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mistermyster
59 abonnés
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3,5
Publiée le 16 juillet 2021
Côté catastrophe on est servi, pas de temps mort pour nous remettre une couche dès que possible, mais c'est le principe. Les moyens ont été mis pour nous offrir un spectacle de haute qualité, avec des effets plausibles, et un soucis de véracité. Le scénario reste simple, peu surprenant, mais le rythme et les acteurs suffisent pour nous offrir une histoire prenante, cela fait même plaisir de revoir Scott Glenn. Est-ce que l'on retiendra pour autant ce Greenland, c'est pas certain, comme 2012, Armagedon, et autres films catastrophes, ils sont tous construit sur les mêmes fondations, et sitôt visionné, sitôt oublié.
Ni bon ni mauvais, ce film de Ric Roman Waugh, est à l’image des produits de consommation que réalise l’Américain. Un scénario plutôt bien ficelé, mais fait de tellement d’emprunts reconnaissables, qu’on l’oubliera cinq minutes après être sorti de salle. Les emprunts les plus notables sont surtout 2012.
Un film catastrophe intéressant mais pas original pour autant. Le scénario reste simple et ne prend pas trop de risque, des détails supplémentaires auraient pu donner plus d'impact. Les acteurs sont bons, bien que leur développement de personnage reste léger.
Un film divertissant mais qui, je pense, sera vite oubliable.
Dommage gerard butler est un bon acteur avec beaucoup de charisme ,trop abonné aux films conventionnelles , qu on lui redonne des roles plus complexes , il nous referas aimer le cinema
Ce énième film n'est pas tout à fait comme les autres. En effet , ici on s attache plus au réaction des personnages on se met à leur place , savoir comment nous , nous réagirions. On voit encore une part d humanité dans ce monde en déclin proche de la destruction de la planète. Gérard Buttler est assez crédible dans son rôle. J ai passé un bon moment.
Nul, pas de scenario, peu d'action, je m'attendais a beaucoup surtout avec cette acteur. Scène ou il doit se passer de l'action couper volontairement par du noir. Très déçu
Aujourd'hui, si vous voulez un film d'action, ce sera au choix Dwayne Johnson ou Gerard Butler, les nouveaux Schwarzy et Bruce Willis.
Ici donc, Butler, en père de famille en crise avec sa femme et un fiston adoré au milieu. Pas d'inquiétude, on n'est pas chez Cassavetes, la comète va vite remettre l'église au milieu du village, et nos protagonistes oublient bien vite leurs problèmes de couple.
De fait, il n'y a pas de réel enjeu dans ce croisement entre Deep Impact et 2012, sinon rapprocher le mari de la femme, tout simplement en les séparant physiquement. La métaphore est grossière, mais après tout on s'en fout, c'est pas du Bergman.
Sauf qu'on s'emmerde profondément, parce qu'on a déjà vu ça ailleurs et en mieux (ou en déjà pas terrible - les deux catastrophes précédemment citées ; indice : ni Bergman ni Cassavetes), ou en tous cas en plus spectaculaire. Le final confirme une volonté de ne pas y céder, comme si le film avait les moyens de proposer plus intéressant ; mais plus encore, l'alignement d'images d'Epinal de destruction (Paris, Londres,...) démontre s'il le fallait un manque d'originalité et d'ambition.
Reste le cast, suffisamment impliqué, pour maintenir à flot l'éveil du spectateur.
