AlloCiné
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Votre avis sur Vaillante ?
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Petit dessin animé très sympathique... j'ai bien aimé suivre les péripéties de cette jeune fille qui veut devenir pompier de NY alors que son père lui interdit car certaines scènes sont très prenantes, d'autres cocasses, d'autres émouvantes... bref tout ce qu'il faut pour passer une bonne soirée en famille ! Seul petit bémol : j'ai vu ce film en français et la voix d'Alice Pol m'a beaucoup dérangé car je l'ai trouvé plate & inexpressive ! Mais à part ça c'est un bon dessin animé que je recommande à tous...
Pas trop mal...Les personnages sont sympathiques et les graphismes sont bien. On passe un bon moment
Un film intelligent sur le courage des pompiers et l’émancipation féminine. On regrettera seulement l’humour qui fait rarement mouche et une intrigue « surnaturelle » assez quelconque. Une agréable surprise tout de même pour toute la famille.
Roub E.
J’ai trouvé cela un peu laborieux. C’est sans grandes idées au niveau esthétique, l’histoire est convenue et fait déjà vu et le rythme paraît très rapide pour tenter de dissimuler ses manques. Je ne suis pas sûr que ça inspire beaucoup les enfants ce qui semble pourtant être le but annoncé.
Ce dessin animé est basé autour du rêve d'une petite fille du début du XX eme siècle, de devenir pompier.
Entre imaginaire débordant et conviction féministe, ce film nous emmène dans un autre monde tout en nous montrant que tout est possible avec travail et courage.
On passe un super moment.
Entre imaginaire débordant et conviction féministe, ce film nous emmène dans un autre monde tout en nous montrant que tout est possible avec travail et courage.
On passe un super moment.
Artriste
Film d'animation co-réalisé par Laurent Zeitoun et Theodore Ty, Vaillante ne tient malheureusement pas toutes ses promesses. L'histoire se déroule à New York, à cheval entre les années vingt et les années trente, et nous fait suivre Giorgia, une jeune fille rêvant de devenir pompier. Seulement, son père ancien pompier, lui explique qu'il est impossible pour une femme de faire ce métier. C'est alors que l'enfant va décider de se déguiser en jeune homme afin d'aider son paternel à lutter contre une série d'incendies ravageant les salles de théâtre de la ville. Hélas, ce scénario est assez convenu, et même si cette intrigue est agréable à vivre, on reste un peu sur notre faim. Si les sujets évoqués sont intéressants sur le papier, comme la relation père-fille et l'interdiction pour les femmes de pratiquer ce métier, dans les faits, cela n'est pas totalement abouti. Il en va de même pour la profession de pompier vraiment pas assez mise en valeur. En effet, on ne voit ni flammes, ni les nombreuses missions que les soldats du feu sont amenés à accomplir. Le récit fait le choix de se concentrer sur une menace trop éloignée de la fonction. De plus, le ton est assez enfantin et l'humour ne parvient pas à faire mouche. La faute en grande partie du aux personnages peu attachants. Si le père et la fille s'en sortent à peu près, les autres rôles ne sont pas très convaincants entre les deux pompiers les accompagnants qui sont agaçants, un maire caricatural et un chien sous exploité. Les autres protagonistes plus secondaires sont encore moins réussis et l'antagoniste est un cliché sans aucune profondeur. Avec de tels individus, difficile de créer de l'émotion, même si la relation père-fille parvient par moment à toucher légèrement. Mais pour le côté amusant on repassera, la faute à des dialogues ordinaires et trop juvéniles. Même la forme déçoit. Effectivement, la direction artistique est assez quelconque et ne dégage aucun charme. L'aspect des personnages est peu inspiré, cependant, la ville s'en sort mieux avec plus de détails, même si la réalisation ne nous laisse pas vraiment le temps d'apprécier ces décors. L'esthétique est surtout sauvée par les jolies couleurs qui se dégage de cet environnement. Ce visuel est accompagné par une b.o. aux compositions en accord avec l'action, sans pour autant être marquante. Reste une dernière partie rehaussant un peu le niveau, avant de se conclure sur une fin attendue, proposant tout de même un générique de fin rendant un bel hommage à son propos. En conclusion, Vaillante est une petite déception au vu de son potentiel, et si le long-métrage plaira aux plus petits, les plus grands y trouveront moins leur compte devant ce manque de créativité.
