AlloCiné
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Votre avis sur Greenland - Le dernier refuge ?
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Film moyen. Coté histoire et acteurs c'est très bien.
Coté film catastrophe, on repassera... Une scène de destruction de 10 secondes par ci par là. 5-6 photos pour montrer la planètes dévastée et c'est tout!!!
Dégoûté d'avoir payé une scéance pour voir une histoire d'un couple qui essaye de s'en sortir ( très bien tourné) alors que je venais en prendre pleins les yeux.
Coté film catastrophe, on repassera... Une scène de destruction de 10 secondes par ci par là. 5-6 photos pour montrer la planètes dévastée et c'est tout!!!
Dégoûté d'avoir payé une scéance pour voir une histoire d'un couple qui essaye de s'en sortir ( très bien tourné) alors que je venais en prendre pleins les yeux.
Tout d'abord je dois dire que c'est un film qui m'a un peu surpris je m'attendais à un panel d'effets spéciaux, alors que la on est plus dans la situation d'un homme et de sa famille autour d'un monde qui va s'éteindre. Je dois dire que le film met en évidence deux cas de figure présenté. D'une part l'homme peut-être terriblement méchant et d'autre part on se rend compte que l'humain est aussi capable d'aider son prochain dans une situation extrême.
Quelque chose dans le film m'a plus, c'est qu'on montre pas plus la mère que le père, c'est vraiment équitable. Et ça c'est bien ! Je crois énormément que cette possibilité que le monde s'effondra un jour arrivera, donc c'est pour cela que je trouve le scénario raconté très réaliste avec de beaux effets spéciaux une belle histoire humaine.
Quelque chose dans le film m'a plus, c'est qu'on montre pas plus la mère que le père, c'est vraiment équitable. Et ça c'est bien ! Je crois énormément que cette possibilité que le monde s'effondra un jour arrivera, donc c'est pour cela que je trouve le scénario raconté très réaliste avec de beaux effets spéciaux une belle histoire humaine.
Un air de déjà vu mais pour une fois on se retrouve plongé dans une atmosphère de plus en plus presente. Effectivement il ne faut pas compter sur des effets visuels à gogo type deep impact, 2012, le jour d'après... mais on ne voit pas le temps passer. Ce n'est pas le film du siecle mais ca se regarde.
En ces périodes difficiles, ce film nous permet de relativiser, en faisant passer notre cher ami et désormais bien connu de tous le covid 19 pour du pipi de chat. C'est un bon film apocalyptique mais qui n'apporte aucune innovation au genre. Cependant, cela reste un bon moment à passer. De plus, lorsque l'on se dit que c'est l'un des seul blockbuster encore programmé pour cet été, cela nous donne une raison supplémentaire de le savourer. Le scénario bien que peu ambitieux est efficace, la tension est maintenu tout au long du film. Je m'attendais à ce que le rôle de Gérard Butler soit encore celui du gros costaud américain dur à cuire, mais finalement j'ai été agréablement surpris de voir la modestie qu'ils ont réussi à maintenir autour de ce personnage. C'est un bon film que je recommande, si comme moi vous n'avez plus grand chose à vous mettre sous la dent, en attendant la sortie de Tenet.
Film agréable blockbuster se laisse regarder avec plaisir malgré quelques incohérences dans le scénario.
Une bonne surprise.
Certainement un des meilleurs film catastrophe de ces dernières années.
Peu de moyens donc beaucoup d'imagination remplace les avalanches d'effets spéciaux, et ça fonctionne.
Une bonne surprise alors que j'attendais absolument rien de ce film.
Certainement un des meilleurs film catastrophe de ces dernières années.
Peu de moyens donc beaucoup d'imagination remplace les avalanches d'effets spéciaux, et ça fonctionne.
Une bonne surprise alors que j'attendais absolument rien de ce film.
Beau film, un film qui se tient avec de l action du suspens et des effets speciaux impressionnant avec une bande son plus que realiste.
