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    Midsommar
    Note moyenne
    3,5
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    640 critiques spectateurs

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    Mélanie Godart
    Mélanie Godart

    1 abonné 9 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 juin 2020
    [ Un Alice aux pays des merveilles en Suède dans un trou paumé qui débute en rêve et se termine en cauchemar pour Dani et les amis de son mec.

    Visuellement, le film est magnifique et filmé d'une manière assez réussie [ exemple : quand elle danse, les effets entre le mi psychédélique ralentie

    Les musiques m'ont fait un peu penser à The Lighthouse..

    Dans le jeu d'acteur, Florence Pugh est assez incroyable et ne m'a pas déçue [ je l'ai découverte dans Little Women et depuis, je suis très d'admirative de cette jeune actrice]

    2 h 50 assez réussie, j'ai pas vue le temps passer, on vit l'histoire à fond, bref : 5 | 5 ]
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 11 juin 2020
    Je tien a dire que ce film est excellent pour moi le réalisateur a réussi a créé un huit clos dans la nature je pence qu'il faut regarder le film 2 fois pour bien le comprendre mes c'est excellent c'est un films d'horreur dans un décor contrairement au autre très joyeux et festifs se qui rent le film encore plus flippant .le réalisateur a réussi a nous faire peur sans screemer ou décor sombre .juste regarder le.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 10 juin 2020
    En sois le film est pas mal. Les décors sobres magnifique et le jeu d'acteur excellent. Malheureusement trop long à mon goût donc quelques scènes ennuyeuses.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 9 juin 2020
    Je ne comprends absolument pas les avis positifs et l'engouement suscité autour de ce film qui commence pourtant bien.
    Déjà la bande annonce m'avait donné un à-priori négatif mais la présence de l'acteur Will Poulter de la trilogie Le Labyrinthe que j'ai fort bien aimé, avait attisé ma curiosité pour ne pas dire m'influencer.
    Mais c'est sans surprise que mon préjugé s'est définitivement conforté après avoir perdu près de 2 heures et demi (heureusement que ce n'était pas la Director's Cut...).
    Si c'était juste pour faire de la prévention sur les effets de la drogue et/ou les dérives sectaires, il y avait possibilité de faire amplement plus simple, moins long et moins abrutissant que Midsommar qui tourne irrémédiablement au ridicule. Je ne recommande absolument pas ce "film".
    Anne D
    Anne D

    1 abonné 14 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 16 août 2022
    Film très moyen, malgré une idée que l'on aurait pu qualifier d'originale mais la beauté de la realisation ne nous fait pas oublier la faiblesse du scénario, le manque d'intrigue et des personnages assez grotesques voir d'une naïveté qui frole la betise. Je n'ai pas du tout accroché, le film est d'un vide presque abyssale et beaucoup trop long. Certaines scènes sont juste incohérentes et pathétiques. Une belle déception... et la fin.. que dire mise a part qu'elle n'a aucune sens. Voilà tout ca pour ça. Un court métrage aurait je pense étais mieux
    pietro bucca
    pietro bucca

    72 abonnés 1 232 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 mai 2020
    Un film ou il règne une ambiance vraiment étrange et mystique. Bon, on comprend bien assez vite, que dans ce groupe sectaire, il y a comme quelque chose de malsain, aussi gentils soient-ils tous, au premier abord. Donc le film attire réellement une sacrée curiosité. je peux meme dire que je me le suis ressassé le lendemain, ce qui est assez positive, quand un film a tendance a etre dérangeant. L'histoire est plaisante et le film interessant malgré une ou deux petites longueurs. Un peu eu du mal sur la façon de filmer en quelques occasions, qui donne un coté quelque peu lunaire, voir "perché".
    Daeriss W.
    Daeriss W.

    21 abonnés 288 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 22 mai 2020
    Je dois être spéciale mais je n'adhère pas du tout à ce film franchement NAC .. Les paysages hongrois , supposé être en Suède sont magnifiques et éveillent peut être une ferveur bucolique que je ne partage pas.
    Un groupe de jeunes, à coté de la plaque répondent à l'invitation de leur copain suédois anthropologue. C'est franchement pousser le bouchon un peu loin que de précipiter sciemment ses potes vers l'antichambre de la mort . Ce film est encensé par nombres de personnes, mais je me demande si ces spectateurs connaissent les tenants et les aboutissants de la fête traditionnelle de la ST Jean, à les lire, j'ai des doutes. C'est certes une fête païenne, mais pas de cannibalisme ni d'urothérapie . Ceci dit, ce film est à mon gout dispensable
    Pape Yeku
    Pape Yeku

    3 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 mai 2020
    Midsommar fait partie des rares films qui sont seuls.
    L'horreur arrive lentement, en plein jour, elle sera magnifique et terrifiante.
    Christoblog
    Christoblog

    835 abonnés 1 684 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 mai 2020
    En dépit de nombreux défauts (un script un peu faible, quelques longueurs, des personnages à la psychologie superficielle, des scènes trop tape à l'oeil), Midsommar s'avère être une expérience de cinéma très intéressante.

