Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Closer
par La Rédaction
Ce deuxième épisode est plus réussi que le premier grâce à un sens aiguisé de l'autodérision.
Le Parisien
par Catherine Balle
Bondissant, drôle et réjouissant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télé Loisirs
par Marc Arlin
Une suite enlevée et drôle, doublée d'une mise en abîme savoureuse sur l'exploitation commerciale des œuvres littéraires.
Télérama
par Marion Michel
Au sein d’un univers très british, tout en prises de vues réelles, les animaux en animation 3D détalent à vive allure. Les gags répétitifs raviront les plus petits, encadrés par des leçons de vie teintées d’autodérision.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Arthur Champilou
On retrouve tous les éléments qui ont fait le succès du premier film. Ce second volet est cependant plus abouti, en se réappropriant magistralement les codes du polar.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
C’est souvent drôle, grâce à des dialogues pleins d’ironie et de non-sens, mais le résultat final manque de surprise.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Drôle, rythmé et attendrissant.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Isabelle Boudet
Pierre Lapin quitte son potager et arrive en ville pour de nouvelles aventures, toujours menées tambour battant. L’animation bluffante et l’humour fin distillé çà et là pallient une intrigue plutôt laborieuse et une peinture peu subtile des états d’âme des personnages.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
Enchaînant les poursuites, cette nouvelle aventure ne se contente toutefois pas de remplir son cahier des charges burlesque : elle se paie aussi la tête des éditeurs et producteurs hollywoodiens, plus avides de profits que d’art. Étonnant.
Première
par Thierry Chèze
Oublié le second degré, tout n’est qu’archétype et en sortant ses héros de leur potager, Will Gluck reproduit étrangement que ce qu’il « dénonce » dans son histoire : l’oubli des fondamentaux.
La critique complète est disponible sur le site Première
Closer
Ce deuxième épisode est plus réussi que le premier grâce à un sens aiguisé de l'autodérision.
Le Parisien
Bondissant, drôle et réjouissant.
Télé Loisirs
Une suite enlevée et drôle, doublée d'une mise en abîme savoureuse sur l'exploitation commerciale des œuvres littéraires.
Télérama
Au sein d’un univers très british, tout en prises de vues réelles, les animaux en animation 3D détalent à vive allure. Les gags répétitifs raviront les plus petits, encadrés par des leçons de vie teintées d’autodérision.
aVoir-aLire.com
On retrouve tous les éléments qui ont fait le succès du premier film. Ce second volet est cependant plus abouti, en se réappropriant magistralement les codes du polar.
L'Obs
C’est souvent drôle, grâce à des dialogues pleins d’ironie et de non-sens, mais le résultat final manque de surprise.
Le Journal du Dimanche
Drôle, rythmé et attendrissant.
Les Fiches du Cinéma
Pierre Lapin quitte son potager et arrive en ville pour de nouvelles aventures, toujours menées tambour battant. L’animation bluffante et l’humour fin distillé çà et là pallient une intrigue plutôt laborieuse et une peinture peu subtile des états d’âme des personnages.
Télé 7 Jours
Enchaînant les poursuites, cette nouvelle aventure ne se contente toutefois pas de remplir son cahier des charges burlesque : elle se paie aussi la tête des éditeurs et producteurs hollywoodiens, plus avides de profits que d’art. Étonnant.
Première
Oublié le second degré, tout n’est qu’archétype et en sortant ses héros de leur potager, Will Gluck reproduit étrangement que ce qu’il « dénonce » dans son histoire : l’oubli des fondamentaux.