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Roman Gorecki-Mickiewicz
4 critiques
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2,0
Publiée le 7 janvier 2022
Un film long, tres long, trop long. D autant plus qu on ne rentre jamais dedans. J ai du mal a comprendre pourquoi il est si bien note, je me suis ennuye de debut jusqu a la fin. Pas de rytme, acteurs plutot moyens, bref on n y croit juste pas.
Tiré d'une histoire vraie, Le Messager est aussi proche de la réalité qu'il peut le faire, mettant malheureusement parfois l'accroche du téléspectateur de côté pour nous livrer un produit brut. La deuxième partie en revanche présente de bien meilleurs arguments. La fin justifie les moyens et le résultat est donc une globale réussite.
Un film qui se révèle solide de bout en bout. Le casting est de bonne facture, la mise en scène est efficace même si elle n'est pas originale et le scénario est de qualité. Tous les ingrédients d'un bon film.
C'est finalement assez rare de trouver un bon film d'espionnage et celui ci est captivant, tout est très bien : les acteurs, la musique, l'histoire, les images etc.
"Un espion ordinaire", Greville Wynne est un représentant de commerce qui va se faire débaucher par le MI6 et la CIA en pleine guerre froide...le soucis c'est que ce dernier est tout sauf un espion. J'avoue que tout les films où joue Benedict Cumberbatch sont bon voir excellent. Et pour moi dans ce film il ne déroge pas à la règle!! Tiré de fais réel Doctor Strange est encore une fois super dans ce rôle d'espion amateur qui est mêlé dans une histoire mondialement connu, cela sonne juste et j'avoue que j'avais le palpitant en marche plus le film avançant avec la peur de ce faire choper par le KGB!!!! Mais tout les acteurs sont au diapason ici. C'est hallucinant de voir comment les agences secrètes sont prêtes à sacrifier des hommes et des femmes pour arriver à leur fin et , je le redis, sachant venant de fais réel le film est encore plus oppressant. Et surtout que l'histoire des missiles de Cuba est en fil rouge et que cela aurait pu être un catastrophe mondiale . Pas de fausse note j'ai trouvé, un excellent film d'espionnage qui à le mérite de mettre en avant que quelques hommes peuvent changer la face du monde, monde détenu par des fous... NOTE : 9/10
Un Espion Ordinaire est un bon petit thriller d'espionnage sur fond de Guerre Froide qui ne révolutionne pas le genre mais se laisse apprécier grâce notamment à de solides performance de la part des acteurs. Critique vidéo : https://youtu.be/py_FpeCriKE
Une histoire vraie intéressante et qui met en lumière des personnes qui opéraient dans l'ombre et en prenant des risques incroyables. Des héros des ténèbres dont parfois les conséquences des actes ont aidé à faire prendre un virage essentiel à l'histoire. Un choix intéressant et qui fonctionne plutôt pas mal.
J'ai été captivée par cette histoire, d'une homme ordinaire qui va aller au-delà de ce qu'il imaginait pouvoir faire pour éviter une guerre nucléaire, rien que ça ! Et quelle interprétation !
Un biopic haletant tiré d'une histoire vraie, où comment un homme d'affaire est approché par la CIA et le MI6 du MI-6 pour éviter un affrontement nucléaire et une 3ème Guerre Mondiale en pleine crise des missiles de Cuba. On ne s'ennuie pas un instant devant cette histoire d'amitié improbable, le duo d'acteurs étant vraiment juste, et l'interprétation de Benedict Cumberbatch impeccable. Ainsi, malgré une réalisation classique, sans action aucune, un film d'espionnage à l'ancienne en pleine guerre froide, dans la veine du "Pont des espions", qui ne peut laisser indifférent.
Les brillantes interprétations des deux principaux acteurs assurent à elles-seules cette capacité à capter l'attention du spectateur. Ce doux parfum "vintage" est parfaitement adapté et se démarque ainsi du tout-venant cinématographique. Reste des scènes sans grands intérêts, plombant la dynamique, et des personnages secondaires parfois caricaturaux.
Tiré d'une histoire vraie, un très bon film d'espionnage qui se rapproche davantage du style froid, austère, réaliste des romans de John Le Carré que du faste luxueux des James Bond. Un long-métrage à mi-chemin entre "Treize jours" de Roger Donaldson et avec Kevin Costner et Bruce Greenwood pour sa peinture de la fameuse crise des missiles de Cuba en 1962-63 et "Le pont des espions" de Steven Spielberg pour sa plongée saisissante dans le bloc soviétique pendant la Guerre Froide. Une mise en scène assez académique mais qui fonctionne très bien, une intrigue facile et agréable à suivre, sans véritable temps morts mais un ensemble qui prévaut avant tout pour l'excellente prestation de Benedict Cumberbatch, des seconds rôles de qualité de Merab Ninidze à Jessie Buckley. Une grosse sensation.