Un film féministe et une héroïne sympathique, mais une intrigue qui peine à décoller et un humour qui manque de finesse et est très enfantin. Ce qui contraste d'ailleurs avec les images assez effrayantes des incendies et de leur cause. C'est donc un peu perturbant puisque le film semble n'être pas adapté à ce qui est justement son public cible : les jeunes enfants.
Un film trop captivante et très intéressant avec une histoire tellement bonne, histoire se passe en 1930 les femmes ne peuvent pas être pompier, mais pour la fille n'empêche pas, un histoire un peu vrai, je vous recommande ce film pour voir l'histoire.
Une animation sympathique franco-canadienne qui se situe à New York principalement en 1930 avec deux énormes clichés modaux : les pompiers New Yorkais et le féminisme. Les couleurs, le rythme, les personnages et les caractères sont chatoyants, humoristiques sans trop de mauvais goût sinon son hyper modalité. Le féminisme y est très accentué, c'est le thème principal du film et la plupart des personnages augmentent cet effet, tel le chef de la police bien improbable. Les personnages hommes hormis le père idéal sont assez ridicules et les personnages féminins ont des tempéraments extrêmes. Le féminisme est même accentué avec le personnage animal important tout le long du film, ce qui est une vraie originalité. Le tout est lissé dans un fort manichéisme, distinction nette du bien et du mal, et la valeur morale affectée au métier de pompier.
Elle est tout à fait dans l’air du temps, cette production franco-canadienne qui suit une jeune fille qui se travestit en homme pour prouver qu’une femme peut être un pompier comme les autres. Je suppose aussi que le fait que ses scènes d’action tournent autour des Soldats du feu semble destiner ‘Vaillante’ en priorité aux jeunes enfants, ceux pour qui rien n’est plus beau qu’un camion-pompiers rutilant, bien que les tenants et aboutissants de l’histoire soient alors peut-être un rien trop compliqués pour eux. Pour les autres, en dépit de quelques facilités scénaristiques et de personnages au design un peu lisse, sa représentation fantaisiste du New York des années 30 et son méchant mystérieux et un peu effrayant confèrent à ‘Vaillante’ l'esprit d’un vieux sérial policier de la même époque. Ajoutez-y un rythme soutenu et de l’humour employé avec parcimonie et vous obtenez un film d’animation qui s’avère curieusement plus convaincant et agréable que ce qu’on avait prévu. Il est vrai que l’Atelier Animation, pour le galop d’essai qu’avait été ‘Ballerina’ en 2016, était déjà parvenu à offrir quelque chose de bien plus intéressant que ne le laissait présager sa note d’intention.
Les studios français d'animation ont réellement plus de talent que certains peuvent le penser. "Vaillante" viens totalement nous prouver cette affirmation, et de la meilleure des manières. Pourtant, sur le papier, le long-métrage peut paraître assez basique. Nous avons affaire à ce genre de projet bien classique où le héros doit poursuivre ses rêves, quelque chose de très commun. Dotant plus que cette histoire vient nous faire passer un message féministe en plaçant son histoire dans une époque où le terme n'existait même pas. L'idée était donc assez classique, pas forcément mauvaise mais les intentions se ressentent trop rapidement. Il n'y a pas vraiment de surprise d'un point de vue scénaristique lors du visionnage du film, on comprend trop vite où il veut en venir. Cependant, sur d'autres aspects, je trouve le film assez maîtrisé. Visuellement déjà, le film réussit à remplir le cahier des charges minimal pour ce genre de projet. C'est joli, mais aussi bien détaillé au niveau des lumières et des décors. Mais là où il se révèle vraiment efficace, cela va être au niveau du rythme et au niveau de son approche relativement respectueux du métier de pompier. J'avoue avoir vraiment été embarqué par le long-métrage, je n'ai jamais ressenti d'ennui, car tout ce que propose le film à ce niveau m'a captivé. L'histoire en elle-même est bourrée de facilités (la principale étant le fait de faire disparaitre tous les pompiers en même temps) mais on ressens très vite l'approche qu'a voulu aborder le film. Le métier est vraiment bien mis en avant avec tous les aspects de confiance, de sacrifice et de détermination que cela implique. J'ai vraiment apprécié cette approche, elle rend le film vraiment plus que regardable et fait un bel éloge de ce si beau métier. Bien que les thématiques principales soient donc sans intérêt et déjà vues, l'approche du film est intéressante et permet à l'ensemble de tenir correctement debout. Un film d'animation classique donc mais plutôt bien maitrisé. Pour conclure, un bon ensemble.
