Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
33 critiques presse
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
D’une impressionnante maîtrise formelle, d’une élégance visuelle aux couleurs toniques, Swallow met en scène subtilement un cauchemar limpide, rehaussé par la performance remarquable d’Haley Bennett.
La Septième Obsession
par Loris Hantzis
"Swallow" est un trésor d’une richesse inépuisable.
20 Minutes
par Caroline Vié
Ce film passionnant et dérangeant se révèle un beau portrait de femme.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Michel Cieutat
Un magnifique film d’horreur sur les divers plaisirs procurés par la maladie du pica.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Un plaidoyer imparable pour un nouveau regard du cinéma.
Culturopoing.com
par Vincent Nicolet
Récit d’émancipation douloureux puis étonnamment lumineux, "Swallow" témoigne sans cesse d’une pluralité d’intentions tenues et harmonisées ainsi que d’une ambition formelle et thématique.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Franceinfo Culture
par Laurence Houot
"Swallow", quasi huis-clos, aborde un thème délicat avec une maîtrise formelle étonnante, rappelant le cinéma de Hitchcock : un premier film très prometteur.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Antoine Le Fur
Avec sa mise en scène au cordeau et son scénario surprenant, "Swallow" s'impose comme une expérience pour le moins atypique.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Un précis précieux sur le calvaire d’une jeune mariée dans un monde aseptisé et macho, qui exorcise sa souffrance en avalant des objets incongrus.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Avec Swallow, Carlo Mirabella-Davis brosse le portrait envoûtant d’une femme sur le chemin d’une rébellion secrète.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
On a rarement vu aussi ardente parabole sur la liberté des femmes à disposer de leur corps.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par Etienne Sorin
Avec son premier long-métrage, Carlo Mirabella-Davis livre une œuvre originale et piquante, très justement récompensée d’un prix spécial au Festival du cinéma américain de Deauville.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Clarisse Fabre
En filmant Haley Bennett, Carlo MirabellaDavis rend hommage aux grands rôles féminins du passé, et amorce audacieusement un nouveau chemin.
Le Parisien
par Renaud Baronian
Un film sidérant sur la détresse d’une femme traumatisée.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Une réalisation fignolée, une interprétation sublime, une finesse d’écriture... Le premier film de Mirabella-Davis est un joli tour de force.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Camille Nevers
Alors, du premier film passe-partout et de la tentation de formatage du «cinéma de standing» indé, "Swallow" bifurque et étonne, décidant de privilégier la convulsion de vie à l’arty, la logique du récit aux quatre épingles du costume bien taillé, et l’humour décalé aux irritations intestines.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Jean-Baptiste Herment
Pour son premier long-métrage, Carlo Mirabella-Davis se frotte à la satire sociale en épinglant le patriarcat occidental, qu’il brocarde avec un humour certes pinçant, mais non dépourvu d’humanité.
Marie Claire
par Emily Barnett
Un ovni aux teintes rétro et pastel où affleure la mainmise asphyxiante du patriarcat.
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
Ouest France
par Thierry Chèze
Un thriller envoûtant.
Positif
par Fabien Baumann
Étrange pathologie, que Carlo Mirabella-Davis, pour ses débuts dans le long métrage, filme avec une belle étrangeté.
Rolling Stone
par Jessica Saval
D’une beauté et d’une puissance rare, Swallow est tout ce dont le cinéma a besoin aujourd’hui. C’est tout ce dont la société a besoin. Réussissant la prouesse de conjuguer quasi parfaitement fond et forme, il fait d’un courage rafraîchissant… faute d’être appêtissant !
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Sud Ouest
par Sophie Avon
Le cinéaste américain Carlo Mirabella-Davis déploie ce parcours en allant d’une esthétique abstraite, faite de gros plans et de couleurs vives, à un registre naturaliste, moins chic, plus incarné, plus douloureux mais aussi plus vrai. Beau travail.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Voici
par La Rédaction
Un drame métaphorique viscéral, entre thriller domestique et conte toxique, qui soulève le coeur.
aVoir-aLire.com
par Fabrice Prieur
Un des meilleurs films de ce début d’année, qui se réfère au suspens hitchcockien, tout en parvenant à creuser un sillon original.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CNews
par La rédaction
Un premier long-métrage qui ne laisse pas de marbre.
