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Votre avis sur Greenland - Le dernier refuge ?
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Très peu de sortie en ce moment donc je l'attendais de pied ferme ce Greenland, fan de films catastrophe incorrigible que je suis.
Je vais aller droit au but, c'est pas terrible..
Pour le film catastrophe on repassera, on est plus dans le drame familial. Si encore c'était bien écrit ou bien joué (le Butler faut qu'il reste sur les films d'actions qui collent à ses expressions de mal dominant primaire)
Alors je lisais sur un autre point suffisamment rare pour être souligné
Alerte spoiler
Le diabète de type 1 du petit bonhomme, j'avais vu ça dans un extrait et étant concerné (ma fille) je voulais le voir parce que ce fait partie des questions que se posent tous les parents d'enfants diabétiques type 1 (ou de maladies nécessitant des traitement coûteux), comme on ferait en cas de guerre / catastrophe etc..
Et bien je crois que je me la ferai comme dans un film Us, 9 mois dans un bunker avec 4 cartouches d'insuline et une pompe. Aucun consommable (cathéter tubulures lancettes lecteur glycémie etc..
L'intention était louable mais tous les diabétiques du monde auront tilté, c'est du délire complet.
Voilà, cette partie n'irritera que les initiés au diabète, mais ça reste un de premiers films qui en parle et c'est déjà ça.
Je vais aller droit au but, c'est pas terrible..
Pour le film catastrophe on repassera, on est plus dans le drame familial. Si encore c'était bien écrit ou bien joué (le Butler faut qu'il reste sur les films d'actions qui collent à ses expressions de mal dominant primaire)
Alors je lisais sur un autre point suffisamment rare pour être souligné
Alerte spoiler
Le diabète de type 1 du petit bonhomme, j'avais vu ça dans un extrait et étant concerné (ma fille) je voulais le voir parce que ce fait partie des questions que se posent tous les parents d'enfants diabétiques type 1 (ou de maladies nécessitant des traitement coûteux), comme on ferait en cas de guerre / catastrophe etc..
Et bien je crois que je me la ferai comme dans un film Us, 9 mois dans un bunker avec 4 cartouches d'insuline et une pompe. Aucun consommable (cathéter tubulures lancettes lecteur glycémie etc..
L'intention était louable mais tous les diabétiques du monde auront tilté, c'est du délire complet.
Voilà, cette partie n'irritera que les initiés au diabète, mais ça reste un de premiers films qui en parle et c'est déjà ça.
Comme l'annonce l'affiche du film, on est plus sur un drame familial à suspens qu'un film de cataclysme Thriller / Action. Le casting est bon, Morena Baccarin est sublime dans ce rôle de mère de famille, il n'y a que l'enfant qui est vraiment en dessous (il joue vraiment mal, on ne va pas se mentir). Le scénario est plutôt crédible mais pas très produit ni réalisé, certaines scènes sont vraiment hyper clichées voir stupides (
spoiler:
les civils qui se révoltent mais en respectant le barrage de police alors qu'ils vont tout simplement mourir si ils ne peuvent pas embarquer
). Des infos radios et télévisées surréalistes qui ne font que diffuser des messages de chaos. Beaucoup d'erreurs de physique astronomique (qu'on ne devrait pas trouver dans des films de SF), un scénario linéaire et lassant à la longue. spoiler: Une fin ridicule avec des oiseaux qui chantent alors que la Terre vient d'être touchée par un impact soi-disant 4x plus gros que celui qui a mis fin aux dinosaures.
Franchement très très moyen
). Des infos radios et télévisées surréalistes qui ne font que diffuser des messages de chaos. Beaucoup d'erreurs de physique astronomique (qu'on ne devrait pas trouver dans des films de SF), un scénario linéaire et lassant à la longue. spoiler: Une fin ridicule avec des oiseaux qui chantent alors que la Terre vient d'être touchée par un impact soi-disant 4x plus gros que celui qui a mis fin aux dinosaures.
Franchement très très moyen
Aïe aïe aïe.
Nous avions l'espoir de passer un bon moment avec un film plutôt recommandé. Critiques plutôt positives, au pire neutres.
Eh bien c'est raté (comme le film d'ailleurs).
Si on aime la guimauve, il faut y aller. Mais on est pas obligé d'attendre la fin. Même le mièvre a ses limites. On a même l'impression que Gégé joue comme une pince. Ne parlons surtout pas des autres.
