Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
37 critiques presse
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Arnaud Desplechin n’a pas inventé Roschdy Zem comme acteur. Mais il l’a inventé comme grand acteur. Roschdy Zem n’a jamais aussi bien joué, force tragique tranquille.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Il y a fort à parier que ce film restera un grand classique du polar. Roschdy Zem est d’un magnétisme incroyable, et Léa Seydoux surprend. Respect !
L'Humanité
par Sophie Joubert
Avec cette œuvre fiévreuse, Arnaud Desplechin lui offre un de ses meilleurs rôles et transcende le polar classique pour sonder les abîmes de l’être humain.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
C’est le vertige et le paradoxe du film : le réel s’y impose d’abord violemment, mais il se réenvoûte de l’intérieur et se met inexplicablement à parler le Desplechin, à ressembler à un monde écrit par lui.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Marcos Uzal
Loin d’opérer une rupture, les dialogues réels de "Roubaix, une lumière" sont polis par la mise en scène et par le travail des acteurs (tous formidables), jusqu’à atteindre une intensité théâtrale et une densité romanesque que le documentaire initial ne contenait qu’à l’état brut.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Gilles Kerdreux
C'est sobre et pourtant captivant de bout en bout.
Transfuge
par Jean-Christophe Ferrari et Vincent Jaury
[...] un grand thriller social.
Bande à part
par Anne-Claire Cieutat
Dans "Roubaix, une lumière", polar à l’efficacité métronomique, Arnaud Desplechin filme les noces de l’ombre et de la lumière, et sonde l’espace mystérieux où l’humain et l’inhumain se côtoient.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Critikat.com
par Corentin Lê
Si Arnaud Desplechin ne démord toujours pas de son volontarisme romanesque, il semble avoir trouvé ici un contrepoint à même de rééquilibrer son cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Elle
par Françoise Delbecq
Une enquête sur le meurtre d'une vieille dame, auquel des voisines (formidables Léa Seydoux et Sara Forestier) pourraient être mêlées. Le réalisateur les traite avec une infinie douceur, comme si leur parcours semé d'embûches les excusait de tout.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Estampillé réalisateur de films d’auteur, Arnaud Desplechin réussit son passage au cinéma de genre, tout en lui apportant sa touche unique. Beau film.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Eric Libiot
Les lieux, les gestes, les mots, les corps prennent plus d'importance que l'enquête elle-même, et ce parti pris donnent au film toute son intensité.
La Croix
par Céline Rouden
Nimbé de la lumière de son titre, le film est bouleversant d’humanité, reposant en grande partie sur la faculté d’incarnation de ses acteurs, et notamment du tandem formé par Léa Seydoux et Sara Forestier.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Reparti bredouille du Festival de Cannes, le nouveau film du cinéaste roubaisien Arnaud Desplechin, qui se frotte ici au polar noir, reste une œuvre forte qui hante durablement l’esprit. Avec un Roschdy Zem quasi mystique.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
A travers la réalité d’une vision quasi documentaire, un grand film sur la compassion, où le portrait d’un bon flic, qui est aussi un flic bon, prend une dimension quasi spirituelle.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Présenté en compétition, le film d’Arnaud Desplechin, inspiré d’un fait divers dans sa ville natale, fait ressentir tout le malheur de l’époque.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Nous sommes dans un cinéma social dépouillé d’artifices qui embrasse la réalité dans ce qu’elle a de plus cru et inconcevable. Ce film noir doit aussi beaucoup à la performance de ses acteurs, habités par leur personnage.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
A partir d’un fait divers, Arnaud Desplechin montre, sur le ton du polar, la misère sociale et humaine.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
S’inspirant d’un crime sordide, Arnaud Desplechin signe avec son nouveau film une oeuvre aussi noire qu’humaniste.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Positif
par Marc Cerisuelo
"Roubaix, une lumière" est un drame réel plutôt que réaliste ou naturaliste. Arnaud Desplechin organise d’évidence le déploiement du film sur un territoire connu, et déjà maintes fois sollicité dans son œuvre mais, outre que ce sont d’autres aspects et quartiers de la ville que l’on pouvait voir dans ses films depuis "La Vie des morts" (1991), c’est bel et bien la trame du réel qui donne son aplomb au film.
Rolling Stone
par Sophie Rosemont
Roubaix, une lumière offre surtout des performances d’acteurs exceptionnels, Roschdy Zem en tête – selon les termes du réalisateur, l’œil et l’oreille d’une ville acariâtre – mais aussi Antoine Reinartz, découvert dans 120 battements par minute, et le couple fébrile formé par Léa Seydoux et Sara Forestier.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
Arnaud Despiechin marche brillamment dans les pas de Simenon pour ce film dense, à la fois portrait d’une ville ouvrière en décrépitude, sur laquelle s'abat la misère du monde, et drame philosophique sur les tourments et le salut des âmes.
Télérama
par Louis Guichard
Un bon film noir et un vrai film d’auteur.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par A.V.
Une chronique réaliste dans la veine du L.627 de Bertrand Tavernier.
