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Jonathan P
67 abonnés
395 critiques
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5,0
Publiée le 7 août 2019
Après un premier film impressionnant, Ari Aster continue sa route sur des chemins ou se mêle rêves et cauchemar. Éclatant de lumière et de virtuosité dans l’écriture. Astier est un compteur qui provoque et dérange comme avec » Hérédité ». Midsommar reste impressionnant dans les ruptures de rythme et le montage. L’enchaînement des séquences est d’une virtuosité sidérante. Le travail sur le cadre et sa profondeur est hallucinant. Ronger part le chagrin, on tournoie jusqu’au firmament. Refuge pour orphelin, élévation de la vie. Face à l’hérédité des cris, le feu ramène enfin à la vie. Florence Pugh est formidable, l’une des plus grandes prestations de l’année. Quant à Astier il est en passe de devenir notre terreur préférée.
Je sors de la séance et c'est une claque monumentale, un miracle de cinéma. C'est clairement un morceau brut et ahuri de septième art, le meilleur film de l'année… Croyez-le ou non, la réalisation est totalement sembable à celle de l'immense Kubrick. Cela m'a fait un bien fou de voir que le cinéma n'est pas mort.
Je n'interviens presque jamais pour donner des critiques (qui suis-je pour donner mon avis, de juger le travail des autres) Là je me suis senti escroqué. Film thriller, agoissant...Ah bon, où ça ? A part des gentils hippies qui se droguent (bon ok qui sont un peu fous aussi on y reviendra) Serieusement, à quel moment faut il avoir peur ? A quel moment on nous explique le pourquoi ? A quel moment les deux protagonistes principaux ne se barrent pas discrètement la nuit ? Et leurs potes ? . La première heure on installe l'ambiance, c'est trop long. Tout se devine à l'avance, et c'est lent, ça fait pas peur du tout, quel gachis.
Pourquoi on ne donne pas plus d'explication sur.... Le reste mes amis, c'est du spoiler spoiler: -La mort de jack, on dirait une momie, qu'est ce qui lui est arrivé ?
-Le heros entend la nana crier (alors que son copain est soit disant parti seul en pickup) et il bouge pas.
-La nuit tombée, la nana dort (somnifère) mais personne se barre
-Alors cette tarte à la viande, c'est leur pote ou pas ?
-C'est quoi ce poil de chatte trouvé dans la tourte (ça tombe sur lui...genre une chance sur 100)
Dommage que l'on puisse pas mettre 0 étoile.. Je crois que le film c'est tromper de catégorie !! C'est pas du tout un film d'horreur, des séances de '' Cul'' dans le film.... De l' humour mais pas du tout un film d'horreur.. L'acteur joue très mal sont rôle. 2h28 ou ont peux s'endormir facilement, ont est pas prit par le film.. Vraiement déçu çar la bande annonce reflète mieux que ça le film... Déçu !
Ok...Je viens de réaliser que le réalisateur avait produit « heredity »...Un film où tu ne comprends vraiment rien avec un final qui sort de nulle part...Là tu sais où tu vas mais à quel prix . Pourquoi rangent ils ce film dans la catégorie horreur ? À part la scène des chutes le reste se regarde en attendant un moment gore...Au final que dalle...Ce réalisateur doit avoir des problèmes au lit ; c’est comme si il n’osait pas aller jusqu’au bout...Financer un film comme les deux qu’il a produit pour ce résultat...C’est de l’argent foutu en l’air...
Alors que le précédent film d’horreur d’Ari Aster, “Hérédité” se déroulait dans un univers très sombre, “Midsommar” nous invite dans un village suédois très ensoleillé où tous les villageois sont habillés de blanc éclatant. Un couple rejoint des amis dans ce village qui célèbre un festival estival qui n’a lieu que tous les 90 ans. Ils découvrent les rituels de la communauté et de leur approche de la sérénité proche du mouvement des hippies. Au fil de leurs journées et des cérémonies, ils vont vite déchanter et faire face à un conte horrifique où les pratiques ne sont pas si enthousiasmantes. En plus d’être brillamment mis en scène et joué, il réside dans “Midsommar” une atmosphère anxiogène et troublante. Le cinéaste impose un style exotique tout parvenant à bousculer les codes du film d’horreur. D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
Deuxième film d’Ari Aster, Midsommar choisit la Suède pour nous dépayser dans un événement ayant lieu tous les quatre-vingt-dix ans en plein solstice d’été. La protagoniste Dani, incarnée par Florence Pugh (The Passenger), est à deux doigts de la dépression après d’étranges décès et son petit ami Christian, qui semble avoir du mal à prendre soin d’elle, décide de l’emmener avec des amis dans cet étrange village traditionnel aux allures sectaires qui se sentent à plusieurs kilomètres. Si le film met un certain temps à se mettre en place, la narration se veut assez prenante et on cherche à comprendre le fin mot de l’histoire dans cet étrange univers pseudo paradisiaque, où tout a de quoi angoisser.