Ecran Large
par Geoffrey Crété
"Swallow" impressionne d'abord par son ambiance étrange, une poignée de scènes déstabilisantes, et une Haley Bennett fantastique. Mais si le portrait de femme est fin et maîtrisé, il pousse le film dans une direction inattendue, plus terre-à-terre, et loin des beaux troubles du début.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par Nicolas Schaller
Avec son esthétique froide et aseptisée, à l’image de l’intérieur-vivarium où évolue Hunter, ce premier film ne fait pas dans la nuance, mais prend toute sa dimension quand son héroïne se libère en même temps que la mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Le rythme volontairement lent de cette partie explicative donne certes plus que des indices sur les origines mêmes du mal, mais développe un schéma narratif quelque peu répétitif qui dilue la tension latente.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Les références se bousculent (d'Alfred Hitchcock à David Cronenberg en passant par John Cassavetes et Chantal Akerman) et même si l'intrigue s'avère prévisible, elle n'en demeure pas moins captivante par le malaise profond qu’elle installe.
Les Inrockuptibles
par Emily Barnett
Réussir à tenir cette audace avec humour est le pari réussi de cet ovni au climat rétro, dont la tension cotonneuse s’effiloche malgré tout un peu dans sa dernière partie.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Thierry Chèze
Carlo Mirabella-Davis se révèle doué pour faire monter cette tension sourde. L’interprétation troublante de Haley Bennett se marie à merveille à sa mise en scène dépouillée permettant de deviner chaque petit morceau de cette fausse perfection qui se craquelle.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Jean-Sébastien Chauvin
Le début de Swallow laisse présager un film un peu fou. (…) Mais plutôt que de plonger dans une folie anarchique et sauvage, le réalisateur résout tout par un trauma qui affadit le film sous des explications psychologiques rassurantes.
Critikat.com
par Thomas Lequeu
Pour ce premier long-métrage, Carlo Mirabella-Davis semble vouloir appliquer un peu trop consciencieusement la leçon apprise chez Bergman et Hitchcock dans une mise en scène souvent démonstrative.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
D’une impressionnante maîtrise formelle, d’une élégance visuelle aux couleurs toniques, Swallow met en scène subtilement un cauchemar limpide, rehaussé par la performance remarquable d’Haley Bennett.
La Septième Obsession
"Swallow" est un trésor d’une richesse inépuisable.
20 Minutes
Ce film passionnant et dérangeant se révèle un beau portrait de femme.
Bande à part
Un magnifique film d’horreur sur les divers plaisirs procurés par la maladie du pica.
CinemaTeaser
Un plaidoyer imparable pour un nouveau regard du cinéma.
Culturopoing.com
Récit d’émancipation douloureux puis étonnamment lumineux, "Swallow" témoigne sans cesse d’une pluralité d’intentions tenues et harmonisées ainsi que d’une ambition formelle et thématique.
Franceinfo Culture
"Swallow", quasi huis-clos, aborde un thème délicat avec une maîtrise formelle étonnante, rappelant le cinéma de Hitchcock : un premier film très prometteur.
L'Express
Avec sa mise en scène au cordeau et son scénario surprenant, "Swallow" s'impose comme une expérience pour le moins atypique.
L'Humanité
Un précis précieux sur le calvaire d’une jeune mariée dans un monde aseptisé et macho, qui exorcise sa souffrance en avalant des objets incongrus.
La Croix
Avec Swallow, Carlo Mirabella-Davis brosse le portrait envoûtant d’une femme sur le chemin d’une rébellion secrète.
La Voix du Nord
On a rarement vu aussi ardente parabole sur la liberté des femmes à disposer de leur corps.
Le Figaro
Avec son premier long-métrage, Carlo Mirabella-Davis livre une œuvre originale et piquante, très justement récompensée d’un prix spécial au Festival du cinéma américain de Deauville.
Le Monde
En filmant Haley Bennett, Carlo MirabellaDavis rend hommage aux grands rôles féminins du passé, et amorce audacieusement un nouveau chemin.
