Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
amateur_de_cinéma
7 critiques
Suivre son activité
1,0
Publiée le 14 mars 2023
Certes, les décors et le jeu d'acteur sont incroyables mais le film est long et ennuyeux. Certaines scènes étaient bien spoiler: (scène de l'ange et la mort du roi qui tombe de la falaise) mais n'étaient pas assez poussées. Le film ce termine sur une scène de sexe ou l'on ne comprend rien. A éviter !
Un film aussi angoissant que métaphysique . Une sorte de trip sectaire où se mêlent plans à la beauté et aux couleurs hypnotisants et scènes d une effroyable violence psychologique et visuelle. Le jeu des acteurs est d’une grande justesse . Mais le plus surprenant est avoir réussi à créer un Huit clos étouffant dans un contexte où les paysages sont à perte de vue et sous une lumière splendide .
Mon film préféré, j'aime tout, le studio de prod, le réalisateur, les acteurs, la musique, l'image, le scénario, tout est bon rien est à jeter ! qu'est ce que c'est bon de trouver ce genre de films ! un scénario sur un sujet dont il est facile de tomber dans l'horreur, mais pas dans le cliché des sectes ! je le recommande à 300%, un vrai chef d'œuvre, du pure Ari Aster !
Un film bucoliquement gore! Une superbe photographie, de belles compositions, des couleurs pures. On est dans une publicité pour un parfum frais, floral et lumineux. Puis le choc, le malaise, le dégoût ! Il change des films « d’horreur » que l’on connaît et ça fait du bien. J’ai aimé cette image magnifique qui contraste avec la vulgarité et l’horreur des événements. Le malaise est au rendez-vous
Après Hérédité, Ari Aster revient pour Midsommar, et quelle réussite ! Une claque monumentale dans une ambiance morose, glauque et étrange. Le personnage principale incarné par Florence Pugh est "wow !" dans ce film. Histoire original, réalisation avec une patte artistique ! Chef d'oeuvre qui mérite + de saveur
Update : Ce film possède pour une Director's Cut. Ayant aimé ce film dès mon 1er visionnage, je décide de le revisionner mais la version Director's Cut : Deja mon amour pour ce film reste comme il est, même mieux ! Il est amplifié ! De plus, la version Director's Cut est LARGEMENT mieux que la version "cinéma" 3h de Midsommar peut sembler long mais je peux vous assurer que Ari Aster arrive à nous accrocher encore plus dans cette version ! Cette version est comme si on redecouvrait le film : Intro plus longue ; histoire beaucoup + mise en avant, avec une mise en scène parfaite melangeant tout genre ; montage différent et bien évidemment des scènes en plus ! Tout se coordonne et donne le film parfait ! A voir et à revoir sans aucune hésitation. Il rentre dans mon top 10 de mes films préférés
Malgré la photographie globalement très esthétique, le jeu d’acteur tout de même excellent, Midsommar n’en reste pas moins incohérent, lent, bourré de séquences inutiles, parfois mal filmé.
Film pour les cinéphiles. Adolescent et fan de Marvel, passez votre chemin (sans mauvaise pensée). Vous allez vous ennuyer. Film étonnant car il reprend certain code des slasher movies mais avec des talents qu'on ne retrouve pas habituellement pour ce type de film. Réalisation de génie, acteurs de haut vol, mise en scène extraordinaire. On se laisse emporter dans cette histoire originale et marquante. Du vrai cinéma.