    Alors que je m'attendais à un film horrifique un peu basique en mode écolo-bobo, la seconde oeuvre de Ari Aster s'avère être un huis-clos en plein air d'une lumineuse beauté. Quasiment tout l'intérêt du film tient dans ce cadre naturel d'une incroyable sérénité et aux décors qui y sont implantés, comme autant de repères dans le dédale sensoriel dans lequel va s'égarer Dani, jouée par une excellente et terrienne Florence Plugh.

    La suite d'évènements dramatiques qui vont se dérouler dans cet environnement idyllique, toujours baigné d'une lumière éclatante, est certes très prévisible, mais la consistance de la direction artistique (décors, costumes, accessoires) rend l'expérience particulièrement immersive. Le contraste entre la gentillesse décérébrée des hôtes et la prise de conscience progressive de Dani donne tout son sel à la deuxième partie du film, dont la fin est très réjouissante.

    Une réussite donc, que tout le monde peut regarder sans crainte, les scènes gore se comptant sur les doigts d'une main. Le film fait ressentir plus qu'il ne fait peur.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 9 mai 2020
    Un film qui aurait pu durer 30 minutes de moins sachant que tout ce qui va arriver on le devine très bien et même trop bien. Sinon, la qualité des plans, images, décors... est au rendez-vous. Le jeu des acteurs ?!?... Je ne sais quoi dire. La seule chose que je puisse exprimer selon mon ressenti c'est que mis à part quelques petites scènes violentes (quoique...), la violence n'est pas apparente mais suggérée et ça c'est le seul point fort de ce film.
    Alasky
    Alasky

    360 abonnés 3 463 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 mai 2020
    Une oeuvre insondable. Le scénario est dérangeant, la mise en scène est hypnotisante, la musique magnétisante, les décors magnifiquement étranges. Midsommar restera dans votre mémoire un bon bout de temps. Ce film d'épouvante lent, psychologique, glaçant, est doté d'une photographie fabuleuse, éblouissante ; ses couleurs pastel et vives tranchent avec la sombre intrigue, et font de ce conte de fée morbide une expérience à part.
    bibtar
    bibtar

