Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
27 critiques presse
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Un cinéma malade, morbide et d'une richesse colossale.
Culturopoing.com
par Olivier Rossignot et Vincent Nicolet
Extraordinaire représentation de la dépression et formidable film d’horreur […] "Midsommar" fait bien mieux que tenir ses promesses, on en ressort extatique avec la ferme conviction d’avoir, en à peine plus d’un an, assisté à minima, à la naissance d’un grand cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par Geoffrey Crété
Après "Hérédité", Ari Aster passe une vitesse avec "Midsommar", cauchemar aveuglant d'une richesse étourdissante et d'une maîtrise folle. Un petit tour de force faussement simple, et un poison lent destiné à hanter vos jours et vos nuits.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Point
par David Mikanowski
Digne héritier de The Wicker Man (Le Dieu d'osier en VF), un film culte de 1973 avec Christopher Lee situé dans les Hébrides, sur une petite île au sud de la mer d'Écosse, Midsommar est sûrement l'un des meilleurs films d'horreur folk (« folk horror film ») jamais tournés.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par La rédaction
Après "Hérédité", Ari Asher confirme son talent avec cet insaisissable thriller psychologique, d’une richesse thématique débordante.
Les Inrockuptibles
par Léo Moser
Objet filmique non identifié, et trip hallucinatoire envoûtant, "Midsommar" fait l'effet d'une petite bombe dans le paysage formaté du cinéma d'horreur contemporain, et acte, un an après la sortie d'"Hérédité", la montée en puissance de son réalisateur prodige, mais aussi de son actrice principale.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Mad Movies
par Jean-Baptiste Herment
[...] Aster y fait preuve d'une maîtrise du cadre, de la direction d'acteur et la narration qui rappelle un certain... Stanley Kubrick.
Voici
par Daniel Blois
Un brillant drame d'épouvante.
20 Minutes
par Caroline Vié
L’angoisse et le gore sont au rendez-vous dans ce conte terrifiant et dérangeant.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par Jean-Sébastien Chauvin
Midsommar confirme le talent de son auteur, l’une des meilleures nouvelles qui soit arrivée au cinéma américain récent.
L'Ecran Fantastique
par Cédric Coppola
[...] une oeuvre marquante, qui impose définitivement son auteur trentenaire comme l'un des nouveaux maîtres du genre, à l'instar de Jordan Peele et David Gordon Green.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un film d’épouvante au scénario, à l’atmosphère et au décor assez originaux.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Avec Midsommar, le réalisateur américain Ari Aster plonge dans une secte et distille l’horreur lentement. Très efficace.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Ce récit initiatique, rythmé par une musique traditionnelle voire incantatoire, prend son temps pour installer une atmosphère inquiétante mais envoûtante, monte progressivement en intensité en égrenant quelques images choquantes, et inoubliables.
Le Journal du Geek
par La Rédaction
A mille lieues du film d’horreur trash dopé aux jump-scares et au gore gratuit, Ari Aster livre un film profondément dérangeant, perturbant d’efficacité.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Libération
par Léo Soesanto
La désorientation est grisante, longue montée vers un finale où il est permis de frissonner et de ricaner en même temps face à la manière dont le cinéaste déjoue et assouvit les soifs d’intimité et d’empathie de ses protagonistes.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Frédéric Foubert
Aster provoque une joie de cinéma immense, monstrueuse, à coups de chocs visuels glaçants, dérangeants, souvent nourris d’un humour tordu et pince-sans-rire. C’est vraiment très brillant – dans tous les sens du terme.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
A cheval entre le fantastique et l’anthropologie, Midsommar décrit avec brio la mécanique monstrueuse de l’embrigadement sectaire. Fort et anxiogène.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
BIBA
par Lili Yubari
Si vous avez l'estomac (et un couple) bien accroché...
Le Monde
par Jean-François Rauger
On passe du naturalisme narratif du genre à une odyssée intérieure au coeur d’un univers fait de purs symboles, un univers qui aurait remplacé le monde réel par une hallucination. A un authentique art fantastique.
Le Parisien
par La Rédaction
Plus ramassé, avec au moins une demi-heure en moins, « Midsommar » aurait été beaucoup plus percutant, et aurait peut-être pu prétendre au statut culte de « The Wicker man », film britannique de 1973 au sujet quelque peu similaire.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télé Loisirs
par Thomas Colpaert
La description des coutumes ancestrales est parfois longue mais le réalisateur d'"Hérédité" sait instaurer une ambiance tendue, avec des scènes chocs marquantes.
Télérama
par Frédéric Strauss
Si les bizarreries du scénario ne passionnent pas, la folie visuelle, en revanche, impressionne : Midsommar est un objet arty qui vaut le coup d’œil.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Josué Morel
Le mystère que ménage le film se révèle indissociable d’une entreprise de séduction.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Positif
par Philippe Rouyer
Pour chaque situation, il suffit d'imaginer le pire et l'on connaît par avance le dénouement de la scène puisque nul grain de sable, nulle résistance ne vient jamais gripper le jeu de massacre. Tant de naïveté dans la conception de la dramaturgie ne peut que gâcher notre plaisir.
L'Obs
par François Forestier
C’est beau, c’est soigné, c’est détestable. D’abord, parce que le film dure, et n’en finit pas. Ensuite, parce qu’on devine les calamités avant qu’elles n’arrivent et avant les personnages, qui sont de vrais cons.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par La rédaction
On nous dit que c'est le meilleur film de l'année, alors que c'est d'une platitude écrasante.