Je ne sais pas si l'indigence des dialogues est due au doublage mais c'est pitoyable. Enfin vo ou pas, c'est pas ca qui va révolutionner le scénario.
Le seul truc un peu marrant c'est la perpétuelle recherche du politiquement correct dans les situations de conflits entre les gens. On va pas spoiler, mais ça vaut le coup. spoiler: Normalement, on devrait ressortir avec un profil type qui pourrait bien devenir récurrent.
Au final, ce film est à étudier mais pas à voir.
Nous avions l'espoir de passer un bon moment avec un film plutôt recommandé. Critiques plutôt positives, au pire neutres.
Eh bien c'est raté (comme le film d'ailleurs).
Si on aime la guimauve, il faut y aller. Mais on est pas obligé d'attendre la fin. Même le mièvre a ses limites. On a même l'impression que Gégé joue comme une pince. Ne parlons surtout pas des autres.
Je ne sais pas si l'indigence des dialogues est due au doublage mais c'est pitoyable. Enfin vo ou pas, c'est pas ca qui va révolutionner le scénario.
Le seul truc un peu marrant c'est la perpétuelle recherche du politiquement correct dans les situations de conflits entre les gens. On va pas spoiler, mais ça vaut le coup. spoiler: Normalement, on devrait ressortir avec un profil type qui pourrait bien devenir récurrent.
Au final, ce film est à étudier mais pas à voir.
NammJones
La version tchip du film 2012, un remake bas de gamme.
Dommage car le casting est bon mais les personnages sont plats, l'histoire est sans intérêt. Quelques beaux plans et beaux paysages mais pour le temps qu'on les aperçoit ça ne valait pas le déplacement.
Dommage car le casting est bon mais les personnages sont plats, l'histoire est sans intérêt. Quelques beaux plans et beaux paysages mais pour le temps qu'on les aperçoit ça ne valait pas le déplacement.
Le film est bien construit mais l'effet apocalyptique se dégrade au fur et à mesure pour laisser place à de l'action pure qui me plaît moins. Une ambiance particulière comme au début du film aurait dûe se prolonger jusqu'à la fin mais finalement elle finit par se dégrader un peu. Cela reste néanmoins un bon film à voir
Bon film, j'ai passé un très bon moment. Certes le scénario a été déjà vu mille fois et il y a certaines invraisemblances mais j'ai pris du plaisir à regarder le film, bons effets spéciaux et l'on s'attache au personnage de cette histoire.
Un bon film bien scénarisé qui méritait dernièrement amplement le déplacement au cinéma pour aller le voir malgré ces temps difficiles de coronavirus et qui doit se voir aujourd'hui sur un disque digne de ce nom. Vivement 2021 pour pouvoir bénéficier de nouveau, je l'espère très fortement, des salles obscures.
Excellent suspense a VOIR qui vous tient en haleine du début jusqu'a la fin !! Vraiment Gérard Butler a sortie son meilleur talent d'acteur car son rôle dans ce film était pas facile ! Une catastrophe sur la terre qui peut nous arriver 1 an 5-10-100 ans ou + personne ne sait mais ca pourrait se passer de cette facon,A VOIR Absolument !
Encore une bande annonce qui nous vend un film catastrophe alors qu'il s'agit plus d'une étude sociologique avec en toile de fond la fin du monde.
Une histoire de pochette oubliée, une famille dispersée en pleine débâcle, puis qui se retrouve, le grand-père qui veut pas venir, le couple qui a des problèmes, la course contre la montre avant le boum final.
Rien de bien nouveau, et a des années lumières de l'excellent Deep Impact qui pareil, s'attardait plus sur l'étude des hommes face à l'inévitable catastrophe qu'aux FX à la 2012.
C'est du réchauffé, parfois longuet, sans réel intérêt.
Une histoire de pochette oubliée, une famille dispersée en pleine débâcle, puis qui se retrouve, le grand-père qui veut pas venir, le couple qui a des problèmes, la course contre la montre avant le boum final.
Rien de bien nouveau, et a des années lumières de l'excellent Deep Impact qui pareil, s'attardait plus sur l'étude des hommes face à l'inévitable catastrophe qu'aux FX à la 2012.
C'est du réchauffé, parfois longuet, sans réel intérêt.