BIBA
par Lili Yubari
En commissaire humaniste aux allures de curé, Roschdy Zem réinvente la figure du flic taciturne au flair redoutable, dans ce polar qui préfère jouer sur le mystère plutôt que le suspense.
Closer
par La Rédaction
En dépit de certains clichés, ce polar d'Arnaud Desplechin tient le spectateur en haleine.
Culturopoing.com
par Miriem Méghaïzerou
Polar post-industriel, "Roubaix, une lumière" quadrille le terrain sinon d’une certaine condition féminine, du moins d’une classe sociale ultra-marginalisée.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
L’ombre du « Faux Coupable », de Hitchcock, plane, la musique de Grégoire Hetzel teinte de romanesque une mise en scène qui le fuit. Car Desplechin, une fois n’est pas coutume, a voulu coller au réel et s’y est un peu perdu. Il n’a pas trouvé son film, mais il le cherche si brillamment que ça vaut le détour.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Lucas Charrier
Finalement, ce qui intéresse Desplechin, ce n’est pas tellement de s’essayer au film d’enquête, mais plutôt d’inventer sa propre définition du film social, de se saisir du réel à pleine main et de le placer sous son œil bienveillant et éclairé.
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Desplechin tente une étonnante sortie hors de sa zone de confort et en tire un film souvent frustrant (quand il se cherche) mais parfois fort (quand il se trouve).
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Thomas Baurez
Arnaud Desplechin s’essaye à la chronique policière, se perd un peu, avant de retrouver la lumière à travers l’éprouvant parcours de deux jeunes femmes en détresse.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
D’un fait divers réel, Arnaud Desplechin tire une oeuvre spirituelle.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Avec ce polar aux allures de drame social, Arnaud Desplechin s’aventure dans un nouveau registre et offre à Roschdy Zem l’un de ses plus beaux rôles.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Cyril Béghin
Ce qu’il y a de finalement désagréable dans le film : la confusion entre le compassé et la compassion, entre une soi-disant attention minutieuse et bienveillante au « réel » et une forme de surplomb doucereux.
Marianne
par Olivier de Bruyn
Le cinéaste français abandonne les fictions introspectives pour s'essayer au polar social. Mais cette tentative de renouvellement ne convainc pas.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Marie Claire
par Emily Barnett
[...] on ne saisit jamais le point de vue ni les enjeux, sinon le surplomb moral et agaçant du héros sur deux pauvres filles paumées.
Télé Loisirs
par Emilie Leoni
Entre fable sociale et polar noir, le dixième film d’Arnaud Desplechin souffre malheureusement de longueurs et d’un manque cruel de suspense. Roschdy Zem et Sara Forestier, en revanche, impressionnent.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Arnaud Desplechin n’a pas inventé Roschdy Zem comme acteur. Mais il l’a inventé comme grand acteur. Roschdy Zem n’a jamais aussi bien joué, force tragique tranquille.
Femme Actuelle
Il y a fort à parier que ce film restera un grand classique du polar. Roschdy Zem est d’un magnétisme incroyable, et Léa Seydoux surprend. Respect !
L'Humanité
Avec cette œuvre fiévreuse, Arnaud Desplechin lui offre un de ses meilleurs rôles et transcende le polar classique pour sonder les abîmes de l’être humain.
Les Inrockuptibles
C’est le vertige et le paradoxe du film : le réel s’y impose d’abord violemment, mais il se réenvoûte de l’intérieur et se met inexplicablement à parler le Desplechin, à ressembler à un monde écrit par lui.
Libération
Loin d’opérer une rupture, les dialogues réels de "Roubaix, une lumière" sont polis par la mise en scène et par le travail des acteurs (tous formidables), jusqu’à atteindre une intensité théâtrale et une densité romanesque que le documentaire initial ne contenait qu’à l’état brut.
Ouest France
C'est sobre et pourtant captivant de bout en bout.
Transfuge
[...] un grand thriller social.
Bande à part
Dans "Roubaix, une lumière", polar à l’efficacité métronomique, Arnaud Desplechin filme les noces de l’ombre et de la lumière, et sonde l’espace mystérieux où l’humain et l’inhumain se côtoient.
Critikat.com
Si Arnaud Desplechin ne démord toujours pas de son volontarisme romanesque, il semble avoir trouvé ici un contrepoint à même de rééquilibrer son cinéma.
Elle
Une enquête sur le meurtre d'une vieille dame, auquel des voisines (formidables Léa Seydoux et Sara Forestier) pourraient être mêlées. Le réalisateur les traite avec une infinie douceur, comme si leur parcours semé d'embûches les excusait de tout.
Franceinfo Culture
Estampillé réalisateur de films d’auteur, Arnaud Desplechin réussit son passage au cinéma de genre, tout en lui apportant sa touche unique. Beau film.
L'Express
Les lieux, les gestes, les mots, les corps prennent plus d'importance que l'enquête elle-même, et ce parti pris donnent au film toute son intensité.
La Croix
Nimbé de la lumière de son titre, le film est bouleversant d’humanité, reposant en grande partie sur la faculté d’incarnation de ses acteurs, et notamment du tandem formé par Léa Seydoux et Sara Forestier.