Le Parisien
Un film sidérant sur la détresse d’une femme traumatisée.
Les Fiches du Cinéma
Une réalisation fignolée, une interprétation sublime, une finesse d’écriture... Le premier film de Mirabella-Davis est un joli tour de force.
Libération
Alors, du premier film passe-partout et de la tentation de formatage du «cinéma de standing» indé, "Swallow" bifurque et étonne, décidant de privilégier la convulsion de vie à l’arty, la logique du récit aux quatre épingles du costume bien taillé, et l’humour décalé aux irritations intestines.
Mad Movies
Pour son premier long-métrage, Carlo Mirabella-Davis se frotte à la satire sociale en épinglant le patriarcat occidental, qu’il brocarde avec un humour certes pinçant, mais non dépourvu d’humanité.
Marie Claire
Un ovni aux teintes rétro et pastel où affleure la mainmise asphyxiante du patriarcat.
Ouest France
Un thriller envoûtant.
Positif
Étrange pathologie, que Carlo Mirabella-Davis, pour ses débuts dans le long métrage, filme avec une belle étrangeté.
Rolling Stone
D’une beauté et d’une puissance rare, Swallow est tout ce dont le cinéma a besoin aujourd’hui. C’est tout ce dont la société a besoin. Réussissant la prouesse de conjuguer quasi parfaitement fond et forme, il fait d’un courage rafraîchissant… faute d’être appêtissant !
Sud Ouest
Le cinéaste américain Carlo Mirabella-Davis déploie ce parcours en allant d’une esthétique abstraite, faite de gros plans et de couleurs vives, à un registre naturaliste, moins chic, plus incarné, plus douloureux mais aussi plus vrai. Beau travail.
Voici
Un drame métaphorique viscéral, entre thriller domestique et conte toxique, qui soulève le coeur.
aVoir-aLire.com
Un des meilleurs films de ce début d’année, qui se réfère au suspens hitchcockien, tout en parvenant à creuser un sillon original.
CNews
Un premier long-métrage qui ne laisse pas de marbre.
Ecran Large
"Swallow" impressionne d'abord par son ambiance étrange, une poignée de scènes déstabilisantes, et une Haley Bennett fantastique. Mais si le portrait de femme est fin et maîtrisé, il pousse le film dans une direction inattendue, plus terre-à-terre, et loin des beaux troubles du début.
L'Obs
Avec son esthétique froide et aseptisée, à l’image de l’intérieur-vivarium où évolue Hunter, ce premier film ne fait pas dans la nuance, mais prend toute sa dimension quand son héroïne se libère en même temps que la mise en scène.
Le Dauphiné Libéré
Le rythme volontairement lent de cette partie explicative donne certes plus que des indices sur les origines mêmes du mal, mais développe un schéma narratif quelque peu répétitif qui dilue la tension latente.
Le Journal du Dimanche
Les références se bousculent (d'Alfred Hitchcock à David Cronenberg en passant par John Cassavetes et Chantal Akerman) et même si l'intrigue s'avère prévisible, elle n'en demeure pas moins captivante par le malaise profond qu’elle installe.
Les Inrockuptibles
Réussir à tenir cette audace avec humour est le pari réussi de cet ovni au climat rétro, dont la tension cotonneuse s’effiloche malgré tout un peu dans sa dernière partie.
Première
Carlo Mirabella-Davis se révèle doué pour faire monter cette tension sourde. L’interprétation troublante de Haley Bennett se marie à merveille à sa mise en scène dépouillée permettant de deviner chaque petit morceau de cette fausse perfection qui se craquelle.
Cahiers du Cinéma
Le début de Swallow laisse présager un film un peu fou. (…) Mais plutôt que de plonger dans une folie anarchique et sauvage, le réalisateur résout tout par un trauma qui affadit le film sous des explications psychologiques rassurantes.
Critikat.com
Pour ce premier long-métrage, Carlo Mirabella-Davis semble vouloir appliquer un peu trop consciencieusement la leçon apprise chez Bergman et Hitchcock dans une mise en scène souvent démonstrative.