AlloCiné
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Votre avis sur Fourmi ?
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Je n'ai vraiment pas aimé ce film car, la morale a la TF1 est très mauvaise, la vision de TF1 des ados geeks qu'ils comparent au petit garçon parfait est aussi horrible à voir. Au final le film est un peu drôle avec les passages de François Damiens mais c'est tout. Ce film est bien nul à mon goût et n'apporte rien.
Quelle nullité, ce film. Le scénario est cousu de fil blanc. On ne rit presque pas. Tout est artificiel. Franchement décevant.
Une bonne idée de scénario, en phase avec les réalités sociale et sociétale mais sous le prisme du feel good movie. Alors oui ça dégouline de bons sentiments mais ce n'est pas mièvre, les gamines sont excellents, quelques personnages décalés ou caricaturaux, mais le principal est le côté positif global même si pas réaliste par moment. Un gamin qui veut sue son père aille mieux, un pete qui veut le meilleur pour son fils . . . C'est de l'Amour et ça porte l'espoir quand il semble ne plus en a.voir. C'est parfois maladroit mais les sentiments sont souvent maladroits . . .
L'ensemble ne marche pas vraiment malgres certains comediens , surtout les seconds roles qui sont tres bien. Mais l'histoire et le scenario sur les relations pere - fils maintes fois traites ne sont pas convaincant.
Encore un film qui n'atteint pas la cible, c'est coutumier avec les films français. Dommage l'idée est bonne mais mal exploitée : trop de longueurs et un scénario léger. C'est ainsi.
Une chronique familiale assez touchante, pleine de tendresse et de bons sentiments, et pleine de clichés aussi...
Guillaume
Le film familial et sympathique par excellence, "Fourmi" ne se refuse aucune ficelle du genre.
Une fois connu un scénario au déroulé linéaire, des personnages principaux attachants et des secondaires en parfaits faire-valoir, le plat a bien le goût attendu.
Une fois connu un scénario au déroulé linéaire, des personnages principaux attachants et des secondaires en parfaits faire-valoir, le plat a bien le goût attendu.
C'est un très joli film. François Damiens est toujours aussi merveilleusement touchant. Un film où on ne s'ennuie pas. C'est très réussi. A voir en famille. Pour ma part : j'ai adoré.
"Fourmi" réalisé par Julien Rappeneau, fils de Jean-Paul Rappeneau et scénariste, dialoguiste, adaptateur de beaucoup de comédies célèbres (Cloclo, Pamela Rose ...)
Une belle distribution, une belle histoire, pour cette comédie sociale et familiale adaptée de la série de bandes-dessinées espagnole "Dream Team", de Mario Torrecillas et Arthur Laperla.
François Damiens, Dussolier, Maleaume Paquin, (Rémi Sans Famille) des personnages touchants, bien construits.
Une belle comédie sociale. Une bonne qualité technique. Un beau film.
Une belle distribution, une belle histoire, pour cette comédie sociale et familiale adaptée de la série de bandes-dessinées espagnole "Dream Team", de Mario Torrecillas et Arthur Laperla.
François Damiens, Dussolier, Maleaume Paquin, (Rémi Sans Famille) des personnages touchants, bien construits.
Une belle comédie sociale. Une bonne qualité technique. Un beau film.
On passe du rire A quelques légères larmes, très franchement. Je ne me suis pas ennuyé un seul instant. F. Damien est très bien et l'enfant qui joue son fils ( vu dans Rémy sans famille) excelle! Les autres acteurs sont bons aussi. Bref, je conseille ce film très sympathique et assez émouvant.
Un film sympathique avec une pléiade d'acteurs qui campent bien leurs roles, notamment François Damiens. Bon le film dégage de la tendresse, quelquefois un peu "gnan-gnan" en versant dans l'émotion, mais on le sait avant coup, donc cela passe très bien. Assez sympa et Damiens prouve encore une fois qu'il a quelque chose, une prestance, qui le classe naturellement dans les bons.
Un sujet traité avec justesse, pleins d'émotions !
François Damien trés bon, le jeune Maleaume aussi!
François Damien trés bon, le jeune Maleaume aussi!
C'est une belle histoire qui est décrite dans ce film plein de bons sentiments. François Damiens et Maleaume Paquin sont très bons dans ce film.
Un film bien agréable, même si c'est convenu et très politiquement correct l'émotion est au rendez-vous. Un gamin prêt à trop pour arracher son père à ses démons: alcool, chômage, violence, dépression... et une happy end inévitable à l'arrache. Les profils -véritables typologies- restent attachants et l'ensemble est rafraichissant.
En 2015, la sortie de Rosalie Blum avait révélé les talents de réalisateur de Julien Rappeneau dans le registre d’un cinéma de type populaire qui n’en reste pas moins exigeant sur les plans de la finesse du scénario et de l’écriture des personnages, entre autres qualités. Les mêmes compétences sont présentes dans le film qui sort aujourd’hui, un film dont l’action se déroule au sein d’un petit club de football, un film qui raconte une histoire presque simple, mais qui n’en réserve pas moins mille trésors d’émotion et d’intelligence du propos.