J'ai passer un tres bon moment plein de frisson surtout ou debut pourrais être plus developer , quelque passage incohérent superflu voir carrément irréaliste mais excellent film dans l'ensemble
Jorik V
Quasiment chaque année, le monde du cinéma a le droit à un ou deux films catastrophe venant de différentes cinématographies mais c’est souvent le cinéma américain qui va livrer les plus impressionnants. En l’occurrence, on pense souvent à des films hollywoodiens lorsqu’on évoque ce genre spectaculaire (de « La Tour infernale » à « Volcano »), un genre parfois mêlé à d’autres, comme par exemple le drame et la romance pour l’illustre « Titanic ». Ici, pas de bateau qui coule ou même d’invasion extraterrestre mais le parangon du genre avec l’arrivée d’une comète qui va frapper la Terre. Pour beaucoup, on a déjà vu cela il y a plus de vingt ans avec deux films sortis en même temps, « Armageddon » et « Deep Impact ». Depuis plus rien et dans cette tradition de la possible extinction de l’Humanité par un astéroïde, « Greenland, le dernier refuge » ne fait pas mieux, bien au contraire. Il n’innove pas d’un iota et nous apparaît parfois quelque peu désuet, comme sorti d’une autre époque. Mais le long-métrage remplit assez bien son cahier des charges vu le manque de budget comparé à ses modèles et parvient à divertir agréablement comme un sympathique petit blockbuster du samedi soir.
A la manière de « Deep Impact », le film va se concentrer davantage sur l’humain et l’intimiste que sur les versants de l’action et du spectaculaire. Que ceux qui s’attendent à un déluge d’effets spéciaux à la « San Andreas » ou surtout « 2012 », devenu maître-étalon du genre et référence dans les scènes de destruction massive, rebroussent chemin : ils n’y trouveront pas leur compte. Les effets visuels sont peu nombreux mais cependant soignés et plutôt réussis, prouvant que le peu n’est pas forcément l’ennemi du bien mais peut devenir synonyme d’humilité bienvenue. « Greenland, le dernier refuge » prend bien le temps de présenter ses personnages et les situations dans son introduction. A ce titre, le premier tiers est le plus réussi et fait bien monter la tension. En revanche, il est clair que tout cela est américain au possible dans le traitement des personnages principaux : une famille désunie que la situation va rendre de nouveau unie ou l’avalanche de valeurs héroïques qui leur est accolée ici. Ceci dit, on apprécie beaucoup l’absence de manichéisme dans les personnages secondaires qu’ils vont rencontrer. On a le droit à un catalogue de ce que l’humanité peut être et/ou devenir en cas de crise ou de danger de mort (des pourris aux bienveillants en passant par des comportements plus nuancés). De la même manière, le contexte présenté est plutôt crédible et potentiellement réalisable, il ne verse jamais dans la surenchère ou le n’importe quoi.
Cependant, « Greenland, le dernier refuge » pêche par ses nombreuses invraisemblances dans certaines situations humaines ou logistiques ainsi que quelques facilités de scénario qui passent mal (comme le malentendu lors de l’embarquement dans les avions). Mais on est dans cette tradition du film catastrophe américain pur et dur où ce genre d’incongruités de script ne gênent pas les amateurs du genre. Enfin, sur les deux heures que durent le film, il faut avouer que la partie du milieu (celle où la famille est séparée) est aussi bien la plus faible que la moins prenante. Un quart d’heure de moins n’aurait pas fait de mal et aurait éviter justement ces moments peu crédibles ou trop gros. La dernière partie rattrape le morceau avec de belles images du ciel en feu et un compte à rebours sobre et moins attendu que prévu. Les acteurs ne se donnent pas non plus à 100% mais ce film catastrophe, le cul entre blockbuster estival et série B de luxe, fait le travail si on n’est pas trop regardant. Mais il n’apportera strictement rien de nouveau au genre.
Plus de critiques cinéma sur ma page Facebook Ciné Ma Passion.
