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    Roubaix, une lumière
    Note moyenne
    3,6
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    323 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 11 janvier 2020
    Acteurs pas du tout crédible, en particulier le lieutenant qui ne parvient pas à nous convaincre en tant que flic.... Bref j'ai eu du mal à regarder tellement c'était mal joué
    defleppard
    defleppard

    394 abonnés 3 393 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 janvier 2020
    Intrigue assez mince, qui se laisse voir dû à une réalisation de qualité..... 3 étoiles....!!!!!!!!!!!
    montag M.
    montag M.

    2 abonnés 34 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 9 janvier 2020
    Imprégné d'une atmosphère à la fois soporifique et plombante, comme un ciel bâché, ce film ne se dégage pas, ou plutôt ne dégage rien. Roschdy Zem dans son calme olympien apparaît comme un intrus parmi une bande flics surexcités, et malgré un indéniable talent, Léa Seydoux « déguisée » en pauvre fille, ne parvient pas à nous faire oublier l'égérie de Vuitton. Du coup, l'émotion ne parvient pas à éclore d'une histoire noyée au cœur d'un climat social pourtant tragique.
    Kubrock68
    Kubrock68

    42 abonnés 1 282 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 janvier 2020
    La vie d'un commissariat à Roubaix de nos jours. Voilà un film réaliste et fin. Nous ne sommes pas dans le documentaire, le cinéaste rentre dans la vie et psyché des personnages. Le personnage le plus intéressant c'est le commissaire, Roschdy Zem m'a toujours fait pensé à Lino Ventura, ce qui est un très grand compliment pour moi. Chaque personnage est parfaitement incarné. Du commissaire humain (certains psychologues pourraient ici prendre des cours) au flic chrétien, en passant par le couple de paumées lesbiennes. Du grand cinéma de genre et d'atmosphère.
    laura c
    laura c

    9 abonnés 148 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 janvier 2020
    Le film relate en fait, la vie d'un commissariat de Roubaix avec différentes enquêtes simultanées. Une enquête prédomine. Le film est artistique avec une belle ambiance mais on attendrait un peu plus de suspense.
    Madjet L
    Madjet L

    4 abonnés 131 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 janvier 2020
    Ce qui est intéressant dans le polar Roubaix une lumière, c'est qu'il y a plusieurs enquêtes en même temps. Sans jamais dérouter le spectateur, plusieurs faits divers se produisent pour présenter Roubaix, le commissaire de police et son équipe et l'enquête principale introduit dans un contexte très réaliste et très crédible. C'est un film où il n'y a pas de temps mort et où Roubaix en devient fascinante. Roschdy Zem est la grosse force de ce film, un commissaire réservé, perspicace et intelligent.. Sara Forestier et Lea Seydoux ont également une bonne prestation. Dommage que Antoine Reinartz soit un peu trop sociable dans son jeu, au point de l'assimiler à un professeur qu'un véritable officier de police. Le film a également beaucoup de faux raccords. Pour le reste la lumière est faite sur ce Roubaix.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    710 abonnés 3 093 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 janvier 2020
    La lumière de la ville est orange, comme encore sous le feu des conflits intestinaux qui la gangrènent autant qu’ils creusent sur son visage des sillons dans lesquelles s’enfouissent amitiés et âpretés, enfance heureuse et présent plus douloureux. Le visage de Roubaix est double : c’est la frénésie d’un quotidien marqué par l’insécurité et la violence, c’est la tranquillité qu’affirme le commissaire Daoud, refusant de céder à la colère, à la panique, au désespoir. Ainsi, Arnaud Desplechin intériorise le feu d’une ville, le loge au plus profond de ce corps massif qui déambule avec la légèreté d’un esprit supérieur : il rentre partout, connaît tout le monde, réussit à mêler autorité et sympathie, si bien que sa fonction républicaine se double d’une fonction plus religieuse, quasi mystique, celle qui consiste à ramener les êtres déboussolés dans le droit chemin, le chemin d’une vérité qui n’est pas innée mais qui résulte d’une construction avant tout individuelle à partir d’un conflit, d’un corps-à-corps entre la vie et la loi. Voir Daoud ouvrir le Code Pénal et en présenter un article au fraudeur, c’est assister à une scène de jugement entre un prêtre indiquant à son fils pécheur le verset à lire pour comprendre son erreur et mieux se comporter par la suite. Le poste de police est une église qui accueille les égarés, une école qui éduque les populations, une institution républicaine qui réunit sous le drapeau français différentes origines, différentes cultures, différentes langues. Voilà pourquoi la ville la plus pauvre de France devient le conservatoire d’une lumière : il n’y a que par l’erreur en jugement et en acte que l’individu éprouve la loi, s’éprouve lui-même, prend conscience de ses limites et de ses zones d’ombre. Entre deux prières adressées à Dieu, Louis avoue supporter difficilement la misère environnante, ce à quoi le commissaire répond que la misère importe peu, qu’elle ne doit pas être le centre des préoccupations. Car là où se trouve la misère se décuplent les perspectives de rachat de l’homme, et donc de Salut. En choisissant la lumière pour aborder la détresse, Arnaud Desplechin donne naissance à une œuvre irradieuse qui laisse pénétrer ses rayons d’art et d’espoir dans les maisons de brique rouge aux portes habituellement closes, dans les cœurs et les âmes de celles et ceux qui vont et viennent, qui attisent ce feu central dont la fumée s’élève, comme un encens, vers le ciel.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 5 janvier 2020
    Un fait divers banal rendu fascinant par le jeu des acteurs. Enormes performances de Léa Seydoux et surtout Sarah Forestier. Chaque personnage est bien travaillé, sculpté...
    Le film est cependant peut être encore un peu trop esthétique, cela pourrait être encore plus brut, plus épuré.
    Cela reste tout de même un chef d'oeuvre
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 5 janvier 2020
    l'histoire de cet horrible drame on la connait..le film ma complètement déçus ses 2 jeune femmes complètement a la ramasse au quel on donne un peut trop d'humanité a mon gout ..( spoiler: l'inspecteur viens discuter dans leur cellules leur rappelant leur parcoure kaotique comme si ceci explique cela ....avec des pleures svp les pauvre filles
    )

