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    Midsommar
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    MediaShow
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    126 abonnés 513 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 août 2019
    C'est un film d’épouvante très particulier. Et que l’on apprécie ou non le scénario, on ne pourra qu’être impressionner par la mise en scène percutante et qui réussit à se démarquer dans son registre, mais aussi par le casting qui est talentueux. Une belle expérience dans le registre de l’épouvante qui vaut le détour (interdit au moins de 16 ans, et non 12 ans à mon humble avis !)

    Mon avis (sans spoilers) ici ▶ http://tiny.cc/z2slaz - N'hésitez pas à jeter un oeil ! 😜👍
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 170 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 janvier 2020
    Ça va bientôt faire un an que j’ai vu « Hérédité » du même Ari Aster et je n’ai toujours rien écrit à son sujet. Pas que je n’ai pas aimé – bien au contraire – c’est juste que j’ai senti que j’avais besoin de le digérer.

    Eh bah – je vous le donne dans le mille – c’est clairement ce que je ressens également à la sortie de ce « Midsommar ».
    Même plaisir. Même sensation. Et même paralysie verbale au sortir de tout ça.

    Et c’est vrai que, d’un certain point de vue, je devrais peut-être me satisfaire de cette situation. Parce qu’après tout, n’est-ce pas la quintessence même d’une œuvre d’art que de ne savoir parler qu’au travers de ses propres outils ?
    « Midsommar » ça se voit. Ça se confronte. Ça s’expérimente.
    Car, au fond, les mots ne sont pas opérants sur des films comme celui-là.

    Cependant, d’un autre point de vue, chercher à fuir le commentaire, c’est aussi vouloir fuir l’exercice d’une analyse. Car après tout, quand on parle sur un film, ce n’est pas le film qu’on cherche à transformer et travestir en mots, mais bien plutôt son propre ressenti. Son approche de la chose.
    Or – vous me connaissez – bavard comme je suis avec mon clavier – j’entends bien me risquer malgré tout à parler de mon ressenti de ce « Midsommar » quitte à devoir peiner un peu.
    (Voire grandement.)

    Or, si je devais caresser ce que fut pour moi « Midsommar », je dirais d’abord que – comme « Hérédité » – il fut une séduction sensorielle.
    Ari Aster est doué. Il sait poser un cadre. Jouer avec la lumière et les reflets. Il adore mettre des miroirs un peu partout pour enrichir sans cesse son image. Pour que des détails nous échappent forcément. Et surtout pour nous prendre en traitre comme il aime si bien le faire. Le coup du reflet menaçant qui apparait derrière le protagoniste en danger, c’est quelque-chose qu’on a déjà fait cent fois et qu’Ari Aster fait à plusieurs reprises dans ce film.
    Mais bon, il le fait si bien. Donc comment lui reprocher ?...

    Dans la foulée de cette première idée, je dirais aussi que « Midsommar » c’est une lente descente aux enfers programmée.
    Personnellement, sitôt avait-on mis le pied en Suède au sein de cette communauté « du temple solaire » que j’avais déjà tout en tête.
    A chaque élément amené, de la rencontre des autres voyageurs anglais à l’ours dans sa cage en passant par le temple interdit, je me suis dit : « OK, je vois très bien ce qu’il va se passer. »
    Le déroulement de l’intrigue m’a donné raison. Aucune surprise donc. Et pourtant ça ne m’a posé aucun problème.
    Parce que les films d’Ari Aster sont ainsi faits.
    On sait qu’il est vain de lutter.
    On sait qu’à peine se retrouve-t-on dedans qu’il est déjà trop tard.
    Le simple fait d’avoir accepté de voir ça est déjà en soi un acte irréversible ; presque d’acceptation pleinement consentie à se laisser avaler par les abimes.

    Et ce serait d’ailleurs le dernier point que je retiendrais de ce « Midsommar ».
    Il est envoûtant.
    On sait où il nous emmène.
    On sait qu’on va voir des choses qui ne vont pas forcément nous plaire. Nous déstabiliser.
    Et pourtant on veut les voir quand-même.
    On accepte.
    On se résigne.
    C’est que, un peu comme dans « Hérédité », sombrer peut offrir un gain, alors que résister ne pourra qu’entrainer sa perte.
    Je trouve d’ailleurs assez saisissant comment Ari Aster arrive toujours à faire en sorte que la posture de son spectateur face au film corrobore à ce point à la posture des protagonistes face à la destinée qui leur est offerte.
    Ainsi il y a-t-il toujours quelque-chose de séduisant dans les pièges à âmes d’Ari Aster.
    Ici, dans « Midsommar », l’enfer a des allures de paradis.
    Il fait tout le temps jour et beau.
    De belles nymphes s’offrent aux voyageurs qui s’égarent.
    Les moments de douleur deviennent des chorégraphies partagées et se transforment presque en champs rituels.