Il ne faut pas attendre de l’ancien cascadeur qu’est Ric Roman Waugh des prouesses d’originalité en matière d’approche du cinéma d’action mais plutôt de la production alimentaire, éventuellement bien troussé.. Comme ‘Greenland’ est un film-catastrophe, il faut encore moins en espérer quelque chose de différent...et comme c’est Gerard 'Faut-bien-que-je-paye-mes-factures” Butler qui tient la rampe, il ne faut carrément plus rien en attendre du tout. Pourtant, étant donné qu’on parle ici d’une pluie de météorites, il faut laisser à ce DTDVD le fait qu’il ne sacrifie pas à l’approche ronflante d’un ‘Armaggedon’, et s’apparente plutôt à ‘Deep impact’ que j’ai toujours trouvé largement plus satisfaisant. Mieux encore, j’ai été agréablement surpris par la façon dont le film décrit les prémices de la catastrophe, les mesures d’urgence, les privilèges accordés au plus petit commun dénominateur utilitariste, les réactions humaines face au chaos et à l’abolition des notions de traitement démocratique. Pendant ces trois premiers quarts d'heures, ‘Greenland’ boxe largement au-dessus de sa catégorie. Par après, malheureusement, il retombe dans les réflexes immuables du héros prêt à tout pour protéger sa famille, de la course contre la montre et des pièces de puzzle qui s’assemblent trop bien pour qu’on réfrène une sourire goguenard , ce qui ne l’empêche pas de rester aussi distrayant - ou aussi peu - que n’importe quel blockbuster apocalyptique avec de vrais morceaux de Dwayne Johnson dedans, les effets spéciaux à 200 millions de dollars en moins : ‘Greenland’ est le plus petit commun dénominateur du Film-catastrophe et, comme je l’ai dit, il n’y avait pas de raisons d’en espérer davantage.
Amateur à toutes les personnes qui n'ont vraiment rien à faire et qui aiment les films catastrophes qui finissent toujours bien : ce film est pour vous. A voir uniquement si vous n'avez rien à faire. L'acteur principal est médiocre, l'actrice également.
Sans rien en attendre, j'ai été agréablement surpris par le film. Bien souvent en regardant les films "catastrophe", je trouvais les personnages parfois complétement c... à réagir en dépit du bon sens, à chercher le danger pour justifier des scènes spectaculaires. Ici rien de tout cela. A chaque fois les personnages se posent les bonnes questions et ont les bonnes réactions. De ce fait, cela peut paraitre "prévisible" mais a le mérite d'être crédible. Et comme tout est raconté du point de vue de Butler et de sa femme (au jeu très juste tous les deux), nous vivons la catastrophe en s'identifiant à eux. Une comète ne justifiant pas milles effets spéciaux, le spectaculaire est limité à quelques chutes de météores suffisant pour faire monter la pression. Malgré le postulat d'une comète qui sors nulle part, le traitement est bon et on y croit.
Un film catastrophe. Avec Gerard Butler. Et le mec responsable de "La Chute du Président" à la réalisation. Tout partait mal avec ce film, et pourtant... On a bien là un film catastrophe qui développe ses personnages. Je ne déconne pas, vous risquez de ne pas y croire mais c'est possible. Bien que certains clichés du cinéma catastrophe sont repris (America-first, famille qui essaye de rester unie malgré tout et plein de trucs à la con dans ce genre), bien qu'au final je n'en avais pas grand chose à faire de ce qui se passait à l'écran, ce film pourrait bien être le début d'une nouvelle ère dans ce genre de cinéma. Quelque chose d'un peu plus réfléchit. Avec des semblants de personnages. Et je préfère nettement ça qu'à n'importe quelle production dopée au numérique. Donc pourquoi pas après tout...
Digne d'un Verhoeven à la nouvelle sauce... Une critique de notre société actuelle où les héros n'en sont pas vraiment : ils bénéficient d'un traitement de faveur car le padre est un haut diplômé capable de reconstruire le monde d'après, c'est comme ça et c'est pas de sa faute, mais quand on apprend que le gamin ne rentre plus dans les conditions, fini les considérations "la loi c'est la loi", et on revient dans le sauve qui peut, avec courtoisie! Quand on les voit filer dans leur RAM 1500 et passer les embûches avec une certaine facilité (il faut être sensible à ce genre de spot publicitaire pour le remarquer) on se dit que les autres n'avaient qu'à en avoir un! Et quand a la fin on voit la femme esquisser un petit sourire, qu'elle ravale par respect pour ceux qui n'ont pas eu la chance d'assister à ce magnifique spectacle de désolation, on se dit qu'elle se dit "quelle chance j'ai d'avoir épousé un mâle si puissant!" Je le dit, regardez ça comme un Verhoeven, si vous le pouvez! Sinon, profitez du blockbuster...