    31 abonnés 598 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 mai 2020
    Bien que les avis divergent concernant ce film et que la réception publique soit plutôt mitigée, il est clair que tout ce qui est présenté ici relève de l'art de l'image, de la mise en scène et du son, tout ces éléments portant totalement ce qui se déroule, faisant parti de ce cinéma plus sensitif que descriptif, jouant surtout sur le développement des sensations, et pas simplement en ce qui concerne l'effroi. La première chose qui saute aux yeux concernant l'accueil partagé de cette oeuvre, c'est évidement l'aspect marketing qui met en exergue que le genre visé est davantage l';horreur, ce qui est semble porter grandement préjudice puisque le public arrive avec un certain nombre d'attente qui y sont liés, et que cette direction semble complètement flouée par le simple fait que l'ambiance imposant un lente installation afin de distiller cette atmosphère stressante, l'aspect violent et trash met un certain temps à s'installer clairement, bien que cet élément du film est d'une très puissante force visuelle par sa qualité et son abnégation totale de la délicatesse, et c'est surtout à ces instants là que le genre de l'horreur brille le plus et peut se targuer d'offrir du gore de haut voltige, et souvent bien singulier, mais sans concession, et cela devrait avoir convaincu les amateurs du genre. Ainsi, le film se présente plus comme un moment de pure angoisse, et sous ce prisme là, l'ensemble se tient à merveille, car la tension monte vraiment efficacement, cela dès les premiers instants par une scène horrifique, mais davantage psychologiquement que visuellement, le tout dans un cadre de l';image et une ambiance très stylisé et maîtrisée, puis le déroulement de l'intrigue prend le relais de cette angoisse de plus en plus palpable, jusqu'à enfin tomber dans le trash bien plus visuel, rivalisant d'idées sadiques mais toujours fidèle à atmosphère qui se dégage. Car comme cela a été, à raison, commenté de nombreuses fois, la qualité majeur pour ce qui est du genre traité, c'est de parvenir à créer une tension plus que palpable en plein jour, quand l';horreur préfère les couleurs plus sombres, de lieux plus obscure afin de jouer sans cesse du « jump scare » ou autre techniques habituelles pour coller une frayeur au spectateur, sauf que dans ce film, tout est fait que la peur et l'angoissent proviennent avant tout de cet aura qui règne dans cette communauté, de cette sur-exposition lumineuse qui met encore plus en exergue l'horreur psychologique qui peut s'imposer dans l'entrée dans le village traditionnel. D'ailleurs, l'une des qualités de Ari ASTER en tant que réalisateur, c'est de placer son angle de vue et de construire son cadre à la même hauteur de regard des personnages, du moins quand il s'agit d'illustrer l'adaptation et l'intégration des rites et coutumes qui paraissent totalement hors-normes pour les héros venus de l'extérieur, mettant le spectateur dans la même position incompréhension ou de découverte, ressentant les mêmes questionnement et surtout la même frayeur, et bien que la volonté ne soit pas de décrire frontalement l'horreur de ce groupe, mais plutôt de manière à le ressentir, ainsi le simple fait d'utiliser une langue telle que le le suédois spoiler: sans systématiquement y apposer de sous-titres pour traduire leurs dires
    , cela exacerbe la sensation d';inconfort et de stresse quant à ce qui pourrait arrivé (puisque saisir ne serait-ce que quelques mots d'une langue totalement différente est loin d'être aisé), surtout que l'intrigue n'hésite à montrer de temps à autre la violence physique, un peu en guise d'avertissement, afin de remettre l'esprit dans le droit chemin. Et cette illustration de ce que représente l'endoctrinement est assez intéressante puisque le but est de ressentir dans ce film, et l'intrigue se déroule parfaitement dans ce sens, jusqu'à un final qui risque de laisser les plus bien-pensants sur le bord tellement ce qui conclue cette histoire paraît inconcevable, il n';en est pas moins évident que cela correspond totalement à ce que le personnage principal illustre depuis la première scène, d'autant plus que tout dans le film rappelle les sociétés marginales qui tombent dans l'esprit sectaire, et ici la communauté telle qu'elle est présenté laisse aucun doute sur leur enracinement traditionnel qui semble obsolète et donc inconcevable de se faire alpaguer l'esprit par leur façon de raisonner, et pourtant l'ambiance mise en oeuvre laisse totalement imaginer l'endoctrinement dans le sens le plus littéral, que ce soit comme déjà relevé par l';utilisation d'une langue peu entendue, donnant cette sensation de chants liturgiques mêlés aux incantations et notes musicales enivrantes, et créant une ambiance sonore assez unique qui participe grandement à la réussite esthétique de ce film (certain son semblent même totalement indépendant du film en lui même), sans oublier le travail effectué sur l'image, allant jusqu'à illustrer de manière assez inopinée les sensations troublées des protagonistes, jouant habillement de la fluidité et de la netteté de l'image, le tout de façon subtile (comme lors d'une scène de banquet spoiler: qui laisse perplexe sur ce que l'on pense voir se passer
    ) et même de façon subliminale lors d'une scène, et chacun de ses éléments techniques sont non seulement très maîtrisés et d'une qualité évidente, mais en donnant encore un peu plus de poids l'atmosphère malsaine qui se dégagent malgré la lumière immaculée que semble proposer ce tableau très esthétique. Question casting, seule l'héroïne sort réellement du lot, offrant d'une côte un angle d'attaque en ce qui concerne le scénario assez intéressant, du début à la fin, mais il faut avant tout reconnaître que c'est surtout son personnage et son développement qui restent les plus réussis, son interprétation laissant quelques fois à désirer, renvoyant trop facilement aux codes habituels des films mettant en scène un groupe d'amis confronté au pire, aspect que le réalisateur avait pourtant utilisé de manière intelligente en scindant l'intrigue en deux parties (illustré par ce passage spoiler: à travers une porte solaire pour entrer dans la communauté
    ) afin de passer à quelque chose de bien moins habituel concernant le style et le genre abordés, pour enfin se conclure de manière totalement originale. Mais ce n'est évidement pas la seule bonne idée pour ce qui est de l'imagerie générale, puisque le film est parsemé d'indices visuels sur la teneur à proprement parler du scénario, laissant de nombreux éléments dans le le flou mais sans jamais oublier d'y faire référence en arrière plan, aiguisant cette sensation d'être dans la peaux des protagonistes profanes, ne pouvant pas toujours intellectualiser ce qui se déroule, restant constamment dans le vague de ce qui se trame, mais ayant tout de même des pistes pour essayer d'appréhender la suite, le seul obstacle à ce but étant l'incapacité d'assembler de manière cohérente tout ce qui est présenté, et l'on comprend pourquoi dans les dernières moments du film, et de manière assez habile tout de même. Pour conclure, il est clair que l'ensemble de ce que montre ce film n'est pas destiné au cinéma du divertissement pur et dur (d'où cette erreur de vendre le film comme provenant du genre de l'horreur), toujours surtout un intérêt esthétique et parvenant avant tout à créer une ambiance très singulière et ainsi créer de véritables réactions sensorielles, tant par la peur que par l'incompréhension, pour finalement y dérouler les causes et conséquences de certains drames de la vie qui peuvent mener vers un tout autre genre de drame, et en regardant la réalité droit dans les yeux, à travers le prisme de cette communauté isolée mais soudée, donnant lieu à de vrai moment d'angoisse psychologiques, mais sans perdre de vue la volonté de porter ces différentes idées avant tout par l'esthétique et la construction de l'image, sans oublier d'utiliser différents mythes et légendes nordiques de manière claires et convaincantes afin de mettre en évidence certains aspects philosophiques, mais n'essayant pas d'imposer un mystère épais, plutôt une brume de méfiance pour y distiller toute la volonté d'un réalisateur qui aime mettre de lui dans son cinéma.
    Marc T.
    Marc T.