CinemaTeaser
Un cinéma malade, morbide et d'une richesse colossale.
Culturopoing.com
Extraordinaire représentation de la dépression et formidable film d’horreur […] "Midsommar" fait bien mieux que tenir ses promesses, on en ressort extatique avec la ferme conviction d’avoir, en à peine plus d’un an, assisté à minima, à la naissance d’un grand cinéaste.
Ecran Large
Après "Hérédité", Ari Aster passe une vitesse avec "Midsommar", cauchemar aveuglant d'une richesse étourdissante et d'une maîtrise folle. Un petit tour de force faussement simple, et un poison lent destiné à hanter vos jours et vos nuits.
Le Point
Digne héritier de The Wicker Man (Le Dieu d'osier en VF), un film culte de 1973 avec Christopher Lee situé dans les Hébrides, sur une petite île au sud de la mer d'Écosse, Midsommar est sûrement l'un des meilleurs films d'horreur folk (« folk horror film ») jamais tournés.
Les Fiches du Cinéma
Après "Hérédité", Ari Asher confirme son talent avec cet insaisissable thriller psychologique, d’une richesse thématique débordante.
Les Inrockuptibles
Objet filmique non identifié, et trip hallucinatoire envoûtant, "Midsommar" fait l'effet d'une petite bombe dans le paysage formaté du cinéma d'horreur contemporain, et acte, un an après la sortie d'"Hérédité", la montée en puissance de son réalisateur prodige, mais aussi de son actrice principale.
Mad Movies
[...] Aster y fait preuve d'une maîtrise du cadre, de la direction d'acteur et la narration qui rappelle un certain... Stanley Kubrick.
Voici
Un brillant drame d'épouvante.
20 Minutes
L’angoisse et le gore sont au rendez-vous dans ce conte terrifiant et dérangeant.
Cahiers du Cinéma
Midsommar confirme le talent de son auteur, l’une des meilleures nouvelles qui soit arrivée au cinéma américain récent.
L'Ecran Fantastique
[...] une oeuvre marquante, qui impose définitivement son auteur trentenaire comme l'un des nouveaux maîtres du genre, à l'instar de Jordan Peele et David Gordon Green.
Le Dauphiné Libéré
Un film d’épouvante au scénario, à l’atmosphère et au décor assez originaux.
Le Figaro
Avec Midsommar, le réalisateur américain Ari Aster plonge dans une secte et distille l’horreur lentement. Très efficace.
Le Journal du Dimanche
Ce récit initiatique, rythmé par une musique traditionnelle voire incantatoire, prend son temps pour installer une atmosphère inquiétante mais envoûtante, monte progressivement en intensité en égrenant quelques images choquantes, et inoubliables.
Le Journal du Geek
A mille lieues du film d’horreur trash dopé aux jump-scares et au gore gratuit, Ari Aster livre un film profondément dérangeant, perturbant d’efficacité.
Libération
La désorientation est grisante, longue montée vers un finale où il est permis de frissonner et de ricaner en même temps face à la manière dont le cinéaste déjoue et assouvit les soifs d’intimité et d’empathie de ses protagonistes.
Première
Aster provoque une joie de cinéma immense, monstrueuse, à coups de chocs visuels glaçants, dérangeants, souvent nourris d’un humour tordu et pince-sans-rire. C’est vraiment très brillant – dans tous les sens du terme.
aVoir-aLire.com
A cheval entre le fantastique et l’anthropologie, Midsommar décrit avec brio la mécanique monstrueuse de l’embrigadement sectaire. Fort et anxiogène.
BIBA
Si vous avez l'estomac (et un couple) bien accroché...
Le Monde
On passe du naturalisme narratif du genre à une odyssée intérieure au coeur d’un univers fait de purs symboles, un univers qui aurait remplacé le monde réel par une hallucination. A un authentique art fantastique.
Le Parisien
Plus ramassé, avec au moins une demi-heure en moins, « Midsommar » aurait été beaucoup plus percutant, et aurait peut-être pu prétendre au statut culte de « The Wicker man », film britannique de 1973 au sujet quelque peu similaire.
Télé Loisirs
La description des coutumes ancestrales est parfois longue mais le réalisateur d'"Hérédité" sait instaurer une ambiance tendue, avec des scènes chocs marquantes.
Télérama
Si les bizarreries du scénario ne passionnent pas, la folie visuelle, en revanche, impressionne : Midsommar est un objet arty qui vaut le coup d’œil.
Critikat.com
Le mystère que ménage le film se révèle indissociable d’une entreprise de séduction.
Positif
Pour chaque situation, il suffit d'imaginer le pire et l'on connaît par avance le dénouement de la scène puisque nul grain de sable, nulle résistance ne vient jamais gripper le jeu de massacre. Tant de naïveté dans la conception de la dramaturgie ne peut que gâcher notre plaisir.
L'Obs
C’est beau, c’est soigné, c’est détestable. D’abord, parce que le film dure, et n’en finit pas. Ensuite, parce qu’on devine les calamités avant qu’elles n’arrivent et avant les personnages, qui sont de vrais cons.
La Septième Obsession
On nous dit que c'est le meilleur film de l'année, alors que c'est d'une platitude écrasante.