    « Midsommar » au fond, c’est ça.
    Une échappatoire aux frustrations et aux douleurs qui nous avalent.
    La plupart s’y perdent. Et quelques-uns trouvent dans cette chute libre une forme d’équilibre nouveau.
    D’ailleurs – tout un symbole – rayonne au sein de cette plongée cathartique l’être au final le plus malmené psychologiquement. Florence Pugh y devient bien plus qu’une Reine de mai. Elle se révèle au contraire comme une actrice puissante que je ne me priverai pas de suivre avec intérêt dans les années à venir.

    Voilà donc pour ma part.
    Le temps est venu pour moi de vraiment me taire.
    Vous laisser voir « Midsommar ».
    Que vous puissiez goûter aussi à ses doux enfers.

    Mais bon… Après ça ne reste que mon point de vue. Donc si vous n’êtes pas d’accord et que vous voulez qu’on en discute, n’hésitez pas et venez me retrouver sur lhommegrenouille.over-blog.com. Parce que le débat, moi j’aime ça… ;-)
    Shephard69
    Shephard69

    287 abonnés 2 259 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 février 2020
    Dans la foulée de son retentissant "Hérédité" qui était, même si je l'ai énormément apprécié, un film d'épouvante à l'intrigue et à l'ambiance plutôt classiques, le réalisateur américain Ari Aster livre là l'archétype même d'une oeuvre clivante, aussi magistrale que déstabilisante, aussi puissante que complexe et métaphorique, un peu à la manière du film de Na Hong-jin "The strangers". Plutôt que dissimuler ses éléments surnaturels dans l'obscurité, ici le choix est fait, dans la lignée de ce qu'avait pu faire Stanley Kubrick avec son adaptation de "Shining", de tout éclairer d'une lumière crue et dure, presque aveuglante, ce qui n'empêche pas à l'ensemble d'offrir un scénario très mystérieux, accumulant les pistes pour se dévoiler au fur et à mesure. Un récit fleuve qui prend son temps pour développer sa trame mais qui n'évite pas certaines longueurs un peu pénibles. Une mise en scène remarquable, chargée de symbolisme pour une réflexion intéressante sur le thème déjà abordé dans son long-métrage précédent d'un culte sectaire, de ses dérives mais qui traite également de la barrière des langues, de la possibilité d'une communication au delà de telles limites par la danse, la gestuelle corporelle. Sous de faux airs féeriques et lumineux, un drame horrifique qui réserve des passages d'une violence tant physique que psychologique d'une sauvagerie presque insoutenable, terrible contrebalançant avec un rythme globalement lent. De bons acteurs que je découvre pour la plupart ici. Indéniablement une claque mais peut-être pas tout à fait le coup de coeur attendu.
    2985
    2985

    230 abonnés 936 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 octobre 2019
    Ari Aster reviens après le surcôté Hérédité, et nous revient cette fois avec Midsomar qui l'es tous autant. Déjà rien qu'à voir le nombre de nouveau compte créé spécialement pour mettre 5 étoiles et gonflé artificiellement la note, on comprend que ça a dû en frustrée plus d'un de voir leur chère film se faire descendre. Les pseudos connaisseur vous diront que c'est un certain style d'horreur psychologique malaisante, et qu'il faut avoir un certain recul pour cerner l'histoire et la finesse du scénario qui au passage pourrais tenir sur un post-it mais juste non il n'en es rien, arrêté de vous touchez pour si peu. Ari Aster n'invente, et ne révolutionne encore moins le genre. Compiler tous ce qui a déjà été fait avant dans le genre n'en font pas un chef-d'oeuvre pour autant. Des personnages qui font preuve d'une débilités profondes par moments avec des réactions aux situations qui ont de quoi interloqués, de beaux décors, de beaux plans mais les étirée plus que de raison est inutile à par servir à gonflé une duré artificielle, la lenteur du film n'es pas gênante, dommage qu'elle ne raconte pas grand chose au final, et qu'elle soit ponctué de scènes sois disant choquante pour maintenir de l'intérêt, ce qui était d'ailleurs déjà le procédé d' Hérédité. De plus ces scènes ‘‘choques'' qui pour le coup ne sont vraiment pas nombreuses pour un film de 2h30, ne le sont pas tans que ça dans la mesure où cela a déjà été vue et traité dans d'autres œuvres, le suicide, l'exécution, l'inceste, consanguinité...comme dis plus haut en faire une compile best-of ne le rend pas unique, seul le fait d'aborder le folklore suédois sort de l'originalité car même le côté secte est déjà vue, quiconque a une culture cinématographique même minime s'en rendra un minimum compte, perso cela fait plus de 30ans que je vais au cinéma et cela saute aux yeux. Après le tous est plutôt bien réalisé d'un point de vue technique mais sa s'arrête là. Dommage car le côté sectaire, moeurs païennes est toujours intéressants mais ici il ne l'es pas plus qu'ailleurs, rien que The wickers man de 73 faisait aussi bien. Non Midsomar n'es pas un flocon de neige unique et merveilleux.
    Adelme d'Otrante
    Adelme d'Otrante

