Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
L'Ecran Fantastique
par Sébastien Socias
Un sacré récit organique aussi sauvage que nihiliste.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Un étonnant et remarquable thriller expérimental parsemé de fulgurances gores.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par La Rédaction
Fraîchement auréolé du Grand Prix du festival du film fantastique de Gérardmer, Possessor saute la case cinéma pour arriver directement en VOD. Dans ce deuxième long-métrage signé Brandon Cronenberg, Tasya Vos (Andrea Riseborough) devient l'arroseur arrosé d'une inquiétante fable schizophrénique. A voir.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Jean-François Rauger
Possessor ravive un des motifs de la science-fiction moderne, proprement dickienne, un motif qui en fait une sorte de fiction théorique, défiant les règles de la représentation, et qui encourage, derrière une apparence de série B ou plutôt en se nourrissant de ses conventions, d’assez ludiques réflexions sur le statut même des images de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Michel Valentin
Avec cette histoire de tueuse professionnelle qui se sert d’une machine pour investir le corps de victimes innocentes, les forçant à commettre un assassinat avant de les obliger à se suicider, mais qui commence à perdre pied, Brandon Cronenberg, affirme certes sa filiation avec son célèbre père, mais il se fait aussi un prénom.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Marc Godin
Brandon, 40 ans, a repris la petite boutique des horreurs de papa et sort aujourd'hui en VoD l'excellent Possessor, film de SF gore et vertigineux, récompensé à Gérardmer.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Camille Nevers
Ce que l'on retient vraiment, ce sont des plans aux textures appuyées et une lumière, un lugubre froid, un attrait pour les très gros plans et un rendu savant de visions répulsives. Ici, c'est le projet formel et la dramaturgie qui priment sur le récit comme parc à thèmes.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Jean-Baptiste Herment
[...] ce qui commençait comme un thriller de SF parano à la John Frankenheimer devient in fine un film d'horreur baroque dont les idées les plus dingues [...] évoquent les grandes heures du cinéma de genre italien transgressif des années 1970/80.
Paris Match
par Yannick Vely
Si le scénario n'exploite pas totalement le potentiel narratif de son excitant point de départ - une tueuse prend le contrôle d'un suspect potentiel pour commettre un crime parfait -, la qualité de son interprétation et le soin apporté à la direction artistique sont remarquables.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Philippe Rouyer
[...] on songe aux grands films d’horreur des années 1970-1980 signés George Romero, Wes Craven ou John Carpenter qui savaient transposer leurs peurs (et les nôtres) dans une imagerie singulière et forte. Brandon Cronenberg est leur digne héritier.
Télérama
par Jérémie Couston
Un séduisant thriller, clinique et sanglant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Inrockuptibles
par Léo Moser
Pour son deuxième film, le cineaste et fils de David Cronenberg reste fidèle à son goût pour le body horror, mais en donne une version personnelle et arty, prouvant que bon sang ne saurait mentir. Comment une histoire de possession par des corps étrangers dévoile qui on est vraiment.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
L'Ecran Fantastique
Un sacré récit organique aussi sauvage que nihiliste.
La Voix du Nord
Un étonnant et remarquable thriller expérimental parsemé de fulgurances gores.
Le Figaro
Fraîchement auréolé du Grand Prix du festival du film fantastique de Gérardmer, Possessor saute la case cinéma pour arriver directement en VOD. Dans ce deuxième long-métrage signé Brandon Cronenberg, Tasya Vos (Andrea Riseborough) devient l'arroseur arrosé d'une inquiétante fable schizophrénique. A voir.
Le Monde
Possessor ravive un des motifs de la science-fiction moderne, proprement dickienne, un motif qui en fait une sorte de fiction théorique, défiant les règles de la représentation, et qui encourage, derrière une apparence de série B ou plutôt en se nourrissant de ses conventions, d’assez ludiques réflexions sur le statut même des images de cinéma.
Le Parisien
Avec cette histoire de tueuse professionnelle qui se sert d’une machine pour investir le corps de victimes innocentes, les forçant à commettre un assassinat avant de les obliger à se suicider, mais qui commence à perdre pied, Brandon Cronenberg, affirme certes sa filiation avec son célèbre père, mais il se fait aussi un prénom.
Le Point
Brandon, 40 ans, a repris la petite boutique des horreurs de papa et sort aujourd'hui en VoD l'excellent Possessor, film de SF gore et vertigineux, récompensé à Gérardmer.
Libération
Ce que l'on retient vraiment, ce sont des plans aux textures appuyées et une lumière, un lugubre froid, un attrait pour les très gros plans et un rendu savant de visions répulsives. Ici, c'est le projet formel et la dramaturgie qui priment sur le récit comme parc à thèmes.
Mad Movies
[...] ce qui commençait comme un thriller de SF parano à la John Frankenheimer devient in fine un film d'horreur baroque dont les idées les plus dingues [...] évoquent les grandes heures du cinéma de genre italien transgressif des années 1970/80.
Paris Match
Si le scénario n'exploite pas totalement le potentiel narratif de son excitant point de départ - une tueuse prend le contrôle d'un suspect potentiel pour commettre un crime parfait -, la qualité de son interprétation et le soin apporté à la direction artistique sont remarquables.
Positif
[...] on songe aux grands films d’horreur des années 1970-1980 signés George Romero, Wes Craven ou John Carpenter qui savaient transposer leurs peurs (et les nôtres) dans une imagerie singulière et forte. Brandon Cronenberg est leur digne héritier.
Télérama
Un séduisant thriller, clinique et sanglant.
Les Inrockuptibles
Pour son deuxième film, le cineaste et fils de David Cronenberg reste fidèle à son goût pour le body horror, mais en donne une version personnelle et arty, prouvant que bon sang ne saurait mentir. Comment une histoire de possession par des corps étrangers dévoile qui on est vraiment.