Un bon film d'espionnage classiquement réalisé qui nous ramène au temps de la guerre froide. Une ambiance à la John le Carré et un étonnant personnage, inspiré de faits réels, qui se révèle efficace en espion amateur. C'est l'excellent Benedict Cumberbatch qui lui prête ses traits, inutile donc de vous dire que l'atout essentiel de ce film est l'interprétation de ce dernier.
Parmi tous les films sur la guerre froide et l’espionnage qui la régissait celui de Dominic Cooke se distingue par la froideur académique des premiers échanges entre les deux blocs ennemis. Le réalisateur pose les bases de cette histoire vraie ( 1960 ) avec une sollicitude exemplaire à l’égard de ses deux protagonistes que rien à l’origine n’engageait à se rencontrer. L’un militaire haut gradé au Kremlin est effrayé par l’inconstance de Khrouchtchev et ses prises de positions belliqueuses. L’autre est représentant de commerce, et grand connaisseur des pays de l’Est. A l’époque de la guerre froide , ce profil intéresse beaucoup les Etats-Unis. Il sera espion , presque malgré lui . Au fil des nombreux allers-retours entre Londres et Moscou, les deux hommes vont faire plus que collaborer pour éviter un conflit majeur , ils vont devenir de véritables amis et ainsi le symbole d’une union possible entre les hommes, que les politiques n’imaginent même pas une seconde. Dominic Cooke qui nous avait concocté jusqu’alors un polar bien classique sur le monde de l’espionnage adopte la mesure des événements dramatiques et imprime à la réalisation des soubresauts inquiétants. Palpitante, angoissante, vérité première, elle s’enrichit de l’amitié sincère entre l’anglais et le russe pour élever le discours véritablement à hauteur d’hommes . L’idéalisme qui aujourd’hui parait si peu fondé dans ce monde qu’ ils nous ont préservé prend une valeur expiatoire. Benedict Cumberbatch et Merab Ninidze. portent un lourd fardeau. Leur interprétation le rend totalement crédible . AVIS BONUS Making of Chaque membre de l’équipe dit son petit mot et commentaire éclairés sur le film et ses personnages. Quelques brèves images du tournage émaillent la discussion assez riche dans l’ensemble… Pour en savoir plus : lheuredelasortie.com
Un espion ordinaire est un film efficace, sans fioritures, avec les lenteurs associées à un scénario impeccable pour le genre. En fait tout est vrai dans ce film, même les détails sur la météo sur Cuba. Historiquement, comme souvent, la réalité dépasse la fiction. L’affaire Oleg Penkosky, « l’homme qui a sauvé le monde » dit Jean-Marc Le Page (« La bombe atomique » publié en février 2021), est au cœur de l’affaire des missiles de Cuba. C’est grâce à lui que les Américains ont pu en 1962 se faire une idée exact du prétendu « Missile gap » qui permit au président Kennedy de choisir la résistance et la menace face à Khrouchtchev, obsédé par la présence de missiles Jupiter américains déployés en Turquie, près d’Izmir. Et les choses se sont bien passées comme le film le décrit entre ce colonel du GRU, « ironbar pour le CIA, et son agent de liaison improvisé anglais, Greville Wynne. Il est même dommage que le film n’ait pas poussé la pédagogie jusqu’à donner un peu plus d’éléments sur le contexte car, dans cette affaire, on est passé très près du drame au point qu’un télétype rouge sera installé entre les deux capitales pour éviter un accident apocalyptique des 1963. Le film est un quasi huit clos. Cinq personnages, à peine plus, font tourner l’histoire. On ne s’ennuie jamais alors qu’il n’y a aucune cascade, que les plans fixes dominent dans la grisaille moscovite ou londonienne, mais que les pinces de l’intrigue se referment lentement sur les protagonistes et que la raison d’Etat, les questions de sécurité entrent en lutte avec les sentiments éprouvés par les deux acteurs principaux, excellents : Oleg Penkovsky ( l’acteur géorgien Merab Ninidze) et Neville Wynne (Benedict Cumberbatch).
Ce film est un plaisir cinématographique régressif. Retour d'abord au temps de la guerre froide. Les méchants d'un côté; les bons de l'autre. Facile à comprendre. Retour vers un scénario classique et mille fois vu. Pas de noeuds dans le cerveau. Retour vers un dénouement connu d'avance. Les bons ont eu trés chauds mais s'en tirent bien. Vous l'aurez compris. Un espion ordinaire est le bon film d'un samedi soir pluvieux. Honnête. Bien fait. Bien joué. Mais sans saveurs particulières.