Pour moi un film de bon niveau
Pour moi un film de bon niveau
Très bon film qui nourrit pas les clichés de tout les films catastrophe, une actrice en or que j'aime beaucoup et qui joue superbement bien. Des bons moments émouvants !! J’ai beaucoup aimé !
Je me sens un peu seule avec mon 4 étoiles, mais franchement j'ai aimé ! J'accompagnais un ami fan du genre qui lui était déçu, et moi qui y allais à reculons je n'ai pas regretté.
Peut-être parce que les blockbusters sont souvent trop tout, trop improbables, trop d'effet spéciaux qui tuent les effets spéciaux, bref, là c'est l'antithèse du genre, crédible et réaliste, intimiste et humain, ça le fait, net et efficace, sans bling-bling.
Tout le film je me suis demandée si les 3 jours ne seront pas une comète finalement.
Allez voir ce film, notez-le, j'espère que son score-spectateur remontera, il le mérite.
Peut-être parce que les blockbusters sont souvent trop tout, trop improbables, trop d'effet spéciaux qui tuent les effets spéciaux, bref, là c'est l'antithèse du genre, crédible et réaliste, intimiste et humain, ça le fait, net et efficace, sans bling-bling.
Tout le film je me suis demandée si les 3 jours ne seront pas une comète finalement.
Allez voir ce film, notez-le, j'espère que son score-spectateur remontera, il le mérite.
Alice025
Premier film blockbuster américain depuis la réouverture des cinémas, eh bien ce n'est pas fameux... Ici, un gros film de fin du monde, on en a déjà vu plein mais il faut se l'avouer, on aime voir ce genre de film catastrophe, sauf que la mayonnaise ne prend qu'à moitié.
La première partie part plutôt bien, la famille de John (Gerard Butler) ont été sélectionné pour intégrer un bunker, mais des péripéties font que le voyage va être beaucoup plus compliqué que prévu...
On y va clairement pour assister à de gros effets spéciaux, de destructions et j'en passe, mais finalement on ne voit pas grand chose. On assiste plus à la survie des membres de la famille, à ses trajets en voiture et à ses remises en questions personnelles.
On reste assez de marbre devant les scènes censées être émouvantes, on suit le divertissement mais on a aussi hâte qu'il se termine, surtout que le film souffre de quelques incohérences. Ce n'est pourtant pas le jeu d'acteur qui manque, mais plutôt le manque d'effets spéciaux et un scénario trop blafard.
http://cinephile-critique.over-blog.com
La première partie part plutôt bien, la famille de John (Gerard Butler) ont été sélectionné pour intégrer un bunker, mais des péripéties font que le voyage va être beaucoup plus compliqué que prévu...
On y va clairement pour assister à de gros effets spéciaux, de destructions et j'en passe, mais finalement on ne voit pas grand chose. On assiste plus à la survie des membres de la famille, à ses trajets en voiture et à ses remises en questions personnelles.
On reste assez de marbre devant les scènes censées être émouvantes, on suit le divertissement mais on a aussi hâte qu'il se termine, surtout que le film souffre de quelques incohérences. Ce n'est pourtant pas le jeu d'acteur qui manque, mais plutôt le manque d'effets spéciaux et un scénario trop blafard.
http://cinephile-critique.over-blog.com
un sentiment de déjà vu. un mélange de deep impact Word war Z et tous les autres du genre. mais putain ça fait du bien !!!! j'adore ce type de film. très prenant et assez réaliste. j'en ai pris plein les yeux et jen ai eu pour mes sous avec mon fils de 15 ans qui a bien aimé également.
Un film catastrophe sans grande originalité mais solide, avec un couple d'acteurs en forme et des effets spéciaux parcimonieux et donc d'assez bonne qualité.