Mes enfants ont adoré mais certaines scènes (notamment avec le fantôme en fumée) leur ont fait peur. Cela a amené aussi un débat sur l'égalité des droits hommes-femmes.
Un film d'animation correct avec néanmoins des ingrédients vus et revus sans oublier une petite pincée de wokisme par dessus le marché. Au final un cocktail pas vraiment mémorable malgré de belles couleurs et animations mais pas désagréable pour autant.
Ces personnages décalés et un peu délirants, donnent à voir aux spectateurs une subtile pensée sur l’altérité, et là encore, sans en faire trop, juste dans le ton suffisant. C’est aussi ça Vaillante, une finesse et une justesse dans la narration, qui l’air de rien et sans manichéisme aucun, envoient des messages certes simples, car adaptés à un public, mais qui sont au final d’autant plus pertinents et efficaces. Et puis bien sûr, il y a Georgia, obligée de se déguiser en homme pour rejoindre la caserne. Notre héroïne attachante qui cherche à la fois l’accomplissement de son dessein le plus cher, tout en essayant de préserver la bienveillante protection paternelle, même ci celle-ci doit laisser la fille devenir femme.
C’est ici comme une discrète habileté scénaristique jamais moralisatrice d’un discours induit sur l’émancipation du patriarcat, et presque subliminalement, ça passe crème et ça fait du bien. Dans cette même idée, pour les plus anciens (snif), l’on pourrait y trouver une légère analogie avec l’Inspecteur Gadget, dans l’idée de sa fille (Sophie) et le chien audacieux (Fino) qui se jouent discrètement de l’adulte pour mener à bien les aventures. Cette ambiance contribuant à des petites victoires discrètes des enfants sur les adultes, toujours sources d’un ineffable bonheur pour les spectateurs en culottes courtes. Il serait ici facile de dire qu’il existe des facilités… Au regard du « public cible », il n’y a pas pléthore de façons de faire passer une morale à portée de nos chères têtes blondes. Et au final, le gnan gnan ne remporte pas la partie, ce qui en fait POUR DE VRAI un film pour petits et grands, où franchement, on rit, et surtout on rit tous ensemble. Il faut enfin s’attendre à ce que Vaillante suscite des vocations de pompières, qui sans doute s’estomperont à la mesure de la volatilité des rêves, mais c’est aussi ce que l’on demande au cinéma, de nous faire voyager, et clairement, avec Vaillante le pari est réussi, parole d’une petite fille de 6 ans qui accompagnait le serviteur du jour : « Je recommande à 100 % !! ».
C’est ici comme une discrète habileté scénaristique jamais moralisatrice d’un discours induit sur l’émancipation du patriarcat, et presque subliminalement, ça passe crème et ça fait du bien. Dans cette même idée, pour les plus anciens (snif), l’on pourrait y trouver une légère analogie avec l’Inspecteur Gadget, dans l’idée de sa fille (Sophie) et le chien audacieux (Fino) qui se jouent discrètement de l’adulte pour mener à bien les aventures. Cette ambiance contribuant à des petites victoires discrètes des enfants sur les adultes, toujours sources d’un ineffable bonheur pour les spectateurs en culottes courtes. Il serait ici facile de dire qu’il existe des facilités… Au regard du « public cible », il n’y a pas pléthore de façons de faire passer une morale à portée de nos chères têtes blondes. Et au final, le gnan gnan ne remporte pas la partie, ce qui en fait POUR DE VRAI un film pour petits et grands, où franchement, on rit, et surtout on rit tous ensemble. Il faut enfin s’attendre à ce que Vaillante suscite des vocations de pompières, qui sans doute s’estomperont à la mesure de la volatilité des rêves, mais c’est aussi ce que l’on demande au cinéma, de nous faire voyager, et clairement, avec Vaillante le pari est réussi, parole d’une petite fille de 6 ans qui accompagnait le serviteur du jour : « Je recommande à 100 % !! ».
Guillaume
"Vaillante" s'adresse à un (très) jeune public.
La réalisation, vive et colorée, enchante les pupilles, mais l'écriture tombe souvent dans un simplisme confondant sur les rapports hommes / femmes.
Ne pas y voir donc plus qu'un bon film d'animation.
La réalisation, vive et colorée, enchante les pupilles, mais l'écriture tombe souvent dans un simplisme confondant sur les rapports hommes / femmes.
Ne pas y voir donc plus qu'un bon film d'animation.
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