Dans ce petit club, se trouve Théo (Maleaume Paquin), un garçon de 12 ans qui, malgré sa petite taille (qui lui vaut le surnom de Fourmi), brille sur le terrain. Flanqué de Laurent (François Damiens), un père qui ne manque pas une occasion de venir le soutenir au point d’en être encombrant (d’autant plus qu’il a de sérieux problèmes d’alcool), le garçon fait la fierté de Claude (André Dussollier), son entraîneur.
Le jour où Théo, après avoir été convoqué en entretien privé par le sélectionneur d’un grand club anglais, affirme crânement qu’il a été recruté, on imagine le débordement de joie, non seulement de son père et de son entraîneur, mais de la commune tout entière où réside le garçon. Or ce dernier a menti : du fait de sa petite taille, le sélectionneur anglais n’a pas voulu de lui. Mais une fois qu’un mensonge a été prononcé, il est difficile de s’amender. D’autant plus que l’intention du garçon était bonne : il souhaitait, en contentant son père, se rapprocher de lui. Il faut préciser que, ses parents étant divorcés, c’est sa mère qui en a, quasi exclusivement, la charge.
A partir de cette histoire dans le milieu du football, le réalisateur déploie finement tous ses dons pour explorer les conséquences d’un mensonge. C’est là le sujet principal du film. Or, contrairement aux idées reçues, les répercussions du mensonge, en l’occurrence, n’ont rien de négatif, au contraire. Le père de Théo en est dynamisé. Il ne se fait pas prier pour suivre les conseils de l’assistante sociale (Laetitia Dosch) qui l’accompagne : trouver un travail, cesser de boire et apprendre l’anglais. Un vrai chemin de conversion a été entamé. Et, bien sûr, plus important que tout, c’est dans le rapport père/fils qu’il se passe quelque chose de déterminant.
Et quand la vérité éclatera, que se passera-t-il ?, se demande-t-on. Pas sûr que cela change grand-chose. Théo mérite bien la fierté de son père autant que son surnom de Fourmi. Car ce sobriquet ne lui convient pas seulement à cause de sa petite taille. Il est une autre caractéristique des fourmis. Ce sont des hyménoptères qui ne vivent qu’en colonie. Une fourmi solitaire est condamnée, elle ne peut déployer ses talents que dans la collectivité. Tout comme Théo : il ne s’affirme bon footballeur que parce qu’il « joue collectif » !
Dans ce petit club, se trouve Théo (Maleaume Paquin), un garçon de 12 ans qui, malgré sa petite taille (qui lui vaut le surnom de Fourmi), brille sur le terrain. Flanqué de Laurent (François Damiens), un père qui ne manque pas une occasion de venir le soutenir au point d’en être encombrant (d’autant plus qu’il a de sérieux problèmes d’alcool), le garçon fait la fierté de Claude (André Dussollier), son entraîneur.
Le jour où Théo, après avoir été convoqué en entretien privé par le sélectionneur d’un grand club anglais, affirme crânement qu’il a été recruté, on imagine le débordement de joie, non seulement de son père et de son entraîneur, mais de la commune tout entière où réside le garçon. Or ce dernier a menti : du fait de sa petite taille, le sélectionneur anglais n’a pas voulu de lui. Mais une fois qu’un mensonge a été prononcé, il est difficile de s’amender. D’autant plus que l’intention du garçon était bonne : il souhaitait, en contentant son père, se rapprocher de lui. Il faut préciser que, ses parents étant divorcés, c’est sa mère qui en a, quasi exclusivement, la charge.
A partir de cette histoire dans le milieu du football, le réalisateur déploie finement tous ses dons pour explorer les conséquences d’un mensonge. C’est là le sujet principal du film. Or, contrairement aux idées reçues, les répercussions du mensonge, en l’occurrence, n’ont rien de négatif, au contraire. Le père de Théo en est dynamisé. Il ne se fait pas prier pour suivre les conseils de l’assistante sociale (Laetitia Dosch) qui l’accompagne : trouver un travail, cesser de boire et apprendre l’anglais. Un vrai chemin de conversion a été entamé. Et, bien sûr, plus important que tout, c’est dans le rapport père/fils qu’il se passe quelque chose de déterminant.
Et quand la vérité éclatera, que se passera-t-il ?, se demande-t-on. Pas sûr que cela change grand-chose. Théo mérite bien la fierté de son père autant que son surnom de Fourmi. Car ce sobriquet ne lui convient pas seulement à cause de sa petite taille. Il est une autre caractéristique des fourmis. Ce sont des hyménoptères qui ne vivent qu’en colonie. Une fourmi solitaire est condamnée, elle ne peut déployer ses talents que dans la collectivité. Tout comme Théo : il ne s’affirme bon footballeur que parce qu’il « joue collectif » !
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