    151 abonnés 1 030 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 3 août 2019
    Après avoir débuté brillamment avec Hérédité l'année passée Ari Aster enfonce définitivement le clou avec ce film, certainement l'un des meilleurs thriller horrifique de ces dernières année et acte de naissance d'un grand cinéaste. Film éprouvant, trip hallucinatoire ou la dépression et le deuil copulent sous un soleil qui ne se couche jamais avec la folie et le sectarisme. Magnifiquement filmée et interprétée cette œuvre multi-thématique puise dans le paganisme nordique pour instiller dans nos esprits le venin qu'elle porte en son sein avec une fausse langueur. Et laisse le spectateur KO bien longtemps après la fin de la séance. Un excellent film de genre. Un excellent film tout court.
    Hammerstorm
    Hammerstorm

    63 abonnés 600 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 décembre 2019
    Midsommar est une des bonnes surprises de l'année. Ce film tente le pari audacieux de faire un film d'horreur qui se déroule en plein jour et c'est réussi. L'ambiance est étrange voir assez glaçante. Dès les premières minutes du film l'ambiance est assez oppressante et ce sentiment ne va faire que s'accentuer jusqu'au bout du film jusqu'au climax. Dans ce film on baigne en pleine mythologie nordique et évidemment, film d'horreur oblige, c'est très caricatural à l'instar de ces films ayant comme sujet les sectes. Mais malgré ça, le jeu des acteurs est très bon, la mise en scène est de bonne qualité et toutes les scènes chocs fonctionnent. On regrettera une fin assez expéditive, un changement dans le comportement de certains personnages un peu rapide et quelques facilités scénaristiques mineures mais nécessaire pour faire avancer l'histoire. Toutefois l'ensemble est très convaincant. Très bon film.
    FlecheDeFer ..
    FlecheDeFer ..

    39 abonnés 375 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 août 2019
    Ce film a à peu près les mêmes qualités et défauts que son prédécesseur: comme dans Hérédité, l'ambiance est très réussie, on est loin des gros bourrinages habituels dans les films d'horreur, le malaise est installé brillamment par petites touches subtiles, la réalisation est très belle, le jeu sur les couleurs est parfaitement adapté au propos, le réalisateur ose prendre son temps pour installer son film et captiver le spectateur, et en plus cette fois-ci le sujet est original pour le genre. Mais malheureusement, et tout comme Hérédité une fois encore, c'est le le scénario qui coince, principalement dans sa dernière partie, spoiler: où on espère vainement quelque chose de spécial, un peu de piment, une surprise, mais au final il faut juste se rendre à l'évidence que tous ces gens sont juste une belle brochette de tarés,
    et rien d'autre, ce qui fait que l'on finit par avoir l'impression que la lenteur du film sert aussi à cacher le fait que l'on étire le peu que l'on a à raconter. De plus, les héros sont plutôt limités intellectuellement et n'agissent pas de façon réaliste, tant il est vrai qu'ils sont du début à la fin d'une naïveté confondante par rapport à ce qui se passe, ce qui devient un poil agaçant à force parce que ça donne l'impression que le réalisateur a voulu se simplifier la vie pour son scénario avec des personnages dociles. Au final, un bon moment, un vrai exercice de style, mais qui m'a quand même semblé inachevé.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 4 août 2019
    Très belle photo pour un film absolument creux. Une suite de clichés sans surprises doublé de longueurs, quel ennui!
    Greg A.
    Greg A.