A la manière de « Deep Impact », le film va se concentrer davantage sur l’humain et l’intimiste que sur les versants de l’action et du spectaculaire. Que ceux qui s’attendent à un déluge d’effets spéciaux à la « San Andreas » ou surtout « 2012 », devenu maître-étalon du genre et référence dans les scènes de destruction massive, rebroussent chemin : ils n’y trouveront pas leur compte. Les effets visuels sont peu nombreux mais cependant soignés et plutôt réussis, prouvant que le peu n’est pas forcément l’ennemi du bien mais peut devenir synonyme d’humilité bienvenue. « Greenland, le dernier refuge » prend bien le temps de présenter ses personnages et les situations dans son introduction. A ce titre, le premier tiers est le plus réussi et fait bien monter la tension. En revanche, il est clair que tout cela est américain au possible dans le traitement des personnages principaux : une famille désunie que la situation va rendre de nouveau unie ou l’avalanche de valeurs héroïques qui leur est accolée ici. Ceci dit, on apprécie beaucoup l’absence de manichéisme dans les personnages secondaires qu’ils vont rencontrer. On a le droit à un catalogue de ce que l’humanité peut être et/ou devenir en cas de crise ou de danger de mort (des pourris aux bienveillants en passant par des comportements plus nuancés). De la même manière, le contexte présenté est plutôt crédible et potentiellement réalisable, il ne verse jamais dans la surenchère ou le n’importe quoi.
Cependant, « Greenland, le dernier refuge » pêche par ses nombreuses invraisemblances dans certaines situations humaines ou logistiques ainsi que quelques facilités de scénario qui passent mal (comme le malentendu lors de l’embarquement dans les avions). Mais on est dans cette tradition du film catastrophe américain pur et dur où ce genre d’incongruités de script ne gênent pas les amateurs du genre. Enfin, sur les deux heures que durent le film, il faut avouer que la partie du milieu (celle où la famille est séparée) est aussi bien la plus faible que la moins prenante. Un quart d’heure de moins n’aurait pas fait de mal et aurait éviter justement ces moments peu crédibles ou trop gros. La dernière partie rattrape le morceau avec de belles images du ciel en feu et un compte à rebours sobre et moins attendu que prévu. Les acteurs ne se donnent pas non plus à 100% mais ce film catastrophe, le cul entre blockbuster estival et série B de luxe, fait le travail si on n’est pas trop regardant. Mais il n’apportera strictement rien de nouveau au genre.
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Film catastrophe très moyen mais qui se laisse regarder. Par contre ça donne l'impression d'être devant Deep Impact vu d'une famille vivant à Wisterialane dont le père est John McLane ( le timing chanceux du personnage principal est à couper le souffle). Pour les fans de Gerard Butler ils seront ravis car il est totalement dans son registre. Des incohérences de scénario et incompréhension des personnages mais vu le scenario on va pas non plus faire la fine bouche. Les effets spéciaux sont corrects et l'action est présente malgré quelques longueurs de milieu de film mais on rentre assez rapidement dans le vif du sujet.
La moyenne pour moi
La moyenne pour moi
Privilégiant le coté confidentiel ou détriment du spectaculaire, Greenland tire son épingle du jeu et fait le job sans surplus.
Comme si "Deep Impact" rencontrait "2012"...voilà, je vous ai résumé le film. Ah si, rajoutez Gérard Butler, un enfant diabétique (on sait dès le début que ça va poser problème), beaucoup d'effets spéciaux, d'acte de bravoure, de rédemption, et une absence par moment de crédibilité (comment les scientifiques ne peuvent pas prévoir la chute de la 1ère comète sur Tampa?, mais ils sont dans les 48h suivantes capable d'estimer, à la minute près, la fin de la Terre)…en résumé, beaucoup de ressorts déjà vus. Si on fait abstraction de tout ça, c'est bien plus que distrayant, et en lançant ce film, on sait à quoi s'attendre. Pas de surprise!
Guillaume
La fin du Monde est proche : un gros caillou malveillant s'apprête à effacer toute forme de vie. Enfin quasiment toute forme de vie, car des gens ordinaires bravent tous les possibles pour se sauver de cette fatale échéance. Du déjà-vu ?
Ce scénario ne casse pas trois pattes à un canard, aussi boiteux soit-il. Reste une réalisation propre et efficace permettant à nos yeux de quidam de percevoir ce futur fantasmé. Sans franchement trop réfléchir.
Ce scénario ne casse pas trois pattes à un canard, aussi boiteux soit-il. Reste une réalisation propre et efficace permettant à nos yeux de quidam de percevoir ce futur fantasmé. Sans franchement trop réfléchir.
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