Midsommar fait partie de ces films difficiles à définir. Loin d’être un film d’horreur, il s’agirait plutôt d’un thriller à tendance horrifique rappelant fortement la narration d’A cure for life, de Mother ! ou encore de l’épisode « Éternelle jeunesse » de la série animée Batman. Le banal côtoie le sublime dans un scénario avec une simple bande de jeunes qui semblent se morfondre dans une existence insouciante en fumant de l’herbe et en sniffant de la drogue. Will Poulter (Le Labyrinthe, The Revenant) y a un rôle particulièrement inutile tandis que spoiler: ce qu’il devient a de quoi effrayer tant l’image peut se montrer perturbante. Entre spoiler: sacrifices et connotations sexuelles de plus en plus marquées, le film vaut surtout pour ses images gores et choquantes qui ne peuvent qu’amener la perturbation de celui à qui elles sont soumises.
Je n'ai pas vu de pareil film depuis 2006, date de la sortie de Taxidermie, de Georgy Palfy. Moi, au cinéma, j'aime beaucoup grimper aux rideaux. Eros, Pathos, Thanatos : encore et toujours les mêmes sujets de base, comme j'ai pu l'écrire à l'époque lors de ma critique du film sorti en 2006, mais là, s'ajoute la notion de sacrifice pour une communauté et non pour l'art. Sans compter le paganisme et la relation d'une communauté avec sa propre régénérescence. C'est aussi, au vu de la vie personnelle du réalisateur, un très puissant film sur la fin d'un couple. Je n'en dirais pas plus pour préserver la surprise du futur spectateur, je dirais qu'il faut accepter d'être bousculé.
on ressort de la salle avec la même tête que la fille sur l'affiche tant le film plonge dans un gouffre de stupidité. Ceux qui disent que les gens qui n'ont pas aimé et qui mettent une mauvaise note à ce film sont "des attardés qui n'ont comme base horrifique que les annabelle, ouija, veronica etc..", je suis désolé mais pas du tout. Ce n'est pas parce que on a trouvé ce film débile, que on a comme base annabelle, loin de là ! Midsommar à le mérite d'être original certes, mais il faut quand même que ca tienne la route, et que ce soit cohérent. Ici le malaise n'est pas du tout bien apporté , on est même sur les nerf que ce qu'ils peuvent nous montrer [comme la scène de l'accouplement qui est sans doute la plus débile et qui n'apporte rien au film. Surtout que de base c'était que la rousse éprouvait des sentiments pour Christian , car elle lui a donné un filtre d'amour. Mais vu la suite, elle s'en fichait, et ça décrédibilise tout ] Il y a une différence entre le malaise et le ridicule.
Alors oui on ne peut pas contester au film son originalité et la qualité de son image mais... c’est à peu près tout et c’est bien cela le drame ! Scénario quasi inexistant, le film se perd très rapidement dans les méandres d’une communauté dont on ne sait plus très bien s’il cherche à la dénoncer ou se complaît à nous en décrire les rituels, tous de plus mauvais goût les uns que les autres ; ceci jusqu’à plus soif. On est aussi perdu que mal à l’aise devant cette succession de séquences aussi affligeantes qu'inintéressantes quand elles ne sont pas juste ridicules. Quant à la distribution, elle est aussi médiocre que les personnages manquent de consistance. Vraiment difficile de rester dans la salle jusqu’au bout. C’est à se demander comment quelques critiques ont pu crier au génie devant un scénario aussi mal construit ! Heureusement, le public, lui, ne s’y sera pas trompé et la sanction sera venue naturellement, des entrées en salles.
Attention OVNI cinématographique. Visuellement époustouflant, regorgeant de trouvailles, Midsommar nous prend par les tripes et nous livre une œuvre bluffante et terrifiante. Premier film à prouver qu'horreur ne rime pas avec : nuit noire, monstres, screamers... Soit vous adorerez, soit vous détesterez :)
Ce film me donnez vraiment envie à la bande annonce et trouvez le sujet super intéressant mais j’ai réellement était déçue ! - la catégorie horreur ou suspense n’a aucun sens - le film est plus que malaisant avec une scène de sexe qui dure une éternité ( le film ne devrait même pas être autorisé aux enfants/ ados de 12/14 ans ) et pas seulement. - la mort des personnages est absente on sait qu’ils sont mort mais de quelle manière allez savoir.. - un film qui tourne en rond, ennuyant, bâclé.. Seul point positif : de jolies tenues florales.. Passez votre chemin j’ai eu l’impression de perdre 2h30 de ma soirée..