    43 abonnés 455 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 août 2019
    Midsommar est sans aucun doute l'ovni cinématographique de cette été 2019 ; un film à la réalisation saisissante et à l'atmosphère hypnotique qui ne laissera pas indifférent , et malgré son rythme lent et linéaire engendrant certaines longueurs qui peuvent en laisser plus d'un sur le côté , le réalisateur d'hérédité montre une nouvelle fois son potentiel dans un cinéma très particulier et difficilement accessible .. un cinéma dérangeant qui fascine autant qu'il ne dérange mais qui reste pour le moins intéressant et qu'on a envie d'encourager malgré des défauts à corriger pour une suite de carrière très prometteuse . Ma note : 15/20
    romano31
    romano31

    247 abonnés 1 543 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 février 2020
    Vu directement en version longue, Midsommar est un film qui ne laisse pas indifférent. Après le superbe Hérédité, Ari Aster signe avec Midsommar un film hypnotisant, esthétiquement magnifique et dérangeant. J'ai beaucoup de mal à dire que ce film est un film d'horreur. Pour moi, c'est un drame. Un drame qui parle de mort et de communautarisme sectaire. Je n'ai pas vu passer les quasi trois heures de film car Midsommar vous captive à travers sa magnifique mise en scène, son ambiance et ses scènes qui sont parfois sublimes et parfois choquantes. Florence Pugh livre une très belle prestation, les décors et costumes sont superbes et la musique finit d'instaurer une ambiance malsaine. Midsommar est moins facile à appréhender que Hérédité et c'est un film qui divise c'est une évidence. Ceci étant, je trouve que pour son deuxième film, Ari Aster a fait une nouvelle fois de l'excellent travail et même si j'ai préféré Hérédité à Midsommar (bien que les deux films soient totalement différents), force est de constater que ce dernier a des qualités indéniables et est d'une maîtrise affolante. Un très bon film donc et Ari Aster est définitivement un réalisateur à suivre.
    apotheme
    apotheme

    104 abonnés 2 022 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 avril 2020
    Midsommar est un film classé horreur de prt quelques scènes mais il aurait été inclassable s'il on le mettait pas dans cette catégorie tant ce film est particulier de part son histoire qui tourne autour d'une secte mais dont le scénario est malsain et nous transporte dans un film qui nous laisse pas indifférent.
    Film très spécial et un peu trop long.
    Jean-Pierre Jumez
    Jean-Pierre Jumez

    86 abonnés 222 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 31 juillet 2019
    J'ai horreur des films d'horreur.
    Mais celui-ci est vraiment spécial : la réalisation atteint la perfection, avec une actrice criante de vérité, un son merveilleusement spatialisé, Des costumes magnifiques, des décors sublimes.
    Le scénario est extrêmement fouillé. C'est une partition qui comporte plusieurs portées.
    Mon fauteuil ne s'est même pas rendu compte que j'étais posée dessus !
    rétablir l
    rétablir l

    2 abonnés 19 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 novembre 2019
    Énormément déçu du réalisateur d'Hérédité...après un premier film magistral et encore dans les mémoires, on retrouve avec ce deuxième film les mêmes codes, la même mise en scène mais cette fois-ci de façon outrancière, prévisible et surtout agaçante....les acteurs sont insupportable de conneries contrairement à Hérédité et le réalisateur s'essouffle à vouloir trop en faire...une phrase résume bien ce film : tout ça pour ça - 2,5/5
    pietro bucca
    pietro bucca

    54 abonnés 1 209 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 mai 2020
    Un film ou il règne une ambiance vraiment étrange et mystique. Bon, on comprend bien assez vite, que dans ce groupe sectaire, il y a comme quelque chose de malsain, aussi gentils soient-ils tous, au premier abord. Donc le film attire réellement une sacrée curiosité. je peux meme dire que je me le suis ressassé le lendemain, ce qui est assez positive, quand un film a tendance a etre dérangeant. L'histoire est plaisante et le film interessant malgré une ou deux petites longueurs. Un peu eu du mal sur la façon de filmer en quelques occasions, qui donne un coté quelque peu lunaire, voir "perché".
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 5 août 2019
    Grosse déception.. Ce film ne tient aucune promesse, ce n'est pas un film d'horreur... Le scénario est rapidement prévisible.. De belles images et quelques mises en scènes originales ne suffisent pas enlever l'impression que ce film est un challenge raté : celui de vouloir faire un film d'épouvante tout en inversant les codes du genre (il fait jour non stop, les méchants blonds aux yeux bleus, OK, mais ca ne marche pas)
    En un mot : Décevant
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