    270 abonnés 553 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 avril 2020
    Autant je n'avais pas du tout aimé le premier film d'Ari Aster, Hérédité, autant son Midsommar ne fléchit pas un instant et sait garder sa ligne de conduite. Et ce, sans ennui en plus, malgré une durée de 2H30. C'est terrifiant, angoissant, tout en étant classe à la fois, avec quelques touches de gore sans non plus sombrer dans l'excès. Sincèrement, après avoir lu certaines critiques négatives et après avoir visionné la bande annonce, j'y allais à reculons, sentant le film un peu barré façon tribu de hippies se shootant à la colle UHU toute la journée. Mais non ! Que nenni ! On ne peut même pas parler de secte non plus car il s'agit bel et bien d'un festival qui n'a lieu que tous les 90 ans et auquel les participants croient dur comme fer. Ils se contentent donc juste de respecter une tradition suédoise ancestrale, avec tout ce qu'elle a d'effrayante. La tension monte crescendo, une spirale infernale qui se termine comme on pouvait le pressentir, aucune surprise ou twist de dernière minute qui aurait été mal venu, ce que je salue.
    Obligeance française
    Obligeance française

    6 abonnés 200 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 avril 2020
    Baigné dans une luminosité éclatante, ce film d'horreur est d'une grande étrangeté et nous embarque dans une étrange communauté. La réalisation nous envoûte, l'atmosphère étrange (décors, photographie, costumes...) est bien retranscrite, les acteurs sont excellents (Florence Pugh très convaincante) et la bande son est envoûtante. La perte d'êtres chers, la crise conjugale, le besoin de tirer un trait sur le passé pour avancer, le besoin d'avoir une famille à ses côtés... Autant de thèmes dont cette œuvre tire toute son originalité. Un film d'horreur d'auteur qui nous propose une autre façon de faire un film de genre. Bravo.
    Tonton Twan
    Tonton Twan

    5 abonnés 192 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 avril 2020
    "Midsommar" ou " Tarte aux poils recette de l'amour".

    Enfin un film horrifique original qui et plein de lumière... ça change des traditionnels huis-clos glauques en milieu de la nuit avec des gars aux mines patibulaires et habillés de noir pour que tout te paraisse laid et que tu ne saches pas d'où vient le danger...
    Ici c'est tout l'inverse, ça se passe en été dans une région péri-artique où la nuit ne tombe plus... Les héros jeunes beaux et bêtes (mais américains) tombent dans une communauté pseudo hippie suédoise où tout le monde est en blanc, blond aux yeux bleus...et où il y a pas de vieux... Pour cause...

    Bref tout pourrait être pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles... Et c'est là que l'intrigue commence... Et on découvre très vite que ce festival de l'été ça craint un max quand tu n'es pas de la tribu...

    A voir absolument.
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