Pas forcément tout compris dans la mesure où je l'ai vu en VO. Ce n'est pas bien grave tant c'est un film et pas une fiction radiophonique avec images superfétatoires telles qu’on en fait en Autriche. J'ai par exemple compris sans spoiler la bande-son que spoiler: la sœur du personnage principal avait tué ses parents et s'était suicidée (pas bien saisi pourquoi sauf que la demoiselle avait l'air pas net). Mais cette séquence très bien menée avec le personnage principal, spoiler: l'autre fille du couple de parents décédés s'inquiétant entre son téléphone et sa messagerie électronique , n'est qu'une entrée en matière n'ayant guère plus de rapport avec ce qui va suivre que toute la première partie de Psychose de Hitchcock avec la femme et son amant, ou le début de Pulsions de Brian de Palma quand l’épouse infidèle découvre affolée le test séropositif du sien (elle n’avait vraiment pas à s'inquiéter pour si peu vu ce qui l'attend dans l'ascenseur : surprise!). Je reverrais quand même bien le film en VF ou en VOST... Tout commence vraiment vers la 23e minute quand l'héroïne qui sort des toilettes devenues celles d'un avion par la magie du cinéma (elle est entrée dans la salle de bain de son appartement avec un plan en plongée totale qui suggérait déjà que l'on passait une porte). spoiler: Désormais l'héroïne avance dans l'allée centrale de l'avion tandis que la caméra, qui devrait être fixe ou bien reculer puisqu’on avance vers elle, se dirige vers la jeune femme qui vient, ce qui n'est pas normal: ils vont se rentrer dedans? mais la femme tourne à gauche et s'assoit à sa place près du hublot, la caméra l'a suivie en tournant à droite dans la ruelle devant le siège de son compagnon et le sien, et continue par le hublot jusqu'à un plan sur ce qui doit être des fjords au-dessous d'épais nuages. Tout s'explique: la jeune femme n'était pas le sujet à suivre.
La suite confirme que l'on est passé de l'autre côté du miroir quand la caméra suit la voiture des aventuriers depuis le ciel (un drone, il y a plusieurs plans en plongée verticale depuis des drones), passe devant cette voiture et se retourne vers elle en un seul plan de telle manière qu'elle se retrouve la tête en bas. La route et la terre sont désormais en haut et le ciel en bas. Tout est sens dessus dessous. Vient l'arrivée sur les lieux même avec un plan séquence (à la steadicam? mais en caméra subjective: la caméra avance, ce qui contraste avec les plans du ciel et renversés jusqu’au raz du sol précédant, à la vitesse et à la hauteur d’une personne qui marche), cela vient vers la voiture arrêtée et va jusqu'au milieu du champ. C’est le narthex avant, vers la 35e minute, de pénétrer dans le lieu sacré lui-même par une procession champêtre vue du ciel sur une musique de tubas wagnériens et flûtes qui ne manque pas d’évoquer le thème du Walhalla dans la tétralogie de l’Anneau du Nibelung. Avec Into the Wild, il était question d'un utopique retour à la nature de l'animal culturel et cela se terminait comme cela se doit en cauchemar. Avec Midsommar (solstice d'été), il est en quelque sorte question du retour à des traditions censées avoir été celles de toujours du sapiens domestiqué de la civilisation occidentale au cours d'une fête célébrée une fois par siècle. Les candidats ethnologues sont une bande de touristes venus se ressourcer en admirant avec naïveté l’homme primitif. (Cela se passe dans le nord de la Suède mais il ne faut guère y voir, hormis le fait que la nuit ne vient jamais, que l’intérêt de ne pas permettre d’opposer sur un plan racial – on ne peut pas ici comme dans King Kong imaginer une seconde qu’il y a une différence de ce côté entre les touristes et les indigènes – mais bien en termes de "primitifs" et de société moderne.) Les indigènes censés être suédois sont d’ailleurs dépeints dans un décor de style très Amish mêlant rusticité et technologie moderne. L’héroïne spoiler: désormais orpheline de père et de mère va fêter ici en même temps que le solstice d’été son anniversaire. Il va y avoir pour elle une translation de son ancien monde moderne à ce nouveau monde archaïque au cours de ces fêtes concomitantes. spoiler: Cela va se matérialiser par une bougie d’anniversaire venant de l’ancien monde qui ne veut pas s’allumer avant que la danse transforme la jeune moderne en une Scandinave de toujours. La danse c’est l’imitation de Gabriel Tarde, la mimesis de René Girard, cela consiste à se copier les uns les autres en produisant tous les mêmes gestes sur un même rythme spoiler: et la jeune orpheline va exceller à imiter les danseuses indigènes au point de devenir comme elles – jusqu’à comprendre leur langue. Comme tout processus d’intégration à la communauté réussi, cela exige d’être sacralisé par le sacrifice d’une victime émissaire, ici cousue dans la peau d’un ours, l’héroïne se solidarisant avec le groupe en partageant la culpabilité de la mort de l’innocent.
