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Un visiteur
1,5
Publiée le 15 novembre 2020
avec butler c'est toujours pareil. Les 10 premières minutes sont bonnes, après c'est vraiment sans saveur. Franchement je ne suis pas difficile, mais là ce film est nul. On ne voit rien des cataclysmes, aucun travail sur les effets spéciaux, il n y a meme pas de scénario, c'est du vu et revu. soit gerard est nul, soit il na pas de chance de tomber toujours dans des films plats
Scenario ultra téléphoné vu vu et revu de la bonne grosse soupe étasunienne avec le père absent ou divorcé le pamphlet ecolo la mère conne à bouffer de la bite... Une horreur... Si vous avez 2h à perdre cette daube est pour vous !
Prenez tout les clichés de film catastrophe, melangez un coup et BIM vous avez Greenland.
spoiler: Le gamin insupportable avec une grosse calvitie et diabétique, le pére qui est en plein divorce suite a une infidélité, la mére ultra protectrice, les medicaments perdu, le voyage en avion qui se termine en crash, le kidnapping du gamin a la calvitie, des impacts de "cométe" qui tombe a moins d'un metre, le grand-pere cool mais qui en veut au beau-fils pour son infidélité et qui a la fin pardonne, les emeutes sans queue ni tête, même la fin est cliché avec le vol de deux oiseaux sur un fond apocalyptique en image de synthése de chez LIDL.
Le jeu d'acteur est "meh", la photo est ultra cliché, enormément d'incohérences spoiler: (Le smartphone qui n'a pas de réseau sauf pour l'internet mobile)
Bref, Deep Impact ou Armageddon est mille fois mieux.
Greenland a une excellente idée et deux vilains défauts. L’excellente idée est de recentrer la catastrophe depuis l’omniscience du blockbuster sur la cellule familiale, puisque, exception faite d’une poignée de plans bien peu spectaculaires au demeurant, nous ne percevons le chaos qu’à échelle d’homme, conviés à partager les douleurs de trois êtres sur le point d’être séparés – la procédure de divorce puis le refus d’embarquer l’enfant – et qui trouvent dans le déchaînement des forces naturelles l’occasion de resserrer les liens qui les unissent. La tragédie cosmique se rejoue en tragédie intime et tragédie de l’intime, dans lesquelles père mère et fils sont soufflés, écrasés par des foules en délire, secoués dans l’avion qui s’échouera quelques secondes plus tard, pris en otage par un couple désespéré. Le film réussit à capter cette détresse, traduction du sursaut de vie qui anime les individus, et à raccorder les humains à ce fond de bestialité que l’état de société, en le domestiquant, ne saurait annihiler. Néanmoins, une telle idée scénaristique se heurte à deux écueils importants. Le premier est l’écriture des dialogues, dont la qualité était pourtant nécessaire à une œuvre soucieuse de se mettre à hauteur d’homme pour regarder la catastrophe ; or, ceux-ci enchaînent les poncifs, sonnent souvent faux ou plaqués sur des situations qui ne demandaient que silence ou murmures ou balbutiements. Tout se passe comme si les personnages maîtrisaient la situation tout en surjouant l’urgence, occasionnant une impression de facticité dommageable. Cet écueil est accentué par un autre, le second en l’occurrence : la mise en scène. Ric Roman Waugh réalise son film n’importe comment, surdécoupe ses plans afin d’accélérer le rythme, use et abuse de la caméra à l’épaule sans que cette technique renforce l’immersion – sauf lors de la course dans le bunker, très efficace. Dit autrement, Greenland est visuellement laid, plastiquement grossier ; son geste artistique apparaît des plus lourdingues, tiraillé entre une volonté de réalisme mal géré et une représentation du passé idéalisé en flashbacks avec ses gros plans, ses lumières chaudes, ses visages souriants. Reste un divertissement honnête qui a le mérite de recentrer la focalisation portée sur la catastrophe sur la famille, comme le faisait déjà – et en mieux – 2012 de Roland Emmerich.
Film brillant un de ces blockbusters catastrophes qui se font rares...un casting interessant une histoire attachante on s'identifie facilement aux personnages crédiables et une superbe réalisation qui mettent en avant l'action ainsi qu'une belle musique ce qui est assez rare dans ce genre de film...je reviens sur le réalisme saisissant et on dit que ca va forcement arriver un jour?!"neowise ou une autre....un plantage de la NASA qui sait? PS:jadore l'acteur Gerard Butler.:)
Rempli de clichés américains, c'est dur de tenir 2h face à ce film très moyen. On notera la mère qui fais des tartines de confiture alors que la comète viens de s'écraser sur la terre.
Un film apocalyptique très réussi. Gérard Butler joue son rôle à merveille. L'intrigue est un peu moins réaliste mais les rebondissements sont là pour nous mette l'eau à la bouche.
Blockbuster de l'été annoncé, Greenland accomplit toutes ses promesses. Une comète arrive droit sur notre bonne planète bleue, la panique est à bord, les autorités le savent bien entendu et se terrent dans le silence. Nous allons alors suivre une famille qui va au centre de cette aventure : Gérard Butler (spécialiste ès action movie déjà là pour le moins réussi Geostorm), Morena Bacarrin (Homeland) sa femme et leur enfant diabétique. Après avoir appris l'existence d'un bunker qui permettra de sauver l'Humanité, Gérard Butler et sa famille partent ainsi direction un avion qui les conduira en sécurité. Bien entendu rien ne se passera comme prévu, la famille se trouvera séparée pendant que la Terre ressemble à un gigantesque morceau de gruyère torpillés par une tempête de comètes géantes. L'avantage principal de ce film, c'est que dans le genre du film catastrophe, il est loin d'être catastrophique ! Il se rapprochera plus d'un 2012 que d'un Le Jour d'Après. Bonne nouvelle pour ce film qui réussit là où d'autres ont échoué (même en étant loin d'un Armageddon) , il empile les séquences de destruction massive de manière jouissive et Mister Butler assure. Ouf on est sauvés ...
Un enieme film sur la fin du monde, mais qui se regarde. Les effets spéciaux sont bien réalisés, l'histoire de famille est très classique et sans surprise, mais ça reste un bon divertissement.
Une histoire émouvante qui nous plonge tout droit dans un décors apocalyptique. Si vous aviez aimé le film "2012", ce dernier saura susciter votre attention. Ce film procure différentes émotions comme la compassion, le stresse, la tristesse... Certes le scénario n'a rien de bien révolutionnaire, d'autant plus que quelques questions incohérentes nous laisse sur notre faim : spoiler: Comment le garçon a-t-il survécu 9 mois dans le Bunker sans médicaments ? Pourquoi ont-ils accepté ce surplus de personne à la fin du film alors qu'à l'aéroport non ? Mais ces petits défauts sont vites oubliés par le dynamisme de ces 2 heures de film et l'attachement des protagonistes qui sont le coeur de cette réussite pour ma part.
Bon film à voir 1 fois. Je ne dis pas qu'on arrive dans le parfait, loin de là. Je trouve qu'il manque quelque chose. Il y a de l'incohérence comme le faite que les vitres et les véhicules ne ce mettent pas en action lorsque une énorme onde de choc arrive. Je m'attendais à voir un peu plus d'actes violent de la part des civils. Je pense que les personnages principaux marchent un peu trop sur un tapis rouge. On leur apporte un peu trop d'importance et de soutien comme le faite que les services de secours aide la mère à retrouver son fils alors que d'autres personnes ont aussi besoin d'aide.