéphile
    Le cinéphile

    608 abonnés 2 712 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 avril 2021
    Le fils de David Cronenberg offre un thriller fantastique d'anticipation plutôt bien mené. Il signe un film radical sur l'usurpation d'identité, et sur le morcellement de l'individu. Tout en gardant une certaine finesse d'écriture.

    https://www.justfocus.fr/cinema/critique-possessor-quand-brandon-cronenberg-se-prend-pour-son-paternel.html
    Ufuk K
    Ufuk K

    472 abonnés 1 406 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 avril 2021
    " Possessor" réalisé par Cronenberg fils, récompensé par le Grand Prix au dernier festival de Gérardmer est une franche déception pour moi . En effet j'ai trouvé l'histoire trop confuse, trop complexe et difficile d'accès pour réellement avoir de l'enthousiasme devant ce film, même si l'ensemble est original, avec un montage très esthétique et un tandem Andrea Riseborough et Jennifer Jason Leigh qui fonctionne bien. Frustrant dans son ensemble.
    Audrey L
    Audrey L

    562 abonnés 2 426 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 23 août 2022
    S'il y a bien une fois où le dicton "Tel père, tel fils" sera totalement faux, c'est dans la famille Cronenberg. Le paternel a beau nous avoir quelques fois bluffé (on repense à ses magnifiques Les Promesses de l'ombre ou History of Violence) et quelques fois étonné (ses films "organiques", qui mélangent le corps à des technologies diverses), on regarde ce qu'a produit son fils comme un caillou dans notre chaussure. Possessor est absolument ennuyeux, tente de marcher sur les platebandes de Cronenberg Père avec son sujet qui mêle possession numérique (par implant cérébral, avec les machines d'Avatar) et corps possédés malgré eux pour tuer des proches, mais sans jamais parvenir à n'être qu'une resucée sans saveur (Existenz, pour ne citer que lui). Ce ne sont pas les plans hystériques mixant les couleurs et les images qui se décuplent qui vont nous impressionner, au contraire, on ne sait pas ce que l'on regarde, se demandant juste quand cela prendra fin. La fin, d'ailleurs, est plus que décevante, nous assénant comme seul twist que la mercenaire spoiler: est accomplie en tuant son fils et son ex-mari sans aucun remord...
    Pour les émotions, on repassera, pour la tension dramatique qu'aurait pu impliquer un tel acte, on repassera, pour le jeu d'acteur en général, on repassera. Loin d'avoir peur d'une aiguille et de sang jeté au sol (sans envie), on se questionne toujours sur le côté dérangeant de Possessor, si ce n'est qu'il ne dérange absolument pas pour ronfler.
    Cinememories
    Cinememories

    444 abonnés 1 434 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 janvier 2021
    Nous pouvions le sentir revenir plus grand et plus ambitieux, à la suite d’un « Antiviral » qui a manqué de nous convaincre totalement. Pourtant, Brandon Cronenberg se dresse de nouveau devant nous, avec un récit plus modeste, mais qui gagne en efficacité. Il aura bien laissé mûrir cette thématique de la perte de contrôle et il s’amuse encore à cultiver la violence corporelle. En reposant son intrigue sur le développement de personnage, il nous dévoile cette face cachée qui faisait cruellement défaut dans son précédent long-métrage et qu’il aura certainement mise au point dans son dernier court-métrage « Please Speak Continuously and Describe Your Experiences as They Come to You », dont le titre parle de lui-même. Toutefois, ne nous fions pas aux a priori les plus primaires, à commencer par une fastidieuse comparaison avec son paternel, qui a déjà renforcer son empreinte dans nos esprits.

    Et c’est avec cette ironique transition qu’il revient hanter ses nouveaux sujets avec une technologie loin d’être délirante, mais qui bâtit un lien solide avec les différentes formes de piratages que l’on peut rencontrer aujourd’hui. Bien entendu, Cronenberg amorce son analyse avec une radicalité à en scier nos rétines. C’est alors avec une fascination morbide qu’il nous entraine dans une hallucination d’une grande violence et d’une grande froideur. A l’image de ses premières minutes, il tente de démunir sa pièce maîtresse d’une compassion sans faille. La tueuse à gage Tasya Vos (Andrea Riseborough) dégage une aura des plus perverse, en piratant le libre-arbitre et donc l’intimité de ses victimes. Elles et toutes les cibles du système sont balayées d’une équation simpliste et très démonstrative. Mais ce constat nous révèle également ces moments de flottement et d’égarement, comme si nous n’étions plus maître de notre vie, comme si nous avions perdu le contrôle sur ce qui nous rendait vivant et humain.