Une critique plus détaillée et d'autres sur le-blog-d-elisabeth-g.blogspot.fr
Une critique plus détaillée et d'autres sur le-blog-d-elisabeth-g.blogspot.fr
ConFucAmuS
Dans le cinéma où je suis allé le voir, l'exploitant à cru bon d'ajouter le label "nouveauté" sur l'affiche de Greenland, le dernier refuge. Symbole d'une époque où l'activité culturelle est quasi au point mort, c'est certain (la plupart des grosses sorties ayant retardé leur arrivée en salles). Quand bien même, il est permis d'en rire puisque le blockbuster mettant en vedette Gerard Butler face à l'apocalypse est aussi anecdotique que routinier.
Situé quelque part entre La Guerre des mondes et 2012 mais avec 3 ou 4 fois moins de budget, Greenland a donc le bon sens de la jouer profil bas : l'humain passera donc en priorité. Une tactique plus fine qu'espérée, autour de laquelle convergent quelques bonnes idées pour faire rebondir le périple d'une cellule familiale fragilisée. Loin d'être novateur, le script joue quand même bien la partition pendant une heure. Délesté de son armure de bourrin ou de ses grosses pétoires, Gerard Butler rappelle qu'il peut incarner le héros d'à côté et s'en sortir avec les honneurs. Sur un pied d'égalité avec la star, Morena Baccarin fait un boulot irréprochable. Notons également la sympathique apparition de l'inoxydable Scott Glenn. En toute lucidité, Greenland ne figurera pas à leurs palmarès respectifs mais on ne le trouvera pas non plus parmi leurs casseroles. Ce qui est presque remarquable compte tenu des énormes faiblesses du film.
Rares sont les grosses machines qui se parent d'un scénario en titane, évitant soigneusement le maximum de lourdeurs et sottises sur le chemin. Greenland ne va pas changer les statistiques à ce niveau, à en juger par la mise en contexte quasi-absente, la crédibilité zéro de certaines situations, les effets spéciaux moyens (au mieux) et la morale bien chrétienne (les allusions à la sainte-mère église ne manquant pas). Honnêtement, je ne m'attendais pas à un film d'une grande subtilité. Apparemment, ce n'était pas le but non plus du réalisateur Ric Roman Waugh, dont la mise en scène est d'une inélégance manifeste, à base de caméras à l'épaule frustes et de rushes d'une publicité pour Center Parcs. Le long-métrage entame une brasse coulée sur sa dernière demi-heure, qui fait du surplace en piétinant jusqu'à un final honteusement recopié sur le délire ravageur du 2012 signé Roland Emmerich.
Pour un été aussi particulier que celui-ci, on va dire que Greenland a des arguments pour vous tenir 2 heures dans une salle climatisée. Bons et mauvais, mais ils pourront vous faire oublier ce qu'il se passe dehors un bref instant. C'est mince, très mince mais que voulez-vous, quand on aime le cinéma...
Situé quelque part entre La Guerre des mondes et 2012 mais avec 3 ou 4 fois moins de budget, Greenland a donc le bon sens de la jouer profil bas : l'humain passera donc en priorité. Une tactique plus fine qu'espérée, autour de laquelle convergent quelques bonnes idées pour faire rebondir le périple d'une cellule familiale fragilisée. Loin d'être novateur, le script joue quand même bien la partition pendant une heure. Délesté de son armure de bourrin ou de ses grosses pétoires, Gerard Butler rappelle qu'il peut incarner le héros d'à côté et s'en sortir avec les honneurs. Sur un pied d'égalité avec la star, Morena Baccarin fait un boulot irréprochable. Notons également la sympathique apparition de l'inoxydable Scott Glenn. En toute lucidité, Greenland ne figurera pas à leurs palmarès respectifs mais on ne le trouvera pas non plus parmi leurs casseroles. Ce qui est presque remarquable compte tenu des énormes faiblesses du film.