    coté acteur,Philippe Duquesne,Léa Seydoux,mais aussi Roschdy Zem joue très bien leur rôles !
    sauf que dans la réalité(reportage que j'ai vu ) l'inspecteur était un peut moins gentil avec les parents de la jeune fille fugueuse ...! ajouter a cela des enquêteurs qui blagues avec un potentielle suspect un peut trop a laisse durant sont audition sur une affaire dit sérieuse.. on ne le croirez pas !!
    Là ou c'est une catastrophe,le film et bourré d'erreurs de caricature et de faux raccord c'est malheureusement souvent le cas pour les films français ... beaucoup trop de gros plans sur les visage, l'inspecteur questionne la prévenu il est débout puis ce retrouve assis a ses coté ... il prend une photos avec sont téléphone portable de la jeune fille tout en lui parlant, puis le téléphone a disparue en une fraction de seconde ..ajouter a cela une policière en manche courte bourré de tatouages sur les brans (les fait ce sont déroulé en 2002 le tatouage est autorisé depuis 2018 dans la police mais doivent être masqué) dame d'un certains ages d'origine maghrébine parlant ch'tis ...ché n'in m'y il est Ou !! bref la liste est trop longues ! de plus le film manque de rythme ..La ville est complément zappé ou ne voix rien ou très très peut !!
    Apleupleu
    Apleupleu

    8 abonnés 47 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 14 janvier 2020
    Attention il y a un gros mensonge sur l'affiche. N'y allez pas pour le polar ,car aucun suspens , n'y allez pas pour la peinture juste d'un commissariat d'une ville à problème ,ça sonne faux à tous les plans.N''y allez pas pour l'histoire ,c'est creux et mal ficelé (on comprend pas comment le commissaire comprend). Vous pouvez eventuellement y aller pour la performance de sarah forestier.
    steely_dan_76
    steely_dan_76

    15 abonnés 342 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 janvier 2020
    La vie d'un commissariat à Roubaix traitée de manière simple... au jour le jour. Ce film vaut pour son ambiance et, surtout, pour une performance d'actrices de la part de Léa et Sarah .... elles sont énormes !!!
    paprikadefrance
    paprikadefrance

    1 abonné 18 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 janvier 2020
    Malgré quelques maladresses sur le déroulement de l’enquête, Arnaud Desplechin réussit à restitué l’ambiance sombre d'un quartier de Roubaix, Sara Forestier montre son talent vraiment évident grâce au personnage qu'elle joue avec justesse et réel engagement. Voilà un bon film avec de bons acteurs bien réalisé et agréable à voir.
    brunocinoche
    brunocinoche

    98 abonnés 1 108 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 janvier 2020
    Desplechin, attaché à la ville de Roubaix, s'est inspiré d'un fait divers sordide pour tourner ce polar psychologique poisseux. Malgré une superbe photo, c'est bien la misère qui ressort de cette ambiance. L'intrigue importe peu, seuls les personnages intéressent le cinéaste. Les flics déjà, aux méthodes bien différentes et puis les deux suspectes, capables du pire pour si peu. Sarah Forestier et Lea Seydoux qui les incarnent sont impressionnantes et leur prestation est l'atout majeur de ce film sans concession.
    Wasapat
    Wasapat

    24 abonnés 116 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 janvier 2020
    on peut largement se passer de le voir c 'est loin de casser 3 pattes à un canard à la limite c 'est bien joué mais c est tout
    réservé à un public bien ciblé étant adepte des programme de France 3
    FaRem
    FaRem

    8 871 abonnés 9 665 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 janvier 2020
    "Roubaix, une lumière" est un polar sur fond de drame social. On reconnait immédiatement les codes du polar tandis que l'histoire, qui se déroule à Roubaix dans l'une des villes les plus pauvres de France, évoque tous les problèmes sociaux présents dans cette ville. Arnaud Desplechin dépeint cette ville comme un endroit où il n'y a plus d'espoir. Lors des premières minutes, on a même l'impression que c'est un endroit créé de toute pièce et que le récit ne se déroule même pas de nos jours, car tout ce qui est montré est sombre et limite apocalyptique. En terme d'ambiance, le réalisateur a fait du très bon travail tant au niveau des lumières que de l'atmosphère ou la photographie. L'immersion dans ce milieu est efficace, ce qui rend l'histoire captivante dès les premières minutes. Je pense que le style du film et son ambiance sont ce qui m'a le plus intéressé, bien plus que l'histoire qui est tout de même pas mal. Si l'histoire n'est pas exceptionnelle, c'est parce qu'elle est prévisible. Il suffit de voir le casting pour comprendre... Pour autant, elle se laisse suivre avec intérêt jusqu'au bout même s'il y a quelques longueurs. À mon sens, le film est un peu trop long surtout lors de la première partie. Comme je l'ai dit, il n'y a aucun rebondissement, donc les dernières minutes semblent un peu longues. Adapté du documentaire de Mosco Boucault "Roubaix, commissariat central, affaires courantes", Arnaud Desplechin signe un film plaisant qui vaut surtout pour son ambiance et ses excellents acteurs.
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