    L’intrigue resserre alors son étau sur la profonde mélancolie de Vos, qui ne cherche pas à la cultiver, loin de là. Elle cherche à s’en débarrasser pour qu’elle puisse mieux renaître dans les cendres de ses victimes, dont elle devra posséder le corps et la personnalité. La question même de l’hôte confronte donc la légitimité de cette dernière à sa propre humanité. Ce que l’on comprend rapidement réside dans cette colère que l’on refoule et qui décuple l’instinct meurtrier, dévorant ainsi des citoyens frustrés et désarmés par leur propre progrès technologique. Que reste-t-il d’autre qui le rendrait libre aux yeux de ceux qui chassent pour des motivations plus obscures, mais surtout plus égoïstes ? Plus grand-chose de toute évidence. Sans harmonie, pas de survie. Le film signe avec une malice angoissante le déphasage d’une femme, incapable de régner de sa propre conscience et surtout dans un monde trop cruel et physiquement instable.

    En somme, dans un élan de violence loin d’être banalisée, servie par une violation de la vie privée omniprésente, « Possessor » fait le point sur la vitalité d’individus conditionnés à obéir. La prise d’otage cérébrale devient alors le siège de toute cette psychanalyse, qui repousse les limites d’un sujet plutôt simple et le complexifie au rythme des battements des cœurs qui s’éteignent. Il s’agit sans doute d’une continuité réfléchie, sachant que le réalisateur a préféré s’attarder sur le concept de corps étranger, qui aura certes un caractère moins viral, mais qui évoluera fatalement vers la même chute autodestructrice.
    ManoCornuta
    ManoCornuta

    225 abonnés 2 801 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 août 2022
    Avec un scénario aux mécanismes qui deviennent archi-courus dans ce type de production, Brandon Cronenberg tente de tracer sa voie et n'y parvient qu'imparfaitement. S'appuyant sur un travail esthétique et une photographie joliment pensés, le film nous sert une histoire quand même très rocambolesque, avec quelques compositions fortes mais aussi une violence graphique parfois excessive, comme une volonté de vernir outrageusement son sujet pour compenser une fin un peu trop prévisible.
    eldarkstone
    eldarkstone

    188 abonnés 1 965 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 février 2021
    Un Thriller froid et lent, qui ne surprend vraiment jamais, qui s'essouffle dans ses longs dialogues et scènes ...
    Jonathan M
    Jonathan M

    115 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 septembre 2021
    Cronenberg fils autant déconnecté que son aîné ? Avec Possessor, on peut légitimement se poser la question. L'idée de ce jeu avec la neurologie afin d'exécuter des missions de tueur à gage, c'est vraiment un bon choix d'angle. Une science-fiction light dans une première partie, qui plonge dans l'horrifique sur la deuxième moitié du film. C'est cette dernière qui m'abandonne définitivement. Je n'ai simplement pas compris ce virage extrémiste de la fin. Que cette méthode scientifique est des défaillances oui, mais pourquoi ce dérapage vers le parricide ? La mise en scène fatigue les yeux, manque de finesse et de clarté.
    Frédéric M.
    Frédéric M.

    154 abonnés 1 725 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 décembre 2020
    Au film au rythme trop lent, et aux personnages peu fouillés, peu captivants. Dommage il y avait quelques bonnes idées, et les meurtres sont gores. Mais ça ne sauve pas le film
    pfloyd1
    pfloyd1

    105 abonnés 2 028 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 mai 2021
    Possessor est un film, je dirai d'auteur, tant il est particulier et savamment brillant. Beaucoup d'attention et de soins ont été portés dans la réalisation, les plans, les jeux de lumières et le choix des acteurs. Particulièrement sombre voir glauque, le spectateur est happé par une succession de mise en situations crus, dénuées de toutes émotions qui rendent parfois mal à l'aise. Pas toujours évident à comprendre, il y a très peu d'explication au début de l'histoire mais on comprend qu'une espèce d'organisation (qui travaille pour qui ? Pourquoi est elle là ? ...) envoi neurologiquement son agent pour prendre place dans la peau d'un autre et y effectuer sa mission. Avec une mise en scène impeccable et une bande son plutôt dramatique, les scènes sont crus, parfois gore. Un film de qualité avec une histoire qu'on ne comprend pas toujours mais qui a le mérite d’être d'une grande qualité dans sa réalisation.
    Michael R
    Michael R

    90 abonnés 1 174 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 mai 2021
    Le pitch était prometteur, le résultat laisse dubitatif tant il est gâché. Les critiques dithyrambiques auraient dû me mettre sur la voie : c'est un film d'auteur long, ennuyeux, nébuleux, malsain, avec des accès de violences insoutenables. J'imagine un tel scénario entre les mains de Christopher Nolan, critiques et public auraient été unanimes.
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    78 abonnés 1 737 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 décembre 2021
    En digne héritier de son père, le fils de David Cronenberg a pondu avec Possessor un grand film malade, qui mélange à la fois les genres du thriller, de la science-fiction et de l’horreur. Imposant une atmosphère clinique et désincarnée, il met en scène la perte d’identité à travers le personnage de Tasya Vos, jeune femme dont le travail consiste à s’insérer dans le cerveau de personnes afin de leur faire commettre des assassinats, payés par des clients à la recherche du crime parfait. S’il n’est pas toujours évident de suivre le fil d’une intrigue complexe, on se laissera plonger dans cette atmosphère de violence froide avec un effroi dont il est difficile de se départir.
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