Rares sont les grosses machines qui se parent d'un scénario en titane, évitant soigneusement le maximum de lourdeurs et sottises sur le chemin. Greenland ne va pas changer les statistiques à ce niveau, à en juger par la mise en contexte quasi-absente, la crédibilité zéro de certaines situations, les effets spéciaux moyens (au mieux) et la morale bien chrétienne (les allusions à la sainte-mère église ne manquant pas). Honnêtement, je ne m'attendais pas à un film d'une grande subtilité. Apparemment, ce n'était pas le but non plus du réalisateur Ric Roman Waugh, dont la mise en scène est d'une inélégance manifeste, à base de caméras à l'épaule frustes et de rushes d'une publicité pour Center Parcs. Le long-métrage entame une brasse coulée sur sa dernière demi-heure, qui fait du surplace en piétinant jusqu'à un final honteusement recopié sur le délire ravageur du 2012 signé Roland Emmerich.
Pour un été aussi particulier que celui-ci, on va dire que Greenland a des arguments pour vous tenir 2 heures dans une salle climatisée. Bons et mauvais, mais ils pourront vous faire oublier ce qu'il se passe dehors un bref instant. C'est mince, très mince mais que voulez-vous, quand on aime le cinéma...
En soi, Greenland ne propose rien de nouveau dans son intrigue, depuis des décennies, nous avons pu voir bien des films traitant de météorites et de fin du monde, de Deep Impact à 2012. Mais la grande force de ce film est son traitement. A la manière d'un Tom Cruise en pleine guerre des mondes, Gerard Butler fuit à travers le pays avec sa famille en quête de l'ultime refuge qui lui permettra de survivre à la fin du monde. Et, contrairement à 2012 (scénaristiquement jumeau de Greenland), les curseurs ne sont pas poussés au maximum avec des personnages survivant miraculeusement à des situations apocalyptiques. Ici, on garde les pieds sur terre, on ne cherche pas à en mettre plein la vue et on se focalise sur cette famille qui pourrait être n'importe laquelle tant elle agit et réagit de manière sensée. Et on s'y attache vraiment à cette famille, on a peur avec eux, on pleure avec eux et l'on partage cette tension constante qui parcoure le film, ce parfum de fin du monde des plus angoissants accompagné par des séquences catastrophe se produisant quand on s'y attend le moins, sans toutefois aller sur le terrain du destruction porn à la Roland Emmerich. Les amateurs d'Armageddon resteront cruellement sur leur faim, ceux de Deep Impact, en revanche, trouveront un film dans le même esprit, les longueurs en moins. Il faut ajouter à cela une musique très réussie qui accompagne l'émotion et l'angoisse sans en faire des tonnes. Les acteurs sont impeccables, crédibles et juste, Butler range au placard son costume de bourrin, ce qui donne son meilleur rôle depuis longtemps. Morena Baccarin incarne la mère ni potiche, ni ultra-féministe à la mode, juste une femme sensée qui a son lot de péripéties et de moments forts, tout comme son partenaire masculin. Le petit gars de la famille, quant à lui, ne souffre heureusement pas du syndrome du gamin chiant traîné tout le long du film comme un boulet, il est ici raisonné, plein d'émotions et sait nous toucher à de nombreuses reprises. C'est tout simplement le meilleur film de fin du monde que j'ai pu voir jusqu'à présent, car réalisé avec intelligence sans chercher à en mettre plein la vue et qui montre avec brio, la fin du monde sans concessions du point de vue de l'Humanité, en mettant en avant toute la noirceur dont les Hommes sont capables pour tenter de survivre. Ce n'est toutefois pas un film d'auteur métaphysique, ni un blockbuster à 1 milliard, juste un petit film qui, justement parce qu'il est petit, sait ce qu'il raconte et sait le montrer de la meilleure manière possible. Je pensais dire ça pour rire avant de voir le film, mais je le dis au final avec sérieux : c'est un chef d'oeuvre.
L'on s'attend à un film catastrophe avec de belles scènes propres à ce genre de film mais en fait l'histoire s'attarde énormément sur le périple du couple et non sur les conséquences de l'arrivée de Klarck.
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