La Voix du Nord
Reparti bredouille du Festival de Cannes, le nouveau film du cinéaste roubaisien Arnaud Desplechin, qui se frotte ici au polar noir, reste une œuvre forte qui hante durablement l’esprit. Avec un Roschdy Zem quasi mystique.
Le Dauphiné Libéré
A travers la réalité d’une vision quasi documentaire, un grand film sur la compassion, où le portrait d’un bon flic, qui est aussi un flic bon, prend une dimension quasi spirituelle.
Le Figaro
Présenté en compétition, le film d’Arnaud Desplechin, inspiré d’un fait divers dans sa ville natale, fait ressentir tout le malheur de l’époque.
Le Journal du Dimanche
Nous sommes dans un cinéma social dépouillé d’artifices qui embrasse la réalité dans ce qu’elle a de plus cru et inconcevable. Ce film noir doit aussi beaucoup à la performance de ses acteurs, habités par leur personnage.
Le Monde
A partir d’un fait divers, Arnaud Desplechin montre, sur le ton du polar, la misère sociale et humaine.
Le Parisien
S’inspirant d’un crime sordide, Arnaud Desplechin signe avec son nouveau film une oeuvre aussi noire qu’humaniste.
Positif
"Roubaix, une lumière" est un drame réel plutôt que réaliste ou naturaliste. Arnaud Desplechin organise d’évidence le déploiement du film sur un territoire connu, et déjà maintes fois sollicité dans son œuvre mais, outre que ce sont d’autres aspects et quartiers de la ville que l’on pouvait voir dans ses films depuis "La Vie des morts" (1991), c’est bel et bien la trame du réel qui donne son aplomb au film.
Rolling Stone
Roubaix, une lumière offre surtout des performances d’acteurs exceptionnels, Roschdy Zem en tête – selon les termes du réalisateur, l’œil et l’oreille d’une ville acariâtre – mais aussi Antoine Reinartz, découvert dans 120 battements par minute, et le couple fébrile formé par Léa Seydoux et Sara Forestier.
Télé 7 Jours
Arnaud Despiechin marche brillamment dans les pas de Simenon pour ce film dense, à la fois portrait d’une ville ouvrière en décrépitude, sur laquelle s'abat la misère du monde, et drame philosophique sur les tourments et le salut des âmes.
Télérama
Un bon film noir et un vrai film d’auteur.
Voici
Une chronique réaliste dans la veine du L.627 de Bertrand Tavernier.
BIBA
En commissaire humaniste aux allures de curé, Roschdy Zem réinvente la figure du flic taciturne au flair redoutable, dans ce polar qui préfère jouer sur le mystère plutôt que le suspense.
Closer
En dépit de certains clichés, ce polar d'Arnaud Desplechin tient le spectateur en haleine.
Culturopoing.com
Polar post-industriel, "Roubaix, une lumière" quadrille le terrain sinon d’une certaine condition féminine, du moins d’une classe sociale ultra-marginalisée.
L'Obs
L’ombre du « Faux Coupable », de Hitchcock, plane, la musique de Grégoire Hetzel teinte de romanesque une mise en scène qui le fuit. Car Desplechin, une fois n’est pas coutume, a voulu coller au réel et s’y est un peu perdu. Il n’a pas trouvé son film, mais il le cherche si brillamment que ça vaut le détour.
La Septième Obsession
Finalement, ce qui intéresse Desplechin, ce n’est pas tellement de s’essayer au film d’enquête, mais plutôt d’inventer sa propre définition du film social, de se saisir du réel à pleine main et de le placer sous son œil bienveillant et éclairé.
Les Fiches du Cinéma
Desplechin tente une étonnante sortie hors de sa zone de confort et en tire un film souvent frustrant (quand il se cherche) mais parfois fort (quand il se trouve).
Première
Arnaud Desplechin s’essaye à la chronique policière, se perd un peu, avant de retrouver la lumière à travers l’éprouvant parcours de deux jeunes femmes en détresse.
Sud Ouest
D’un fait divers réel, Arnaud Desplechin tire une oeuvre spirituelle.
aVoir-aLire.com
Avec ce polar aux allures de drame social, Arnaud Desplechin s’aventure dans un nouveau registre et offre à Roschdy Zem l’un de ses plus beaux rôles.
Cahiers du Cinéma
Ce qu’il y a de finalement désagréable dans le film : la confusion entre le compassé et la compassion, entre une soi-disant attention minutieuse et bienveillante au « réel » et une forme de surplomb doucereux.
Marianne
Le cinéaste français abandonne les fictions introspectives pour s'essayer au polar social. Mais cette tentative de renouvellement ne convainc pas.
Marie Claire
[...] on ne saisit jamais le point de vue ni les enjeux, sinon le surplomb moral et agaçant du héros sur deux pauvres filles paumées.
Télé Loisirs
Entre fable sociale et polar noir, le dixième film d’Arnaud Desplechin souffre malheureusement de longueurs et d’un manque cruel de suspense. Roschdy Zem et Sara Forestier, en revanche, impressionnent.