Midsommar ou plus exactement Midsommeil nous plonge dans un ennui paroxystique qui n'en finit jamais!!! 2h30 à suivre les inepties et autres pratiques totalement idiotes des membres d'une secte. J'ai réussi à finir le film non sans mal et je n'en retiendrai absolument rien. Je me disais que, comme la plupart des films d'horreur, la fin allait être explosive mais je n'ai assisté qu'à un pétard mouillé. Le film est classé dans le genre épouvante horreur mais je l'aurais plutôt mis dans le genre comique. Certaines scènes sont à mourir de rire notamment spoiler: lorsque deux personnes sautent d'une falaise et quand des membres de la secte les achèvent avec une coup de massue mais aussi dans la scène finale lorsque le rouquin en plein ébat sexuel sursaute lorsqu'une bande de femmes se mettent à chanter à côté de lui ou encore lorsque les membres de la secte répètent les cris d'épouvantespoiler: En bref, une sacrée belle bouse qui est vraiment dur à finir, ce film est une épreuve.
Film dérangeant. Que demander de plus à un film d'angoisse? spoiler: Juste pour rebondir sur le commentaire en dessous : si on voit es photos en couleur, c'est justement que les cérémonies n'ont pas lieu tous les 90 ans.
On m'avait beaucoup loué ce film de Ari Aster. Au final, j'en suis largement revenu. Tout d'abord, l' "horreur" promise n'est pas si poussée que ça; d'une part en tant que telle, d'autre part parce que tout est trop lent et on voit venir les choses des kilomètres à l'avance. En réalité, Ari Aster a tout misé sur l'effet de contraste entre la campagne suédoise, l'accueil des locaux, les couleurs, le folklore et la crudité des scènes. Passée la première scène horrible (et non "horrifique"), il n'y a pas de gradation; la suite est au mieux au même niveau, voire à un niveau inférieur. Qu'y a-t-il d'horrifique dans la scènespoiler: de sexe . Sans compter quelques incohérences : cette cérémonie aurait lieu à peine tous les 90 ans (pourquoi 90, déjà ?) donc il ne peut y avoir aucune photo en couleur sur le mur des reines de mai. Au mieux c'est un film d'angoisse, dont la longueur finit par nous achever. A ce jeu là, M.Nightshyamalan et son Village s'en sortent bien mieux.
je comprend vraiment pas la hype de ce film, j'en ai entendu parler comme un film d'horreur, mais il ne fait absolument pas peur. En réalité il est juste excrément louche, kl n'a pas de sens. Vraiment pas terrible je recommande pas
Midsommar est une oeuvre hybride que l'on pourrait être tenté de classer dans la catégorie des films d'horreur, mais qui en évite soigneusement tous les codes. Prenant place dans l'été nordique, où la luminosité ne faiblit quasiment jamais, le séjour d'un groupe de jeunes américains dans une communauté suédoise pratiquant une forme de paganisme va révéler des pratiques culturelles assez croustillantes. Un peu trop long à se mettre en place, Midsommar présente cependant de vrais variations dans son approche psychologique, autour d'un couple dysfonctionnel et de personnages globalement peu sympathiques. A déguster sans modération pour les amateurs de sensations fortes !
Un voyage visuel et psychologique qui explore l'essence même de l'être humain : la communauté. Si vous connaissez certains des mécanismes et les groupes qui ont inspiré ce récit, vous serez stupéfaits par le réalisme glaçant de Midsommar.
Midsommar littéralement Solstice d'été en suédois. Cet événement correspond au moment où de l'année où le Soleil monte au plus haut dans le ciel et éclaire pendant une durée maximale l'un des deux hémisphères. Ce phénomène astronomique explique le fait qu’il ne fait jamais nuit noire en Suède.
La réalisation par Ari Aster est superbe, le réalisateur réalise de nombreux plans larges afin de montrer toute l’étendue de son décor ainsi que des plans inversés. J’adore les décors et l’univers présenté par le réalisateur.
Cependant, je n'ai pas réussi à accrocher au style narratif qui finit par lasser et surtout, je n’aime pas du tout cette fin étrange. Après j'ai tout de même apprécié une bonne partie du film.
Tout de même, c'est dommage puisque que l'idée d'un film d'horreur le jour était excellente.